Encore une fois le puissant syndicat des taxieurs de la wilaya d'Annaba monte au créneau pour dénoncer les coûts atteints par les licences d'exploitation qui, chaque année, flambent au point de devenir une charge insupportables pour les revenus des chauffeurs de taxi. " Les coûts des licences ont atteint des seuils intolérables. Ils échappent à tout contrôle de l'administration, leurs charges sont devenues carrément dissuasives au point que de nombreuses désaffections ont été enregistrées dans les rangs de la profession soumise, par ailleurs, à de nombreuses autres pressions qui risquent tout simplement de la faire exploser " dénonce avec amertume B. Hacene un membre influent au sein de la corporation des Jaunes. " Nous gérons uniquement des charges et des problèmes " s'esclame notre interlocuteur qui s'interroge sur le mutisme de l'administration quant à leur revendication principale formulée à maintes reprises auprès des instances compétentes les sollicitant de régler définitivement le sempiternel problèmes des licences d'exploitation actuel par l'octroi de licences administrative à l'instar de ce qui se pratique ailleurs au niveau de certaines wilayas où nombre de "taxieurs" peuvent jouir de ce fameux document sans subir le diktat implacable des détenteurs de licences classiques. Autre crucial problème, celui des faux taxis peints également en jaune pour tromper les usagers et la police. Un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur au détriment des "taxieurs" légaux saignés par les charges fiscales et les redevances dues aux insatiables propriétaires de licences. ce phénomène a été encouragé par le laxisme et la complicité tacite des uns et des autres, juge le leader syndical des chauffeurs de taxi annabis. Bref la coupe est vraiment bien pleine, la grogne a atteint, hier au sein de la corporation, son paroxysme quand le staff syndical excédé par l'ampleur de la tâche et les dissensions internes provoquées, dit-on, par une certaine fraction hostile au syndicat a décidé de rendre collectivement le tablier pour préserver, est-il précisé, l'unité des rangs de la profession menacée d'implosion. Une décision rejetée massivement par les Jaunes qui tiennent à leur syndicat. D'interminables palabres se poursuivent depuis hier dans les locaux de l'UGTA pour faire revenir les démissionnaires sur leur décision. Encore une fois le puissant syndicat des taxieurs de la wilaya d'Annaba monte au créneau pour dénoncer les coûts atteints par les licences d'exploitation qui, chaque année, flambent au point de devenir une charge insupportables pour les revenus des chauffeurs de taxi. " Les coûts des licences ont atteint des seuils intolérables. Ils échappent à tout contrôle de l'administration, leurs charges sont devenues carrément dissuasives au point que de nombreuses désaffections ont été enregistrées dans les rangs de la profession soumise, par ailleurs, à de nombreuses autres pressions qui risquent tout simplement de la faire exploser " dénonce avec amertume B. Hacene un membre influent au sein de la corporation des Jaunes. " Nous gérons uniquement des charges et des problèmes " s'esclame notre interlocuteur qui s'interroge sur le mutisme de l'administration quant à leur revendication principale formulée à maintes reprises auprès des instances compétentes les sollicitant de régler définitivement le sempiternel problèmes des licences d'exploitation actuel par l'octroi de licences administrative à l'instar de ce qui se pratique ailleurs au niveau de certaines wilayas où nombre de "taxieurs" peuvent jouir de ce fameux document sans subir le diktat implacable des détenteurs de licences classiques. Autre crucial problème, celui des faux taxis peints également en jaune pour tromper les usagers et la police. Un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur au détriment des "taxieurs" légaux saignés par les charges fiscales et les redevances dues aux insatiables propriétaires de licences. ce phénomène a été encouragé par le laxisme et la complicité tacite des uns et des autres, juge le leader syndical des chauffeurs de taxi annabis. Bref la coupe est vraiment bien pleine, la grogne a atteint, hier au sein de la corporation, son paroxysme quand le staff syndical excédé par l'ampleur de la tâche et les dissensions internes provoquées, dit-on, par une certaine fraction hostile au syndicat a décidé de rendre collectivement le tablier pour préserver, est-il précisé, l'unité des rangs de la profession menacée d'implosion. Une décision rejetée massivement par les Jaunes qui tiennent à leur syndicat. D'interminables palabres se poursuivent depuis hier dans les locaux de l'UGTA pour faire revenir les démissionnaires sur leur décision.