Les aléas climatiques, les courants marins et la rénovation de la flottille, vieille pour certaines embarcations de plus de 20 ans, dont certains pêcheurs se plaignent, sont à l'origine des problèmes dans lesquels se débat le secteur. Les aléas climatiques, les courants marins et la rénovation de la flottille, vieille pour certaines embarcations de plus de 20 ans, dont certains pêcheurs se plaignent, sont à l'origine des problèmes dans lesquels se débat le secteur. La wilaya de Jijel, dotée d'une superficie maritime de 6.510 km2, recèle d'importantes ressources halieutiques, avec une biomasse estimée, il y a quelque années, à quelque 30 mille tonnes par an. En dépit de cela, le secteur de la pêche n'arrive pas à décoller de ses propres ailes. Les aléas climatiques, les courants marins et la rénovation de la flottille, vieille pour certaines embarcations de plus de 20 ans, dont certains pêcheurs se plaignent, sont à l'origine des problèmes dans lesquels se débat le secteur. Il en est ainsi de la production halieutique qui se trouve affectée par une baisse sensible de la production enregistrée ces derniers mois, en dépit des efforts des responsables locaux pour dynamiser un peu plus ce secteur. Dans une déclaration faite sur les ondes de la radio locale, le directeur de la pêche de la wilaya, M. Mohamed Zouaoui, et sans donner plus de détails sur la quantité de poissons réellement pêchée au cours du premier semestre 2010, a évalué la diminution à 25% par rapport à la même période de l'année dernière. En 2009, la production de poisson a atteint les 8.400 tonnes, contre 7.680 et 3.500 tonnes respectivement durant les années 2008 et 2009. Il est claire que l'augmentation de ces dernières années de la production a eu pour conséquence une révision à la hausse du ratio annuel de la consommation par personne, estimé il y a peu de temps de cela à 5,2 kg par tête d'habitant, en deça des normes établies par la FAO qui sont de 6 kg et plus. Mais cela ne signifie en rien une disponibilité du poisson en quantité sur les étals. Il faut dire, et paradoxalement à toutes ces quantités pêchées ces dernières années, les prix des produits de la mer restent inabordables lorsqu'ils sont disponibles pour le citoyen lambda. Pour renverser la tendance, les gens du métier exigent l'injection de nouveau matériel de pêche moderne, le recyclage des marins et la réorganisation du circuit commercial. Il convient de noter que le secteur de la pêche à Jijel reste le gagne-pain d'une population maritime de quelque 1.861 personnes, réparties sur une flottille de 215 embarcations. La wilaya de Jijel, dotée d'une superficie maritime de 6.510 km2, recèle d'importantes ressources halieutiques, avec une biomasse estimée, il y a quelque années, à quelque 30 mille tonnes par an. En dépit de cela, le secteur de la pêche n'arrive pas à décoller de ses propres ailes. Les aléas climatiques, les courants marins et la rénovation de la flottille, vieille pour certaines embarcations de plus de 20 ans, dont certains pêcheurs se plaignent, sont à l'origine des problèmes dans lesquels se débat le secteur. Il en est ainsi de la production halieutique qui se trouve affectée par une baisse sensible de la production enregistrée ces derniers mois, en dépit des efforts des responsables locaux pour dynamiser un peu plus ce secteur. Dans une déclaration faite sur les ondes de la radio locale, le directeur de la pêche de la wilaya, M. Mohamed Zouaoui, et sans donner plus de détails sur la quantité de poissons réellement pêchée au cours du premier semestre 2010, a évalué la diminution à 25% par rapport à la même période de l'année dernière. En 2009, la production de poisson a atteint les 8.400 tonnes, contre 7.680 et 3.500 tonnes respectivement durant les années 2008 et 2009. Il est claire que l'augmentation de ces dernières années de la production a eu pour conséquence une révision à la hausse du ratio annuel de la consommation par personne, estimé il y a peu de temps de cela à 5,2 kg par tête d'habitant, en deça des normes établies par la FAO qui sont de 6 kg et plus. Mais cela ne signifie en rien une disponibilité du poisson en quantité sur les étals. Il faut dire, et paradoxalement à toutes ces quantités pêchées ces dernières années, les prix des produits de la mer restent inabordables lorsqu'ils sont disponibles pour le citoyen lambda. Pour renverser la tendance, les gens du métier exigent l'injection de nouveau matériel de pêche moderne, le recyclage des marins et la réorganisation du circuit commercial. Il convient de noter que le secteur de la pêche à Jijel reste le gagne-pain d'une population maritime de quelque 1.861 personnes, réparties sur une flottille de 215 embarcations.