Youcef Yousfi a souligné, lors du Congrès mondial de l'énergie à Montréal, que «l'Algérie est résolument tournée par la diversification des sources d'énergie pour la génération et la production d'électricité en mettant, notamment, en relief le rôle des énergies renouvelables dont l'Algérie envisage de développer les technologies». Youcef Yousfi a souligné, lors du Congrès mondial de l'énergie à Montréal, que «l'Algérie est résolument tournée par la diversification des sources d'énergie pour la génération et la production d'électricité en mettant, notamment, en relief le rôle des énergies renouvelables dont l'Algérie envisage de développer les technologies». Désormais, la production de l'électricité en Algérie pourrait être diversifiée, selon le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, qui a souligné lors du Congrès mondial de l'énergie à Montréal, que «l'Algérie est résolument tournée par la diversification des sources d'énergie pour la génération et la production d'électricité en mettant, notamment, en relief le rôle des énergies renouvelables dont l'Algérie envisage de développer les technologies, sachant que l'objectif essentiel consiste à dépasser largement les 5% actuels dans l'utilisation des énergies renouvelables en Algérie». Le ministre a réaffirmé la politique du pays en matière d'accès à l'énergie en mentant l'accent sur la disponibilité de l'Algérie pour la promotion des énergies propres et renouvelables, la protection et la sauvegarde de l'environnement et enfin, la législation et la règlementation appropriées. Bien engagée dans la stratégie de généralisation de l'utilisation de l'énergie (électricité et gaz) pour la majorité des foyers, l'Algérie a entrepris de conférer ces énergies domestiques aux populations déshéritées pour garantir la promotion socioéconomique, a expliqué Yousfi à l'assistance composée essentiellement d'experts et de représentants de plus de cent pays. Ainsi, pour convaincre les congressistes des bonnes intentions de l'Algérie en matière énergétique, Yousfi a affirmé que «l'Algérie renferme d'énormes potentialités pour de nouvelles découvertes d'hydrocarbures estimées à plus de 1,6 million de kilomètres carrés, tandis que la surface offshore englobe plus de 100 mille km2». En plus, il a réitéré la position du pays en tant que fournisseur historique d'énergie fossile. En raison de son riche potentiel, l'Algérie peut développer facilement les énergies renouvelables (solaire, éolienne et photovoltaïque) sachant que le pays est ensoleillé durant plus de 3.500 heures annuellement, notamment dans les régions sahariennes. Le ministre a précisé, par ailleurs, que l'entreprise nationale des hydrocarbures, Sonatrach, est prête à investir plus de 50 milliards de dollars durant le plan quinquennal 2010-2014 dans les domaines pétrolier et gazier.Le ministre a également rappelé le rôle positif de l'Algérie dans l'approvisionnement de l'Europe en gaz naturel afin de satisfaire les besoins et des demandes des pays consommateurs, tels que la France, l'Italie et l'Espagne qui sont reliés par d'importants contrats de livraison, notamment par le biais des gazoducs Transmed, Maghreb-Europe et Mattei. A.A Désormais, la production de l'électricité en Algérie pourrait être diversifiée, selon le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, qui a souligné lors du Congrès mondial de l'énergie à Montréal, que «l'Algérie est résolument tournée par la diversification des sources d'énergie pour la génération et la production d'électricité en mettant, notamment, en relief le rôle des énergies renouvelables dont l'Algérie envisage de développer les technologies, sachant que l'objectif essentiel consiste à dépasser largement les 5% actuels dans l'utilisation des énergies renouvelables en Algérie». Le ministre a réaffirmé la politique du pays en matière d'accès à l'énergie en mentant l'accent sur la disponibilité de l'Algérie pour la promotion des énergies propres et renouvelables, la protection et la sauvegarde de l'environnement et enfin, la législation et la règlementation appropriées. Bien engagée dans la stratégie de généralisation de l'utilisation de l'énergie (électricité et gaz) pour la majorité des foyers, l'Algérie a entrepris de conférer ces énergies domestiques aux populations déshéritées pour garantir la promotion socioéconomique, a expliqué Yousfi à l'assistance composée essentiellement d'experts et de représentants de plus de cent pays. Ainsi, pour convaincre les congressistes des bonnes intentions de l'Algérie en matière énergétique, Yousfi a affirmé que «l'Algérie renferme d'énormes potentialités pour de nouvelles découvertes d'hydrocarbures estimées à plus de 1,6 million de kilomètres carrés, tandis que la surface offshore englobe plus de 100 mille km2». En plus, il a réitéré la position du pays en tant que fournisseur historique d'énergie fossile. En raison de son riche potentiel, l'Algérie peut développer facilement les énergies renouvelables (solaire, éolienne et photovoltaïque) sachant que le pays est ensoleillé durant plus de 3.500 heures annuellement, notamment dans les régions sahariennes. Le ministre a précisé, par ailleurs, que l'entreprise nationale des hydrocarbures, Sonatrach, est prête à investir plus de 50 milliards de dollars durant le plan quinquennal 2010-2014 dans les domaines pétrolier et gazier.Le ministre a également rappelé le rôle positif de l'Algérie dans l'approvisionnement de l'Europe en gaz naturel afin de satisfaire les besoins et des demandes des pays consommateurs, tels que la France, l'Italie et l'Espagne qui sont reliés par d'importants contrats de livraison, notamment par le biais des gazoducs Transmed, Maghreb-Europe et Mattei. A.A