La conduite d'eau potable, amenant l'eau du barrage de Boukourdane au chef lieu de la wilaya de Tipasa, en passant par Nador, a été remise en service après une interruption due à un incident provoqué par les travailleurs chinois activant sur le chantier de la voie express, a-t-on appris lundi auprès du directeur de l'hydraulique, M. Youcef Gaby. Cet incident, qui a provoqué un arrêt momentané de la distribution sur cette conduite en fonte de 500 m de diamètre, mise en service au courant de ce mois d'août, a fait l'objet d'une réunion présidée par le secrétaire général de la wilaya en présence de tous les intervenants dont l'entreprise chinoise chargée du projet de la voie express Bou-Ismail/ Cherchell pour évaluer les dégâts. Ces derniers, évalués à 300.000 DA, seront pris en charge par l'entreprise chinoise "qui n'en est pas à sa première bourde étant donné que plusieurs incidents de ce genre ont eu lieu depuis le lancement des travaux de la voie express", selon le même responsable. Par ailleurs, la direction de l'hydraulique a remis un dossier technique comportant les schémas des conduite d'AEP et d'assainissement afin d'éviter ce genre d'incidents sur le tracé de la voie express qui doit recevoir cette semaine la visite du ministre des travaux publics. Le responsable de l'hydraulique déplorera cette situation d'autant, dira-t-il, que la conduite de 27 km venait juste d'être inaugurée pour renforcer l'AEP du chef lieu de wilaya, de Sidi Amar, Hadjout, Nador et Meurad. La réception, par la commune de Tipasa de quatre réservoirs d'une capacité globale de 10.000 m3, qui a été complétée par la mise en service de la conduite dédoublée sur 27 km venant du barrage de Boukourdane (situé dans la daïra de Sidi Amar), en passant par Sidi Moussa (Nador), a permis d'élever la capacité de traitement de l'eau évaluée actuellement à moins de 200 litres/seconde pour la porter à 600L/seconde, selon les responsables de l'hydraulique. APS La conduite d'eau potable, amenant l'eau du barrage de Boukourdane au chef lieu de la wilaya de Tipasa, en passant par Nador, a été remise en service après une interruption due à un incident provoqué par les travailleurs chinois activant sur le chantier de la voie express, a-t-on appris lundi auprès du directeur de l'hydraulique, M. Youcef Gaby. Cet incident, qui a provoqué un arrêt momentané de la distribution sur cette conduite en fonte de 500 m de diamètre, mise en service au courant de ce mois d'août, a fait l'objet d'une réunion présidée par le secrétaire général de la wilaya en présence de tous les intervenants dont l'entreprise chinoise chargée du projet de la voie express Bou-Ismail/ Cherchell pour évaluer les dégâts. Ces derniers, évalués à 300.000 DA, seront pris en charge par l'entreprise chinoise "qui n'en est pas à sa première bourde étant donné que plusieurs incidents de ce genre ont eu lieu depuis le lancement des travaux de la voie express", selon le même responsable. Par ailleurs, la direction de l'hydraulique a remis un dossier technique comportant les schémas des conduite d'AEP et d'assainissement afin d'éviter ce genre d'incidents sur le tracé de la voie express qui doit recevoir cette semaine la visite du ministre des travaux publics. Le responsable de l'hydraulique déplorera cette situation d'autant, dira-t-il, que la conduite de 27 km venait juste d'être inaugurée pour renforcer l'AEP du chef lieu de wilaya, de Sidi Amar, Hadjout, Nador et Meurad. La réception, par la commune de Tipasa de quatre réservoirs d'une capacité globale de 10.000 m3, qui a été complétée par la mise en service de la conduite dédoublée sur 27 km venant du barrage de Boukourdane (situé dans la daïra de Sidi Amar), en passant par Sidi Moussa (Nador), a permis d'élever la capacité de traitement de l'eau évaluée actuellement à moins de 200 litres/seconde pour la porter à 600L/seconde, selon les responsables de l'hydraulique. APS