Les habitants de la nouvelle ville Massinissa connaissent d'énormes difficultés dans leurs déplacements quotidiens. Ce centre urbain, situé à quelques encablures de la ville du Khroub, semble être mal desservi par les transports en commun, tout autant que les taxis. Selon les nombreux citoyens qui se sont rapprochés des organes de presse afin d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur ce problème, il n'existe que six bus affectés à la ligne Constantine- Massinissa. Outre le nombre réduit pour une ville comptabilisant une population de 20 milles âmes, le service taxi est inexistant. Il faut au moins deux heures d'attente avant qu'un habitant de Massinissa puisse embarquer vers sa destination. Le soir, pour rentrer chez eux, les usagers de cette même ligne n'ont, devant eux, que deux alternatives, aussi incongrue l'une que l'autre .Soit débourser 300 à 350 dinars pour le prix d'une « course », soit se rabattre sur les transporteurs clandestins à raison de 50 dinars la place. Pour se rendre compte du calvaire vécu par des milliers de personnes, il suffit de faire un tour, à partir de 17 heures, du côté de la station de taxi aux alentours de l'hôtel Cirta. Une file d'attente impressionnante, composée d'hommes et de femmes, s'y agglutine dans l'espoir d'emprunter un moyen de locomotion avant la tombée de la nuit. « C'est le lot quotidien de tous les habitants de la nouvelle-ville Massinissa travaillant à Constantine » jugera-t-on utile de le rappeler. Les habitants de la nouvelle ville Massinissa connaissent d'énormes difficultés dans leurs déplacements quotidiens. Ce centre urbain, situé à quelques encablures de la ville du Khroub, semble être mal desservi par les transports en commun, tout autant que les taxis. Selon les nombreux citoyens qui se sont rapprochés des organes de presse afin d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur ce problème, il n'existe que six bus affectés à la ligne Constantine- Massinissa. Outre le nombre réduit pour une ville comptabilisant une population de 20 milles âmes, le service taxi est inexistant. Il faut au moins deux heures d'attente avant qu'un habitant de Massinissa puisse embarquer vers sa destination. Le soir, pour rentrer chez eux, les usagers de cette même ligne n'ont, devant eux, que deux alternatives, aussi incongrue l'une que l'autre .Soit débourser 300 à 350 dinars pour le prix d'une « course », soit se rabattre sur les transporteurs clandestins à raison de 50 dinars la place. Pour se rendre compte du calvaire vécu par des milliers de personnes, il suffit de faire un tour, à partir de 17 heures, du côté de la station de taxi aux alentours de l'hôtel Cirta. Une file d'attente impressionnante, composée d'hommes et de femmes, s'y agglutine dans l'espoir d'emprunter un moyen de locomotion avant la tombée de la nuit. « C'est le lot quotidien de tous les habitants de la nouvelle-ville Massinissa travaillant à Constantine » jugera-t-on utile de le rappeler.