Les routes, qu'elles soient vicinales, communales ou nationales, sont dans un état lamentable. Mais les chemins vicinaux sont les plus détériorés pénalisant les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. Les routes, qu'elles soient vicinales, communales ou nationales, sont dans un état lamentable. Mais les chemins vicinaux sont les plus détériorés pénalisant les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. Le réseau routier dans la commune rurale de Chaâbet El-Ameur, au sud-est de Boumerdès est quasiment défectueux à 90%. Les routes, qu'elles soient vicinales, communales ou nationales, sont dans un état lamentable. Mais les chemins vicinaux sont les plus détériorés pénalisant les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. La route menant au village Azzouza, en dépit de son revêtement en 2006, se trouve actuellement dans un piteux état. Elle est parsemée de crevasses et de nids-de-poulecgv . En hiver, des flaques d'eau se forment à longueur de cette route et en été, la poussière est l'invitée des villageois. Autrement dire dit, c'est le calvaire à longueur d'année. Les transporteurs n'y trouvent pas leurs affaires. «Vu l'état lamentable de la route, la fluidité est faible et le transport fait grandement défaut. Les transporteurs boudent de plus en plus ce tronçon», nous ditun villageois qui nous affirme avoir passé une heure et demie de temps dans l'attente d'un fourgon pour rejoindre son domicile. A signaler que les régions situées sur le versant nord-est de la commune sont séparées d'un important oued qui, suite aux pluies torrentielles de 2007, s'est débordé détruisant le pont reliant le chef-lieu communal à ces régions. Ce n'est qu'après quatre ans d'attente et de calvaire que les autorités ont daigné construire un nouveau pont. «Autrefois, nous étions obligés de traverser l'oued pour rejoindre nos destinations et ce, avec tous les dangers qui en découlent, notamment en hiver», nous dira un lycéen. Les habitants du village Ouled Ben Abdellah souffrent le martyre en raison de la dégradation totale de la route menant vers leur localité. Depuis son ouverture au milieu des années 80, ladite route n'a pas fait l'objet de revêtement. Les automobilistes trouvent d'énormes difficultés pour y circuler. A Matoussa, l'effondrement d'un ponceau depuis plus de deux ans, pénalise durement les habitants et les usagers. Il a été détruit par les fortes pluies diluviennes qui se sont abattus sur la région en 2008. Outre cela, la population du village Illouchen est plongée dans un isolement chronique depuis plus de dix ans. La route desservant ladite localité n'est toujours pas bitumée. En hiver, c'est toute la population qui se trouve coincée dans les maisons. De même pour les potaches qui boudent les bancs de l'école lors de ces fortes pluies. «Nous sommes isolés, nous n'avons pas de transport, pas d'échoppes, pas de cafétéria et tout cela, à cause de l'absence d'une route digne de ce nom», nous a précisé un habitant du village Illouchen. Et d'ajouter : «Les transporteurs refusent de s'y aventurer. Nous parcourons trois kilomètres pour rallier Ouled Ibrahim afin de prendre un fourgon pour le chef-lieu communal». Par ailleurs, les travaux de modernisation de la RN68 sont depuis près de 8 mois à la traine. Cet important axe routier, notamment dans sa partie se trouvant sur le versant Nord de Chaâbet El-Ameur, est totalement impraticable en raison de plusieurs affaissements de terrains causés par les pluies diluviennes. Cette désolante situation est imputée jusque-là au laisser-aller des responsables locaux qui semblent ne prêter aucune attention au calvaire enduré par leurs administrés. Le travail des services techniques de l'APC relève du bricolage. La qualité des travaux entamés sur le terrain ne répondent souvent pas aux normes requises des opérations de revêtement de routes. Le réseau routier dans la commune rurale de Chaâbet El-Ameur, au sud-est de Boumerdès est quasiment défectueux à 90%. Les routes, qu'elles soient vicinales, communales ou nationales, sont dans un état lamentable. Mais les chemins vicinaux sont les plus détériorés pénalisant les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. La route menant au village Azzouza, en dépit de son revêtement en 2006, se trouve actuellement dans un piteux état. Elle est parsemée de crevasses et de nids-de-poulecgv . En hiver, des flaques d'eau se forment à longueur de cette route et en été, la poussière est l'invitée des villageois. Autrement dire dit, c'est le calvaire à longueur d'année. Les transporteurs n'y trouvent pas leurs affaires. «Vu l'état lamentable de la route, la fluidité est faible et le transport fait grandement défaut. Les transporteurs boudent de plus en plus ce tronçon», nous ditun villageois qui nous affirme avoir passé une heure et demie de temps dans l'attente d'un fourgon pour rejoindre son domicile. A signaler que les régions situées sur le versant nord-est de la commune sont séparées d'un important oued qui, suite aux pluies torrentielles de 2007, s'est débordé détruisant le pont reliant le chef-lieu communal à ces régions. Ce n'est qu'après quatre ans d'attente et de calvaire que les autorités ont daigné construire un nouveau pont. «Autrefois, nous étions obligés de traverser l'oued pour rejoindre nos destinations et ce, avec tous les dangers qui en découlent, notamment en hiver», nous dira un lycéen. Les habitants du village Ouled Ben Abdellah souffrent le martyre en raison de la dégradation totale de la route menant vers leur localité. Depuis son ouverture au milieu des années 80, ladite route n'a pas fait l'objet de revêtement. Les automobilistes trouvent d'énormes difficultés pour y circuler. A Matoussa, l'effondrement d'un ponceau depuis plus de deux ans, pénalise durement les habitants et les usagers. Il a été détruit par les fortes pluies diluviennes qui se sont abattus sur la région en 2008. Outre cela, la population du village Illouchen est plongée dans un isolement chronique depuis plus de dix ans. La route desservant ladite localité n'est toujours pas bitumée. En hiver, c'est toute la population qui se trouve coincée dans les maisons. De même pour les potaches qui boudent les bancs de l'école lors de ces fortes pluies. «Nous sommes isolés, nous n'avons pas de transport, pas d'échoppes, pas de cafétéria et tout cela, à cause de l'absence d'une route digne de ce nom», nous a précisé un habitant du village Illouchen. Et d'ajouter : «Les transporteurs refusent de s'y aventurer. Nous parcourons trois kilomètres pour rallier Ouled Ibrahim afin de prendre un fourgon pour le chef-lieu communal». Par ailleurs, les travaux de modernisation de la RN68 sont depuis près de 8 mois à la traine. Cet important axe routier, notamment dans sa partie se trouvant sur le versant Nord de Chaâbet El-Ameur, est totalement impraticable en raison de plusieurs affaissements de terrains causés par les pluies diluviennes. Cette désolante situation est imputée jusque-là au laisser-aller des responsables locaux qui semblent ne prêter aucune attention au calvaire enduré par leurs administrés. Le travail des services techniques de l'APC relève du bricolage. La qualité des travaux entamés sur le terrain ne répondent souvent pas aux normes requises des opérations de revêtement de routes.