Dès sa première réunion après la clôture des travaux dimanche tard dans la soirée, le comité central du PT, issu du 6e congrès a renouvelé sa confiance au secrétaire général sortant, Louisa Hanoune pour un nouveau mandat. La patronne du PT qui s'est exprimée, hier au cours d'une conférence de presse, tenue à Alger pour faire le bilan de ces 6es assises nationales du parti au cours de laquelle elle a estimé que « le succès du 6e congrès a fait accomplir des pas de géant au PT ». La SG du PT s'est réjouie que le PT « renoue avec les fondamentaux » qui ont présidé à la création du PT, il y a de cela plus de vingt ans, expliquant cependant que le socialisme que défend le Parti des travailleurs n'a rien à rien à voir avec le socialisme scientifique, ni celui du système du parti unique, ni encore moins de Marx ou Lénine. Le socialisme de Louisa Hanoune est d'essence populaire où « le peuple n'est pas exclu du discours politique ». Enchaînant dans la logique du système socialiste, Louisa Hanoune a jugé qu'il est temps « de séparer la religion de la politique » dans la pratique politique, estimant que « l'Etat algérien est un Etat régi par des lois civiles et du droit positif, pas celle de la Chariâ ». Pour Louisa Hanoune, il n'y a pas de clergé et elle adresse de vives critiques contre les discours politiques réactionnaires qui stigmatisent la femme, estimant qu'il y a nécessité de « clarifier la position et la nature de l'Etat ». En tout état de cause, la patronne du PT s'est félicitée de ce qu'elle ait ouvert « un débat » sur cette question très sensible et que cela constitue une autre « expression de sortie de crise ». Revenant aux huit projets de résolutions présentés par les congressistes, Louisa Hanoune se félicite que « le PT revient aux instruments de progrès et aux traditions du mouvement ouvrier», dans la mesure où le peuple se réapproprie le débat politique et que le parti dispose d' « une véritable représentativité politique » et juge qu'il y a « un consensus des acteurs de scène politique nationale pour la dissolution de l'Assemblée populaire nationale qui est devenue obsolète ». Elle déplore que «les contradictions» aient toujours cours dans les centres de décisions et plaide pour la prise de «mesures transitoires pour améliorer les conditions de vie des populations et ainsi leur donner un gage». La SG du PT annonce que la nouvelle direction du parti est composée de 71 membres. Les amendements du statut du parti ont permis d'élargir la composante du Comité central et la création d'un nouvel organigramme, le bureau politique. Le conseil national disparaît. Il est remplacé par le plénum des cadres, une espèce de mini congrès qui se réunira une fois par mois. Le bureau politique dont la composante sera comprise entre 21 et 25 personnes se réunira quant à lui tous les mois. La souveraineté du comité central est réaffirmée par Louisa Hanoune qui indique que la composante du BP est un parfait « équilibre entre toutes les régions du pays ». La patronne du PT met en exergue « la jeunesse » des membres du comité central dont 50% ne dépassent pas l'âge de 50 ans. 13 jeunes font aussi partie de cet organe du PT. Répondant à une question sur la région du Sahel, Louisa Honoune estime que « l'AQMI n'est pas tombé du ciel » et met en avant « la grande sensibilité des régions du Sud ». Elle s'est dit par ailleurs convaincue que le président de la République a inscrit dans son agenda l'organisation d'une élection législative anticipée après l'élection présidentielle de 2004, Selon elle « l'équilibre précaire dans le pouvoir», n'a pas permis la chose. Dès sa première réunion après la clôture des travaux dimanche tard dans la soirée, le comité central du PT, issu du 6e congrès a renouvelé sa confiance au secrétaire général sortant, Louisa Hanoune pour un nouveau mandat. La patronne du PT qui s'est exprimée, hier au cours d'une conférence de presse, tenue à Alger pour faire le bilan de ces 6es assises nationales du parti au cours de laquelle elle a estimé que « le succès du 6e congrès a fait accomplir des pas de géant au PT ». La SG du PT s'est réjouie que le PT « renoue avec les fondamentaux » qui ont présidé à la création du PT, il y a de cela plus de vingt ans, expliquant cependant que le socialisme que défend le Parti des travailleurs n'a rien à rien à voir avec le socialisme scientifique, ni celui du système du parti unique, ni encore moins de Marx ou Lénine. Le socialisme de Louisa Hanoune est d'essence populaire où « le peuple n'est pas exclu du discours politique ». Enchaînant dans la logique du système socialiste, Louisa Hanoune a jugé qu'il est temps « de séparer la religion de la politique » dans la pratique politique, estimant que « l'Etat algérien est un Etat régi par des lois civiles et du droit positif, pas celle de la Chariâ ». Pour Louisa Hanoune, il n'y a pas de clergé et elle adresse de vives critiques contre les discours politiques réactionnaires qui stigmatisent la femme, estimant qu'il y a nécessité de « clarifier la position et la nature de l'Etat ». En tout état de cause, la patronne du PT s'est félicitée de ce qu'elle ait ouvert « un débat » sur cette question très sensible et que cela constitue une autre « expression de sortie de crise ». Revenant aux huit projets de résolutions présentés par les congressistes, Louisa Hanoune se félicite que « le PT revient aux instruments de progrès et aux traditions du mouvement ouvrier», dans la mesure où le peuple se réapproprie le débat politique et que le parti dispose d' « une véritable représentativité politique » et juge qu'il y a « un consensus des acteurs de scène politique nationale pour la dissolution de l'Assemblée populaire nationale qui est devenue obsolète ». Elle déplore que «les contradictions» aient toujours cours dans les centres de décisions et plaide pour la prise de «mesures transitoires pour améliorer les conditions de vie des populations et ainsi leur donner un gage». La SG du PT annonce que la nouvelle direction du parti est composée de 71 membres. Les amendements du statut du parti ont permis d'élargir la composante du Comité central et la création d'un nouvel organigramme, le bureau politique. Le conseil national disparaît. Il est remplacé par le plénum des cadres, une espèce de mini congrès qui se réunira une fois par mois. Le bureau politique dont la composante sera comprise entre 21 et 25 personnes se réunira quant à lui tous les mois. La souveraineté du comité central est réaffirmée par Louisa Hanoune qui indique que la composante du BP est un parfait « équilibre entre toutes les régions du pays ». La patronne du PT met en exergue « la jeunesse » des membres du comité central dont 50% ne dépassent pas l'âge de 50 ans. 13 jeunes font aussi partie de cet organe du PT. Répondant à une question sur la région du Sahel, Louisa Honoune estime que « l'AQMI n'est pas tombé du ciel » et met en avant « la grande sensibilité des régions du Sud ». Elle s'est dit par ailleurs convaincue que le président de la République a inscrit dans son agenda l'organisation d'une élection législative anticipée après l'élection présidentielle de 2004, Selon elle « l'équilibre précaire dans le pouvoir», n'a pas permis la chose.