Ce sont pas moins de sept sections syndicales de la compagnie aérienne Air Algérie, qui ont demandé l'autorisation pour la tenue de cette assemblée générale. Cette alliance des sections syndicales d'Air Algérie vise à contrer principalement l'accord salarial signé, selon ces syndicats, « en catimini avec le syndicat maison » Ce sont pas moins de sept sections syndicales de la compagnie aérienne Air Algérie, qui ont demandé l'autorisation pour la tenue de cette assemblée générale. Cette alliance des sections syndicales d'Air Algérie vise à contrer principalement l'accord salarial signé, selon ces syndicats, « en catimini avec le syndicat maison » La compagnie nationale Air Algérie n'en finit pas de traverser des zones de turbulences. Après les forts tumultes, dus au disfonctionnement (retards dans les départs et arrivées des vols pour toutes les destinations) qui ont secoué la compagnie durant tout l'été de cette année, c'est au tour du personnel de la compagnie, toutes catégories confondues, de mettre son grain de sel. Objet de l'ire des sections syndicales du pavillon national : « la situation de l'entreprise et l'accord salarial qui a semé la discorde au sein de l'entreprise, selon le communiqué transmis,hier, à notre rédaction par les sections syndicales Air Algérie, affiliées à l'UGTA. Autre griefs qui ont amené les syndicalistes à monter au créneau, pour revendiquer la tenue, selon le texte du communiqué d' « une assemblée générale dans les plus brefs délais » : «l'illégalité» du conseil syndical UGTA/entreprise et du Comité de participation don « le mandat a expiré en 2004» et celui « de deux membres de droit représentant les travailleurs au sein du Conseil d'administration ». En tout état de cause, ce sont pas moins de sept sections syndicales de la compagnie aérienne Air Algérie, (la section syndicale des pilotes de ligne, celle du technique-support, des œuvres sociales, du syndicat siège, du syndicat technique-spécifique, du fret et la section syndicale informatique) qui ont demandé l'autorisation pour la tenue de cette assemblée générale. Cette alliance des sections syndicales d'Air Algérie vise à contrer principalement l'accord salarial signé, selon ces syndicats, « en catimini avec le syndicat maison » qui n'est pas représentatif des travailleurs de la compagnie nationale et à plus forte raison, son mandat étant arrivé à terme en 2004. La guéguerre entre les sept sections syndicales affiliées à l'UGTA et le syndicat « maison », sur fond de signature de l'accord salarial entre le syndicat national d'entreprise Air Algérie et la direction de la compagnie est alimenté par le « flou et l'absence de transparence » qui caractérise cet accord, arguent les sept sections syndicales signataires du communiqué. Récemment, ces sections syndicales d'Air Algérie ont dénoncé ce pacte, fruit, selon eux « de négociations déloyales, tenues à l'insu des travailleurs » se questionnant « quand, comment et entre qui cet accord honteux a-il été conclu», évoquant «une augmentation de moins de 2 000 dinars par mois pour les bas salaires et de 70 000 dinars par mois pour certains responsables, avec rappel à compter de janvier 2010». La guerre des tranchées est déclarée entre les deux syndicats qui se disent tous deux « représentatifs des travailleurs ». Certes, il ne faut pas se méprendre sur l' enjeu qui est le terreau de la bataille engagée par les sections syndicales d'Air Algérie, affiliées à l'UGTA et le syndicat national d'entreprise Air Algérie. Une bataille dont Air Algérie se serait bien passée, après les dures épreuves traversées durant les vacances estivales. Une lutte qui risque de déstabiliser encore un peu plus l'entreprise qui peine à sortir de la zone de turbulences qu'elle traverse depuis de longs mois. La compagnie nationale Air Algérie n'en finit pas de traverser des zones de turbulences. Après les forts tumultes, dus au disfonctionnement (retards dans les départs et arrivées des vols pour toutes les destinations) qui ont secoué la compagnie durant tout l'été de cette année, c'est au tour du personnel de la compagnie, toutes catégories confondues, de mettre son grain de sel. Objet de l'ire des sections syndicales du pavillon national : « la situation de l'entreprise et l'accord salarial qui a semé la discorde au sein de l'entreprise, selon le communiqué transmis,hier, à notre rédaction par les sections syndicales Air Algérie, affiliées à l'UGTA. Autre griefs qui ont amené les syndicalistes à monter au créneau, pour revendiquer la tenue, selon le texte du communiqué d' « une assemblée générale dans les plus brefs délais » : «l'illégalité» du conseil syndical UGTA/entreprise et du Comité de participation don « le mandat a expiré en 2004» et celui « de deux membres de droit représentant les travailleurs au sein du Conseil d'administration ». En tout état de cause, ce sont pas moins de sept sections syndicales de la compagnie aérienne Air Algérie, (la section syndicale des pilotes de ligne, celle du technique-support, des œuvres sociales, du syndicat siège, du syndicat technique-spécifique, du fret et la section syndicale informatique) qui ont demandé l'autorisation pour la tenue de cette assemblée générale. Cette alliance des sections syndicales d'Air Algérie vise à contrer principalement l'accord salarial signé, selon ces syndicats, « en catimini avec le syndicat maison » qui n'est pas représentatif des travailleurs de la compagnie nationale et à plus forte raison, son mandat étant arrivé à terme en 2004. La guéguerre entre les sept sections syndicales affiliées à l'UGTA et le syndicat « maison », sur fond de signature de l'accord salarial entre le syndicat national d'entreprise Air Algérie et la direction de la compagnie est alimenté par le « flou et l'absence de transparence » qui caractérise cet accord, arguent les sept sections syndicales signataires du communiqué. Récemment, ces sections syndicales d'Air Algérie ont dénoncé ce pacte, fruit, selon eux « de négociations déloyales, tenues à l'insu des travailleurs » se questionnant « quand, comment et entre qui cet accord honteux a-il été conclu», évoquant «une augmentation de moins de 2 000 dinars par mois pour les bas salaires et de 70 000 dinars par mois pour certains responsables, avec rappel à compter de janvier 2010». La guerre des tranchées est déclarée entre les deux syndicats qui se disent tous deux « représentatifs des travailleurs ». Certes, il ne faut pas se méprendre sur l' enjeu qui est le terreau de la bataille engagée par les sections syndicales d'Air Algérie, affiliées à l'UGTA et le syndicat national d'entreprise Air Algérie. Une bataille dont Air Algérie se serait bien passée, après les dures épreuves traversées durant les vacances estivales. Une lutte qui risque de déstabiliser encore un peu plus l'entreprise qui peine à sortir de la zone de turbulences qu'elle traverse depuis de longs mois.