Lorsque la consommation d'eau atteint son pic en été, le citoyen recourt à l'achat de citernes d'eau au prix fort ce qui laisse dire que la polémique est tellement importante que le département de Sellal a dépêché sur les lieux une commission composée du directeur général de l'ADE et du directeur central du Centre d'alimentation en eau potable affiliés au ministère des ressources en eau. Pour l'ADE de Bordj Bou-Arréridj, "Bordj n'a pas soif et nous continuons à alimenter régulièrement les citoyens en eau potable au rythme d'un jour sur deux et nous nous attelons à réhabiliter 24 km de la conduite reliant Bordj au barrage de Aïn Zada". Quant aux perturbations qui touchent certains quartiers et qui durent parfois plusieurs jours, l'ADE les impute à certains travaux intra-muros qui endommagent les canalisations ou, poursuit notre interlocuteur, par mesure de sécurité, "quand il s'agit d'un foyer de contamination susceptible de donner naissance à des MTH". En outre, notre interlocuteur a tenu à mettre fin à la rumeur qui circulait depuis quelques mois, incriminant les produits utilisés dans le traitement des eaux. Lorsque la consommation d'eau atteint son pic en été, le citoyen recourt à l'achat de citernes d'eau au prix fort ce qui laisse dire que la polémique est tellement importante que le département de Sellal a dépêché sur les lieux une commission composée du directeur général de l'ADE et du directeur central du Centre d'alimentation en eau potable affiliés au ministère des ressources en eau. Pour l'ADE de Bordj Bou-Arréridj, "Bordj n'a pas soif et nous continuons à alimenter régulièrement les citoyens en eau potable au rythme d'un jour sur deux et nous nous attelons à réhabiliter 24 km de la conduite reliant Bordj au barrage de Aïn Zada". Quant aux perturbations qui touchent certains quartiers et qui durent parfois plusieurs jours, l'ADE les impute à certains travaux intra-muros qui endommagent les canalisations ou, poursuit notre interlocuteur, par mesure de sécurité, "quand il s'agit d'un foyer de contamination susceptible de donner naissance à des MTH". En outre, notre interlocuteur a tenu à mettre fin à la rumeur qui circulait depuis quelques mois, incriminant les produits utilisés dans le traitement des eaux.