Décidément, la prochaine rentrée sociale ne sera pas différente de ses précédentes. La protestation sera encore au rendez-vous cette année. En effet, les syndicats autonomes comptent renouer avec les mouvements de débrayage, après une accalmie qui n'aura finalement duré que le temps des vacances d'été. L'Union nationale des syndicats, une alliance entre six syndicats autonomes de la fonction publique, envisage un débrayage juste après le mois de ramadan en guise de protestation contre la dégradation du niveau de vie des fonctionnaires. Cette démonstration de force des syndicats autonomes se veut l'expression d'un marasme socioprofessionnel qui ne cesse de s'alourdir, devenant un fardeau très lourd à supporter pour les fonctionnaires. Aussi se veut-elle une réponse au retard pris par les pouvoirs publics dans l'examen et l'approbation des régimes indemnitaires et des majorations de salaires. Dans l'optique de l'action de protestation à la prochaine rentrée, le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) et le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) affûtent leurs armes, afin de faire de ce mouvement une réussite. A ce titre, l'Union nationale des syndicats autonomes organisera très prochainement une conférence nationale sur la politique des salaires et le pouvoir d'achat, avec la participation d'experts et de spécialistes en matière économique et sociale. L'objectif primordial de cette manifestation d'envergure nationale est de démontrer le déséquilibre existant entre les salaires de la fonction publique et le pouvoir d'achat des fonctionnaires. Ce dernier, en perpetuelle érosion, au fait, ne s'arrime plus avec les traitements mensuels des travailleurs, somme toute une inflation flagrante et une cherté de la vie incommensurable. Les syndicats autonomes donc, promettent une rentrée sociale explosive, si le gouvernement persiste à les ignorer. Le dialogue devient de plus en plus rare entre les deux parties. Le CNES a déjà adressé une correspondance au Premier ministère l'exhortant à l'impliquer dans les différentes décisions prises dans le secteur de l'Enseignement supérieur. A présent, l'heure est aux préparatifs de la conférence nationale sur la politique des salaires et le pouvoir d'achat. Les principaux animateurs de l'Union nationale des syndicats autonomes s'attellent à arrêter la date, le lieu, le programme et les participants à cette manifestation, en prélude à une rentrée sociale des plus chaudes. Il sera également question d'étoffer les rangs de l'Union par l'adhésion d'autres syndicats de la Fonction publique afin de mener une action musclée. Décidément, la prochaine rentrée sociale ne sera pas différente de ses précédentes. La protestation sera encore au rendez-vous cette année. En effet, les syndicats autonomes comptent renouer avec les mouvements de débrayage, après une accalmie qui n'aura finalement duré que le temps des vacances d'été. L'Union nationale des syndicats, une alliance entre six syndicats autonomes de la fonction publique, envisage un débrayage juste après le mois de ramadan en guise de protestation contre la dégradation du niveau de vie des fonctionnaires. Cette démonstration de force des syndicats autonomes se veut l'expression d'un marasme socioprofessionnel qui ne cesse de s'alourdir, devenant un fardeau très lourd à supporter pour les fonctionnaires. Aussi se veut-elle une réponse au retard pris par les pouvoirs publics dans l'examen et l'approbation des régimes indemnitaires et des majorations de salaires. Dans l'optique de l'action de protestation à la prochaine rentrée, le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) et le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) affûtent leurs armes, afin de faire de ce mouvement une réussite. A ce titre, l'Union nationale des syndicats autonomes organisera très prochainement une conférence nationale sur la politique des salaires et le pouvoir d'achat, avec la participation d'experts et de spécialistes en matière économique et sociale. L'objectif primordial de cette manifestation d'envergure nationale est de démontrer le déséquilibre existant entre les salaires de la fonction publique et le pouvoir d'achat des fonctionnaires. Ce dernier, en perpetuelle érosion, au fait, ne s'arrime plus avec les traitements mensuels des travailleurs, somme toute une inflation flagrante et une cherté de la vie incommensurable. Les syndicats autonomes donc, promettent une rentrée sociale explosive, si le gouvernement persiste à les ignorer. Le dialogue devient de plus en plus rare entre les deux parties. Le CNES a déjà adressé une correspondance au Premier ministère l'exhortant à l'impliquer dans les différentes décisions prises dans le secteur de l'Enseignement supérieur. A présent, l'heure est aux préparatifs de la conférence nationale sur la politique des salaires et le pouvoir d'achat. Les principaux animateurs de l'Union nationale des syndicats autonomes s'attellent à arrêter la date, le lieu, le programme et les participants à cette manifestation, en prélude à une rentrée sociale des plus chaudes. Il sera également question d'étoffer les rangs de l'Union par l'adhésion d'autres syndicats de la Fonction publique afin de mener une action musclée.