La station de taxis du 1er-Mai (ex-Champ de Manœuvre) connait une rare pagaille en ces jours du mois de Ramadhan. Les taxis y sont rarissimes puisque beaucoup de chauffeurs de taxi préfèrent se reposer en restant chez eux. De ce fait l'offre est loin de couvrir totalement la demande. D'ailleurs même durant la journée certains chauffeurs de taxi préfèrent dormir afin d'éviter les embouteillages, causes d'énervement et des disputes et rixes qui meublent le quotidien des Algérois en ce mois sacré. Cette situation a mené à une situation de désordre où les usagers se rendant vers Hydra, El Biar ou Bab El-Oued sont condamnés à faire le pied de grue pendant des heures et à se disputer les rares taxis qui continuent à travailler. « C'est grave de nous énerver pour une place de taxi, mais ce n'est pas normal aussi d'attendre pendant plus d'une heure et pouvoir rester calme ! » déplore un jeune. Cette station, tout comme celle de la place Audin, est pourtant censée être au service du citoyen tout au long de l'année s'est transformée en ring où les bagarres sont légion. « C'est un ring de boxe pas une station» nous dira un vieux retraité. En effet, les usagers qui attendent les taxis, sont contraints de se bagarrer sans le moindre respect de l'ordre de la file ou de l'âge de leurs voisins dans celle-ci. Sachant bien que le prochain taxi ne viendra sans doute pas de si tôt. « S'il y avait un agent pour organiser et contrôler les départs des taxis et signaler les absents, cela contribuerait, sans doute, à améliorer la situation », nous dira une jeune dame. « Ils (les taxis) prétendent jeûner, le travail est une pratique de l'Islam aussi » ajoute-t-elle. « Ils appliquent les horaires de travail qui leur chantent au mépris de toute déontologie de la profession » rencherit une autre dame. Face à cette situation d'anarchie caractérisée, les autorités publiques et même religieuses devraient intervenir pour rappeler à leurs devoirs ces chauffeurs de taxi. Le pays ne s'arrête pas de travailler pendant le mois de Ramadhan, n'en déplaise à messieurs les chauffeurs de taxi. B. A. … et une fillette de 6 ans attaquée par un chien Les habitants de la place du 1er-Mai, plus précisément ceux du Groupe 2, ont assisté, lundi, à un spectacle d'horreur qui en a choqué plus d'un. Un chien, d'une race indéfinie, a attaqué une fillette âgé de 6 ans, cela à quelques minutes de la rupture du jeûne. Le drame a découlé des suites d'une bagarre qui a éclatée entre deux jeunes du quartier, bagarre qui a mal tournée. La fillette, présente sur les lieux était loin de se douter de ce qui l'attendait, occupée à jouer avec ses petites camarades en attendant l'Adhan. Le chien de l'in des deux antagonistes énervé certainement par les cris a attaqué la fillette en la mordant sauvagement à la jambe. L'intervention des voisins a été prompte et salutaire pour mettre fin au calvaire de la fillette qui a été emmenée en urgence vers l'hôpital pour y recevoir les premiers soins. K. H. La station de taxis du 1er-Mai (ex-Champ de Manœuvre) connait une rare pagaille en ces jours du mois de Ramadhan. Les taxis y sont rarissimes puisque beaucoup de chauffeurs de taxi préfèrent se reposer en restant chez eux. De ce fait l'offre est loin de couvrir totalement la demande. D'ailleurs même durant la journée certains chauffeurs de taxi préfèrent dormir afin d'éviter les embouteillages, causes d'énervement et des disputes et rixes qui meublent le quotidien des Algérois en ce mois sacré. Cette situation a mené à une situation de désordre où les usagers se rendant vers Hydra, El Biar ou Bab El-Oued sont condamnés à faire le pied de grue pendant des heures et à se disputer les rares taxis qui continuent à travailler. « C'est grave de nous énerver pour une place de taxi, mais ce n'est pas normal aussi d'attendre pendant plus d'une heure et pouvoir rester calme ! » déplore un jeune. Cette station, tout comme celle de la place Audin, est pourtant censée être au service du citoyen tout au long de l'année s'est transformée en ring où les bagarres sont légion. « C'est un ring de boxe pas une station» nous dira un vieux retraité. En effet, les usagers qui attendent les taxis, sont contraints de se bagarrer sans le moindre respect de l'ordre de la file ou de l'âge de leurs voisins dans celle-ci. Sachant bien que le prochain taxi ne viendra sans doute pas de si tôt. « S'il y avait un agent pour organiser et contrôler les départs des taxis et signaler les absents, cela contribuerait, sans doute, à améliorer la situation », nous dira une jeune dame. « Ils (les taxis) prétendent jeûner, le travail est une pratique de l'Islam aussi » ajoute-t-elle. « Ils appliquent les horaires de travail qui leur chantent au mépris de toute déontologie de la profession » rencherit une autre dame. Face à cette situation d'anarchie caractérisée, les autorités publiques et même religieuses devraient intervenir pour rappeler à leurs devoirs ces chauffeurs de taxi. Le pays ne s'arrête pas de travailler pendant le mois de Ramadhan, n'en déplaise à messieurs les chauffeurs de taxi. B. A. … et une fillette de 6 ans attaquée par un chien Les habitants de la place du 1er-Mai, plus précisément ceux du Groupe 2, ont assisté, lundi, à un spectacle d'horreur qui en a choqué plus d'un. Un chien, d'une race indéfinie, a attaqué une fillette âgé de 6 ans, cela à quelques minutes de la rupture du jeûne. Le drame a découlé des suites d'une bagarre qui a éclatée entre deux jeunes du quartier, bagarre qui a mal tournée. La fillette, présente sur les lieux était loin de se douter de ce qui l'attendait, occupée à jouer avec ses petites camarades en attendant l'Adhan. Le chien de l'in des deux antagonistes énervé certainement par les cris a attaqué la fillette en la mordant sauvagement à la jambe. L'intervention des voisins a été prompte et salutaire pour mettre fin au calvaire de la fillette qui a été emmenée en urgence vers l'hôpital pour y recevoir les premiers soins. K. H.