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Pénurie de transport et de parking
COMMUNE DE HYDRA
Publié dans El Watan le 14 - 09 - 2004

Bien qu'elle soit l'une des plus importantes communes de la capitale par le fait qu'elle constitue un pôle administratif important et une cité résidentielle par excellence, la commune d'Hydra est malheureusement mal desservie en matière de transport et de parking. Les habitants de cette localité se plaignent du faible nombre de taxis-compteur ou par place, assurant les liaisons entre Hydra et les deux importants centre de la capitale : La place du 1er Mai et celle d'Audin.
Les taxis reliant Hydra à Ben Aknoun ou à El Biar (ces deux destinations sont prisées beaucoup plus par les lycéens et les étudiants) sont devenus tellement rares qu'il est du domaine de l'impossible de « dénicher » un taxi desservant ces localités. C'est aussi le cas des microbus et bus, car Hydra est l'une des communes les moins loties en la matière. D'ailleurs, l'unique abribus de la place El Qods est constamment plein. Vieux et jeunes peinent à « mettre la main » sur un moyen de transport, surtout en cette période de canicule où le thermomètre a frôlé les 40°C. La rentrée sociale n'a fait qu'empirer la situation. Deux bus du secteur privé assurent la liaison Hydra-Ben Aknoun, alors que le bus de l'ETUSA assurant cette même liaison, connu sous l'appellation de « 44 », a disparu de la circulation depuis déjà plusieurs années. « Depuis que cette ligne a été suspendue, nous sommes obligés de parcourir une distance de plus d'un kilomètre pour rejoindre la placette El Qods, car le privé refuse de nous transporter jusqu'à notre cité », précise une sexagénaire habitant le quartier Sellier. Idem pour les locataires du quartier les Tours qui, eux aussi, sont dans l'obligation de parcourir une distance de plus d'un kilomètre pour espérer « dénicher » un taxi. L'arrêt des bus situé non loin de l'ambassade de Suède a été, lui aussi, supprimé. Les usagers qui ne savent pas à quel saint se vouer passent la plupart de leur temps, c'est-à-dire des heures durant, à attendre qu'un bus ou un taxi daignent les transporter vers leur destination. « C'est devenu insupportable. Les taxis ne s'arrêtent plus à la placette comme cela se faisait depuis très longtemps. Ils préfèrent transporter les usagers jusqu'au terminus des arrêts, du côté de La Perrine, à plus de 300 mètres de la placette Hydra », s'exprime une habitante de ce quartier résidentiel, habituée du taxi. Et d'ajouter : « Nous ne pouvons plus supporter cela. Les autorités doivent bouger et trouver une solution à ce problème. Même les taxis-compteurs refusent de s'arrêter. » De son côté, l'un des chauffeurs de taxi interrogé nous a expliqué que cette décision a été prise par les services de police voilà plus de quinze jours. « Nous n'avons plus le droit de nous arrêter à la placette ni de prendre nos passagers de cet endroit là. Les policiers nous l'ont formellement interdit. Nous n'y pouvons rien. C'est la loi. Nous risquons des retraits de permis et des amendes », argumente-t-il. Par ailleurs, les taxis, nous dit-on, préfèrent ne pas s'y rendre jusqu'au centre d'Hydra à cause de l'exiguïté de l'endroit et par le fait que cet arrêt est mitoyen avec le carrefour central de la placette, d'où les désagréments causés au trafic routier. Côté stationnement, c'est vraiment l'anarchie totale. A la rue Mohamed Hadj Ahmed, au boulevard Saïd Hamdine et dans presque toutes les rues et ruelles d'Hydra, le stationnement anarchique est devenu monnaie courante, créant des désagréments insupportables aussi bien aux automobilistes qu'aux piétons.
Amara Hakim, Nadir Kerri


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