Avec l'aide affichée par la Banque mondiale qui s'est montrée prête à financer des projets de développement solaire d'un montant supérieur à 5 milliards de dollars, l'Algérie va se monter coopérative pour exploiter ces énormes gisements solaires, en faisant, notamment, appel au partenariat des entreprisses spécialisées étrangères. Avec l'aide affichée par la Banque mondiale qui s'est montrée prête à financer des projets de développement solaire d'un montant supérieur à 5 milliards de dollars, l'Algérie va se monter coopérative pour exploiter ces énormes gisements solaires, en faisant, notamment, appel au partenariat des entreprisses spécialisées étrangères. Sachant que le développement des énergies renouvelables, notamment solaire, constituent un objectif essentiel de la politique nationale de diversification des sources d'énergie, les pouvoirs publics vont s'efforcer de réaliser des performances en se fixant le défi d'atteindre une capacité de 500 MW avant la fin de l'année 2010. Avec l'aide affichée par la Banque mondiale qui s'est montrée prête à financer des projets de développement solaire d'un montant supérieur à 5 milliards de dollars, l'Algérie va se monter coopérative pour exploiter ces énormes gisements solaires, en faisant, notamment, appel au partenariat des entreprisses spécialisées étrangères. Selon une évaluation réalisée par des experts de la Mission économique de l'ambassade de France à Alger, l'Algérie possède, en fait, un potentiel de gisement solaire incommensurable quantifié à près de 170 mille TWh par an. Forte de son potentiel dans la région Mena (Méditerranée et Afrique du Nord), l'Algérie envisage de promouvoir l'énergie solaire, notamment avec des sociétés allemandes qui s'intéressent beaucoup à cette source d'énergie inépuisable et propre. Récemment, des ministres de l'Economie et l'Energie des lands de la Bavière et de Rhénanie Westphalie ont visité l'Algérie où ils ont eu des rencontres avec des opérateurs économiques nationaux dans le but de conclure un partenariat gagnant-gagnant en matière d'énergie solaire. Alors que la part d'électricité produite à partir de l'énergie solaire pourrait se chiffrer à 5% de la consommation totale nationale de l'énergie électrique produite, Sonelgaz est prête à se lancer en partenariat avec des firmes étrangères en vue de développer des projets communs d'énergie solaire. Cela est d'autant plus plausible et ambitieux que le délestage effectué actuellement, (notamment durant la période estivale où les pics de consommation atteignent des niveaux inquiétants à cause de la surutilisation des climatiseurs), pénalise certaines régions du pays qui connaissent des coupures courantes d'électricité. L'Algérie renferme, selon le document de la Mission économique de l'ambassade de France, un trésor et un potentiel qualifié de plus important et plus riche dans le pourtour méditerranéen en précisant que «la durée moyenne d'ensoleillement du territoire national dépasse largement 2 mille heures par an tandis que, dans la partie du désert du Sahara algérien, ce chiffre pourrait grimper jusqu'à 3.500 heures annuellement. Le volume global d'énergie solaire à accumuler sera égal à la totalité de la consommation d'énergie électrique annuelle du pays, soit plus de 5 mille fois le niveau actuel de la consommation produite (par Sonelgaz)». L'utilisation de l'énergie solaire chez les habitants du Sahara, notamment au sein de la communauté des nomades est, actuellement, en vogue dans cette partie du pays où le soleil brille durant toutes les saisons. Equipées d'appareils générant l'énergie solaire et de panneaux solaires mobiles, ces populations vivent dans un environnement sain, propre et agréable sachant que cette énergie est renouvelable et ne cause aucun désagrément relatif aux coupures de courant électrique ou à la pollution de l'air, et en plus, elle est moins coûteuse. Sachant que le développement des énergies renouvelables, notamment solaire, constituent un objectif essentiel de la politique nationale de diversification des sources d'énergie, les pouvoirs publics vont s'efforcer de réaliser des performances en se fixant le défi d'atteindre une capacité de 500 MW avant la fin de l'année 2010. Avec l'aide affichée par la Banque mondiale qui s'est montrée prête à financer des projets de développement solaire d'un montant supérieur à 5 milliards de dollars, l'Algérie va se monter coopérative pour exploiter ces énormes gisements solaires, en faisant, notamment, appel au partenariat des entreprisses spécialisées étrangères. Selon une évaluation réalisée par des experts de la Mission économique de l'ambassade de France à Alger, l'Algérie possède, en fait, un potentiel de gisement solaire incommensurable quantifié à près de 170 mille TWh par an. Forte de son potentiel dans la région Mena (Méditerranée et Afrique du Nord), l'Algérie envisage de promouvoir l'énergie solaire, notamment avec des sociétés allemandes qui s'intéressent beaucoup à cette source d'énergie inépuisable et propre. Récemment, des ministres de l'Economie et l'Energie des lands de la Bavière et de Rhénanie Westphalie ont visité l'Algérie où ils ont eu des rencontres avec des opérateurs économiques nationaux dans le but de conclure un partenariat gagnant-gagnant en matière d'énergie solaire. Alors que la part d'électricité produite à partir de l'énergie solaire pourrait se chiffrer à 5% de la consommation totale nationale de l'énergie électrique produite, Sonelgaz est prête à se lancer en partenariat avec des firmes étrangères en vue de développer des projets communs d'énergie solaire. Cela est d'autant plus plausible et ambitieux que le délestage effectué actuellement, (notamment durant la période estivale où les pics de consommation atteignent des niveaux inquiétants à cause de la surutilisation des climatiseurs), pénalise certaines régions du pays qui connaissent des coupures courantes d'électricité. L'Algérie renferme, selon le document de la Mission économique de l'ambassade de France, un trésor et un potentiel qualifié de plus important et plus riche dans le pourtour méditerranéen en précisant que «la durée moyenne d'ensoleillement du territoire national dépasse largement 2 mille heures par an tandis que, dans la partie du désert du Sahara algérien, ce chiffre pourrait grimper jusqu'à 3.500 heures annuellement. Le volume global d'énergie solaire à accumuler sera égal à la totalité de la consommation d'énergie électrique annuelle du pays, soit plus de 5 mille fois le niveau actuel de la consommation produite (par Sonelgaz)». L'utilisation de l'énergie solaire chez les habitants du Sahara, notamment au sein de la communauté des nomades est, actuellement, en vogue dans cette partie du pays où le soleil brille durant toutes les saisons. Equipées d'appareils générant l'énergie solaire et de panneaux solaires mobiles, ces populations vivent dans un environnement sain, propre et agréable sachant que cette énergie est renouvelable et ne cause aucun désagrément relatif aux coupures de courant électrique ou à la pollution de l'air, et en plus, elle est moins coûteuse.