Des centaines de fonctionnaires et de retraités de la wilaya de Jijel, ayant des familles à charge avec des enfants scolarisés en plus, trouvent toutes les peines du monde, ces jours-ci, à honorer leurs différents achats et surtout la facture salée des affaires scolaires. Et pour cause, la hausse vertigineuse des prix de ces dernières, que d'aucuns estiment excessive, la pénurie, pour ne pas dire la crise des liquidités, qui perdure dans les 48 bureaux de poste de la wilaya, fait que bon nombre de pères de famille n'ont plus de sou. Les parents, dont les salaires du mois de septembre viennent d'être versés, n'ont pu les retirer, et continuent de faire le pied de grue pour certains, matin et soir, devant les guichets de poste, lesquels sont submergés quotidiennement par des marrées humaines sans fin. Evidemment, cela n'a fait qu'accentuer le courroux des clients d'Algérie Poste, lorsqu'on sait que personne ne s'attendait à cette pénurie qui n'a que trop duré depuis la fin du mois d'août dernier, faut-il le rappeler. Un fonctionnaire de l'éducation, par exemple, dans l'impossibilité de retirer son modique salaire, nous a fait savoir, l'autre jour, qu'il se trouve à court d'argent, ce qui l'a conduit à recourir au crédit pour faire face à certains achats de l'heure.Un phénomène qui, semble-t-il, a resurgi en force ces derniers temps chez pas mal de commerçants de la place, notamment ceux détenant des librairies et des magasins d'habillement. Faisant face à des dépenses extraordinaires, rentrée scolaire oblige, des clients d'Algérie Poste ne pouvant retirer la totalité de leur argent s'interrogent sur les tenants et les aboutissants de cette pénurie de liquidités. Précisons, enfin, que l'unité de wilaya d'Algérie Poste gère un portefeuille de 218.994 comptes CCP. Des centaines de fonctionnaires et de retraités de la wilaya de Jijel, ayant des familles à charge avec des enfants scolarisés en plus, trouvent toutes les peines du monde, ces jours-ci, à honorer leurs différents achats et surtout la facture salée des affaires scolaires. Et pour cause, la hausse vertigineuse des prix de ces dernières, que d'aucuns estiment excessive, la pénurie, pour ne pas dire la crise des liquidités, qui perdure dans les 48 bureaux de poste de la wilaya, fait que bon nombre de pères de famille n'ont plus de sou. Les parents, dont les salaires du mois de septembre viennent d'être versés, n'ont pu les retirer, et continuent de faire le pied de grue pour certains, matin et soir, devant les guichets de poste, lesquels sont submergés quotidiennement par des marrées humaines sans fin. Evidemment, cela n'a fait qu'accentuer le courroux des clients d'Algérie Poste, lorsqu'on sait que personne ne s'attendait à cette pénurie qui n'a que trop duré depuis la fin du mois d'août dernier, faut-il le rappeler. Un fonctionnaire de l'éducation, par exemple, dans l'impossibilité de retirer son modique salaire, nous a fait savoir, l'autre jour, qu'il se trouve à court d'argent, ce qui l'a conduit à recourir au crédit pour faire face à certains achats de l'heure.Un phénomène qui, semble-t-il, a resurgi en force ces derniers temps chez pas mal de commerçants de la place, notamment ceux détenant des librairies et des magasins d'habillement. Faisant face à des dépenses extraordinaires, rentrée scolaire oblige, des clients d'Algérie Poste ne pouvant retirer la totalité de leur argent s'interrogent sur les tenants et les aboutissants de cette pénurie de liquidités. Précisons, enfin, que l'unité de wilaya d'Algérie Poste gère un portefeuille de 218.994 comptes CCP.