Le mouvement de grogne, qui règne depuis des mois au sein de l'Entreprise des tracteurs agricoles (Etrag) de Oued H'mimime, a de fortes chances de se dissiper. En effet les rebondissements que vient de connaître l'ultime phase de négociations en sont la raison. Après plusieurs rounds successifs, couronnés d'échecs, autour de la question de l'augmentation des salaires, le syndicat et la direction ont fini par trouver un terrain d'entente. Un accord décroché au forceps vient d'être paraphé entre les parties concernées, portant sur une hausse de 18% du salaire de base. La poire a donc été coupée en deux. La revendication des travailleurs tournait autour d'une augmentation de 20% au moment où la direction n'en concédait que 15%. Le consensus auquel sont parvenus le partenaire social et les responsables de l'entreprise a été dévoilé, au collectif de l'Etrag, cette semaine. Entre des mines réjouites et d'autres désappointées, l'assemblée générale de mardi dernier, était pour le moins houleuse. Certains tiennent mordicus à l'application du même taux adopté par l'ensemble du secteur de la mécanique, c'est-à-dire 20%. D'autres semblent être satisfaits de ce résultat, d'autant que les primes de panier, du transport et de la femme au foyer ont été, elles aussi, réévaluées. Le mouvement de grogne, qui règne depuis des mois au sein de l'Entreprise des tracteurs agricoles (Etrag) de Oued H'mimime, a de fortes chances de se dissiper. En effet les rebondissements que vient de connaître l'ultime phase de négociations en sont la raison. Après plusieurs rounds successifs, couronnés d'échecs, autour de la question de l'augmentation des salaires, le syndicat et la direction ont fini par trouver un terrain d'entente. Un accord décroché au forceps vient d'être paraphé entre les parties concernées, portant sur une hausse de 18% du salaire de base. La poire a donc été coupée en deux. La revendication des travailleurs tournait autour d'une augmentation de 20% au moment où la direction n'en concédait que 15%. Le consensus auquel sont parvenus le partenaire social et les responsables de l'entreprise a été dévoilé, au collectif de l'Etrag, cette semaine. Entre des mines réjouites et d'autres désappointées, l'assemblée générale de mardi dernier, était pour le moins houleuse. Certains tiennent mordicus à l'application du même taux adopté par l'ensemble du secteur de la mécanique, c'est-à-dire 20%. D'autres semblent être satisfaits de ce résultat, d'autant que les primes de panier, du transport et de la femme au foyer ont été, elles aussi, réévaluées.