La commune de Makouda se situe sur la chaîne montagneuse de la Kabylie maritime, à seulement 19 km du chef-lieu de wilaya, cette commune, qui est aussi un chef- lieu de daïra qui compte pas moins de 50 mille habitants, demeure toujours un « grand village » en quête de développement local. La commune de Makouda se situe sur la chaîne montagneuse de la Kabylie maritime, à seulement 19 km du chef-lieu de wilaya, cette commune, qui est aussi un chef- lieu de daïra qui compte pas moins de 50 mille habitants, demeure toujours un « grand village » en quête de développement local. Le chef-lieu, qui se situe au centre de la commune, a du mal à se défaire de son aspect villageois car en plus de l'étroitesse des lieux qui rend impossible toutes les tentatives d'extension, la liste des services faisant défaut dans la daïra est longue à énumérer : une agence d'Algérie Télécom, une agence Sonalgaz, banques, centres de loisir ou une unité industrielle capable d'absorber ne serait-ce qu'une petite partie du taux de chômage effarant qui frappe les jeunes de la région condamnés à une oisiveté qui les jette, dans la plupart des cas, dans la gueule du vice et du banditisme! L'autre bête noire qui rend la vie des habitants de cette localité difficile, c'est l'basence d'eau potable, cette denrée rare notamment au solstice des journées caniculaire de l'été où ramener de l'eau devient une bataille quotidienne pour les ménages. Tributaires de la défaillante chaîne côtière qui se caractérise par les fuites et les pannes dans les stations de pompage et de refoulement, certains villages continuent toujours à s'alimenter aux bonnes vieilles fontaines réalisées à l'époque coloniale. La palme du stoïcisme et des privations revient au hameau Lemghassel qui en plus des pénuries d'eau potable et l'inexistence du réseau d'assainissement espère toujours son électrification… L'état des routes et autres chemins vicinaux laisse à désirer et bien que, le revêtement du CW03 est lancé et est pris en charge dans sa totalité, la majorité des chemins vicinaux ne le seront que partiellement. D'ailleurs c'est le cas, entre aures, des tronçons reliant le village Attouche aux hameaux Lemghassel, Izerrouken et Aïn Larbaa, où les villageois, pour regagner leurs hameaux doivent subir la boue en hiver et la poussière en été, une situation qui les incommode beaucoup et rend plus difficile leur quotidien de villageois.Concernant les infrastructures scolaire la commune de Makouda, avec une superficie de près de 40 km2, est dotée de 3 collèges, et de seulement un lycée situé entre le village Ait Farès et le village Tazrart ce qui contraint les habitants d'envoyer leurs enfants aux lycées de Tigzirt ou de Tizi Ouzou.Si on se penchait sur la situation sanitaire, là aussi il n'ya pas de quoi se réjouir, car pour 50 mille habitants pas de CHU dans l'air et la situation s'aggrave en l'absence de médecins spécialistes, car pour ce genre de consultation s'annonce une longue débandade pour le malade qui se voit balloter entre Tigzirt et Tizi Ouzou. La daïra de Makouda vit également une situation sécuritaire des plus inquiétantes, car elle demeure depuis le démantèlement des deux brigades de gendarmerie sans aucun corps de sécurité. La population de Makouda est livrée aux délinquants de tous bords, lesquels orbitent autour de nombreux débits de boissons illicites causant des tapages diurne et nocturne, des violences et autres agressions verbales et physiques., des cambriolages et des actes de banditisme qui se traduisent aussi par les vols de voitures devenus fréquents dans la région. Le chef-lieu, qui se situe au centre de la commune, a du mal à se défaire de son aspect villageois car en plus de l'étroitesse des lieux qui rend impossible toutes les tentatives d'extension, la liste des services faisant défaut dans la daïra est longue à énumérer : une agence d'Algérie Télécom, une agence Sonalgaz, banques, centres de loisir ou une unité industrielle capable d'absorber ne serait-ce qu'une petite partie du taux de chômage effarant qui frappe les jeunes de la région condamnés à une oisiveté qui les jette, dans la plupart des cas, dans la gueule du vice et du banditisme! L'autre bête noire qui rend la vie des habitants de cette localité difficile, c'est l'basence d'eau potable, cette denrée rare notamment au solstice des journées caniculaire de l'été où ramener de l'eau devient une bataille quotidienne pour les ménages. Tributaires de la défaillante chaîne côtière qui se caractérise par les fuites et les pannes dans les stations de pompage et de refoulement, certains villages continuent toujours à s'alimenter aux bonnes vieilles fontaines réalisées à l'époque coloniale. La palme du stoïcisme et des privations revient au hameau Lemghassel qui en plus des pénuries d'eau potable et l'inexistence du réseau d'assainissement espère toujours son électrification… L'état des routes et autres chemins vicinaux laisse à désirer et bien que, le revêtement du CW03 est lancé et est pris en charge dans sa totalité, la majorité des chemins vicinaux ne le seront que partiellement. D'ailleurs c'est le cas, entre aures, des tronçons reliant le village Attouche aux hameaux Lemghassel, Izerrouken et Aïn Larbaa, où les villageois, pour regagner leurs hameaux doivent subir la boue en hiver et la poussière en été, une situation qui les incommode beaucoup et rend plus difficile leur quotidien de villageois.Concernant les infrastructures scolaire la commune de Makouda, avec une superficie de près de 40 km2, est dotée de 3 collèges, et de seulement un lycée situé entre le village Ait Farès et le village Tazrart ce qui contraint les habitants d'envoyer leurs enfants aux lycées de Tigzirt ou de Tizi Ouzou.Si on se penchait sur la situation sanitaire, là aussi il n'ya pas de quoi se réjouir, car pour 50 mille habitants pas de CHU dans l'air et la situation s'aggrave en l'absence de médecins spécialistes, car pour ce genre de consultation s'annonce une longue débandade pour le malade qui se voit balloter entre Tigzirt et Tizi Ouzou. La daïra de Makouda vit également une situation sécuritaire des plus inquiétantes, car elle demeure depuis le démantèlement des deux brigades de gendarmerie sans aucun corps de sécurité. La population de Makouda est livrée aux délinquants de tous bords, lesquels orbitent autour de nombreux débits de boissons illicites causant des tapages diurne et nocturne, des violences et autres agressions verbales et physiques., des cambriolages et des actes de banditisme qui se traduisent aussi par les vols de voitures devenus fréquents dans la région.