Malgré ces mesures intensives, les voies urbaines de la ville de Annaba sont bloquées tout au long de ce mois de Ramadhan par des engins, dont des tractopelles, chargeurs et camions poids lourd, bouchant toutes les issues ne cédant place à aucune voie libre. Ces entreprises, privées ou étatiques, sont dans l'obligation de répondre aux normes de la loi en vigueur et d'achever ces chantiers avant la rentrée sociale», a martelé le wali au cours d'une réunion tenue au siège de la wilaya. Malgré ces mesures intensives, les voies urbaines de la ville de Annaba sont bloquées tout au long de ce mois de Ramadhan par des engins, dont des tractopelles, chargeurs et camions poids lourd, bouchant toutes les issues ne cédant place à aucune voie libre. Ces entreprises, privées ou étatiques, sont dans l'obligation de répondre aux normes de la loi en vigueur et d'achever ces chantiers avant la rentrée sociale», a martelé le wali au cours d'une réunion tenue au siège de la wilaya. Après tous les travaux d'assainissement et de réfection de routes qui ont été réalisés avant ce mois sacré par la wilaya de Annaba, d'autres projets, encore plus importants, seront, selon des sources concordantes, inspectés personnellement par le wali, M. Mohamed Ghazi, au courant du début de la rentrée sociale. Les maîtres d'ouvrage de ces chantiers d'infrastructures publique et de constructions de logements sont des propriétaires d'entreprises retardataires dans l'achèvement de leurs projets, vu qu'ils n'ont pas, selon le cahier de charges contractuel qui leur a été servi, respecté les délais prescrits de fin de projet. C'est ce rapport qui a été conclu pendant ce mois de Ramadhan par la commission technique de la wilaya, chargée du suivi et des contrôles. En effet, plusieurs chantiers sont ouverts à travers les douze communes de la wilaya, alors que d'autres sont à l'arrêt et même à l'abandon total pour manque parfois de ciment ou bien de main-d'œuvre qualifiée, aggravant énormément encore la situation de ce retard. Malgré ces mesures intensives, les voies urbaines de la ville de Annaba sont bloquées tout au long de ce mois de Ramadhan par des engins, dont des tractopelles, chargeurs et camions poids lourd, bouchant toutes les issues ne cédant place à aucune voie libre, ce qui rend notamment la circulation difficile. Ces entreprises, privées ou étatiques, ne se soucient guère de l'approche de la fête de l'Aïd, laissant derrière elles un lourd matériel quasiment à l'abandon dans des chantiers à moitié finis, offrant une mauvaise image de la ville. "Elles sont dans l'obligation de répondre aux normes de la loi en vigueur et d'achever ces chantiers avant la rentrée sociale», a martelé le wali au cours d'une réunion tenue au siège de la wilaya. Il y a lieu de noter que devant ces préoccupations et cette situation alarmante, le wali de Annaba ne manquera sûrement pas de lancer des avertissements, des blâmes, des mises en demeure, et de dresser même des procès-verbaux contre ceux qui n'ont pas répondu aux normes prescrites mentionnées dans les cahiers de charges, tout en avisant sévèrement ces entreprises qui ont laissé, toutefois, leurs travaux à la charge des riverains. A cet effet, le premier magistrat a tenu de multiples réunions pendant le mois de Ramadhan dans la salle de conférences de la wilaya de Annaba, regroupant, entre autres, tous les directeurs exécutifs, et des décisions formelles vont être annoncées prochainement contre ces retardataires. Après tous les travaux d'assainissement et de réfection de routes qui ont été réalisés avant ce mois sacré par la wilaya de Annaba, d'autres projets, encore plus importants, seront, selon des sources concordantes, inspectés personnellement par le wali, M. Mohamed Ghazi, au courant du début de la rentrée sociale. Les maîtres d'ouvrage de ces chantiers d'infrastructures publique et de constructions de logements sont des propriétaires d'entreprises retardataires dans l'achèvement de leurs projets, vu qu'ils n'ont pas, selon le cahier de charges contractuel qui leur a été servi, respecté les délais prescrits de fin de projet. C'est ce rapport qui a été conclu pendant ce mois de Ramadhan par la commission technique de la wilaya, chargée du suivi et des contrôles. En effet, plusieurs chantiers sont ouverts à travers les douze communes de la wilaya, alors que d'autres sont à l'arrêt et même à l'abandon total pour manque parfois de ciment ou bien de main-d'œuvre qualifiée, aggravant énormément encore la situation de ce retard. Malgré ces mesures intensives, les voies urbaines de la ville de Annaba sont bloquées tout au long de ce mois de Ramadhan par des engins, dont des tractopelles, chargeurs et camions poids lourd, bouchant toutes les issues ne cédant place à aucune voie libre, ce qui rend notamment la circulation difficile. Ces entreprises, privées ou étatiques, ne se soucient guère de l'approche de la fête de l'Aïd, laissant derrière elles un lourd matériel quasiment à l'abandon dans des chantiers à moitié finis, offrant une mauvaise image de la ville. "Elles sont dans l'obligation de répondre aux normes de la loi en vigueur et d'achever ces chantiers avant la rentrée sociale», a martelé le wali au cours d'une réunion tenue au siège de la wilaya. Il y a lieu de noter que devant ces préoccupations et cette situation alarmante, le wali de Annaba ne manquera sûrement pas de lancer des avertissements, des blâmes, des mises en demeure, et de dresser même des procès-verbaux contre ceux qui n'ont pas répondu aux normes prescrites mentionnées dans les cahiers de charges, tout en avisant sévèrement ces entreprises qui ont laissé, toutefois, leurs travaux à la charge des riverains. A cet effet, le premier magistrat a tenu de multiples réunions pendant le mois de Ramadhan dans la salle de conférences de la wilaya de Annaba, regroupant, entre autres, tous les directeurs exécutifs, et des décisions formelles vont être annoncées prochainement contre ces retardataires.