Certains produits alimentaire périssables sont vendues sur les trottoirs. En outre, ils sont étalés dans certains commerces où le respect des règles d'hygiène et de la chaîne du froid est le dernier des soucis des gérants de ces commerces. Le ministère a dans ce cadre enregistré de 3 mille à 5 mille cas d'intoxication par an, en dépit des efforts déployés pour sensibiliser les citoyens. Certains produits alimentaire périssables sont vendues sur les trottoirs. En outre, ils sont étalés dans certains commerces où le respect des règles d'hygiène et de la chaîne du froid est le dernier des soucis des gérants de ces commerces. Le ministère a dans ce cadre enregistré de 3 mille à 5 mille cas d'intoxication par an, en dépit des efforts déployés pour sensibiliser les citoyens. La consommation des produits alimentaires périssables durant la saison estivale, en l'absence de règles d'hygiène est un danger avéré pour les citoyens. C'est dans ce sens, que le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a mis en garde contre l'achat de ces produits. Au niveau du même ministère, le docteur Hassina Hellal, en charge du programme contre les intoxications alimentaires et de l'hygiène, a tiré la sonnette d'alarme concernant certains produits alimentaire, bien que de base, mais périssables, à l'instar des œufs, du lait et ses dérivés, en sus des boissons vendues sur les trottoirs. En outre, ils sont étalés dans certains commerces où le respect des règles d'hygiène et de la chaîne du froid est le dernier de leurs soucis, faut-il le dire. La santé et même la vie des citoyens, est en danger, car précise-t-on, ces derniers risquent gros en achetant ces produits alimentaires exposés sur les lieux publics et dont le prix est plus qu'attrayant. Le ministère, précise-t-on, procède au recensement de 3 mille à 5 mille cas d'intoxication par an, en dépit des efforts déployés pour sensibiliser les citoyens.Ce qui est déplorable. Pour mettre fin à ces cas, il est nécessaire d'«exiger un certificat de conformité pour l'ouverture de restaurants ou de fast-foods et la stabilisation des activités commerciales pour un meilleur suivi par les services concernés », a-t-on indiqué de même source. Le docteur Hellal a, de ce fait, appelé les communes à élaborer un fichier concernant les activités commerciales exercées sur leurs territoires, pour permettre aux services d'hygiène de mieux les contrôler et de réduire les cas d'intoxications alimentaires. Le ministère de la Santé, ne peut, à lui seul, « déterminer les causes des intoxications alimentaires, sauf pour les cas hospitalisés », a rappelé Mme Hellal, qui affirme qu'en cas d'intoxication alimentaire touchant une famille, un seul membre de cette famille sera hospitalisé en général, alors que les membres restants prendront le médicament prescrit au malade déjà hospitalisé, sans avoir à consulter de médecin.Pour prévenir les intoxications alimentaires, elle préconise la stricte application des lois régissant les établissements de restauration rapide, à travers un contrôle continu, l'inspection et le suivi des établissements proposant des plats collectifs. Le ministère de la Santé a enregistré, au cours du premier semestre de l'année en cours, 1.337 cas d'intoxication alimentaire contre 4 mille cas en 2009, dont 54 % dans des établissements tels que les universités, les écoles et 36% lors des fêtes de mariage et autres festivités familiales. La consommation des produits alimentaires périssables durant la saison estivale, en l'absence de règles d'hygiène est un danger avéré pour les citoyens. C'est dans ce sens, que le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a mis en garde contre l'achat de ces produits. Au niveau du même ministère, le docteur Hassina Hellal, en charge du programme contre les intoxications alimentaires et de l'hygiène, a tiré la sonnette d'alarme concernant certains produits alimentaire, bien que de base, mais périssables, à l'instar des œufs, du lait et ses dérivés, en sus des boissons vendues sur les trottoirs. En outre, ils sont étalés dans certains commerces où le respect des règles d'hygiène et de la chaîne du froid est le dernier de leurs soucis, faut-il le dire. La santé et même la vie des citoyens, est en danger, car précise-t-on, ces derniers risquent gros en achetant ces produits alimentaires exposés sur les lieux publics et dont le prix est plus qu'attrayant. Le ministère, précise-t-on, procède au recensement de 3 mille à 5 mille cas d'intoxication par an, en dépit des efforts déployés pour sensibiliser les citoyens.Ce qui est déplorable. Pour mettre fin à ces cas, il est nécessaire d'«exiger un certificat de conformité pour l'ouverture de restaurants ou de fast-foods et la stabilisation des activités commerciales pour un meilleur suivi par les services concernés », a-t-on indiqué de même source. Le docteur Hellal a, de ce fait, appelé les communes à élaborer un fichier concernant les activités commerciales exercées sur leurs territoires, pour permettre aux services d'hygiène de mieux les contrôler et de réduire les cas d'intoxications alimentaires. Le ministère de la Santé, ne peut, à lui seul, « déterminer les causes des intoxications alimentaires, sauf pour les cas hospitalisés », a rappelé Mme Hellal, qui affirme qu'en cas d'intoxication alimentaire touchant une famille, un seul membre de cette famille sera hospitalisé en général, alors que les membres restants prendront le médicament prescrit au malade déjà hospitalisé, sans avoir à consulter de médecin.Pour prévenir les intoxications alimentaires, elle préconise la stricte application des lois régissant les établissements de restauration rapide, à travers un contrôle continu, l'inspection et le suivi des établissements proposant des plats collectifs. Le ministère de la Santé a enregistré, au cours du premier semestre de l'année en cours, 1.337 cas d'intoxication alimentaire contre 4 mille cas en 2009, dont 54 % dans des établissements tels que les universités, les écoles et 36% lors des fêtes de mariage et autres festivités familiales.