De plus en plus de citoyens qui achètent des véhicules neufs directement chez des concessionnaires se retrouvent déçus par leur achat. Ils se plaignent de recenser plusieurs problèmes dans divers compartiments de la voiture. En effet, notre rédaction a été destinataire d'un courrier, également transmis à plusieurs journaux, où un citoyen se plaint d'avoir été « arnaqué par un concessionnaire automobile ». Le plaignant affirme s'en être rendu compte après avoir eu un accident. A sa stupéfaction, l'accident lui révèle encore plus de surprises. Beaucoup d'Algériens font face à cette situation. Ils achètent des véhicules auprès des concessionnaires, mais c'est après expertise du véhicule chez un tierce personne qu'ils se rendent compte du mauvais état du véhicule qui a été vendu comme étant neuf. Il y a donc lieu de se demander si il faut être victime d'un accident pour découvrir la mauvaise nouvelle, en dépit de toutes les garanties que donnent ces concessionnaires qui, faut-il le rappeler, représentent de grandes marques automobile ? Dans son courrier le client écrit que « SENIA AUTO ORAN m'a vendu le 11/07/2010 une Peugeot 207 Platinum accidentée et déclarée comme neuve ». Et d'ajouter : « En effet, suite à un accident de pare-brise le 23/08/2010, j'ai découvert que la voiture avait été accidentée et réparée avant de m'être livrée comme neuve ». Il découvre aussi plusieurs autres aléas dans son véhicule, à l'instar de la tôle, des creux de boulons et autres. Ce constat amer, dit-il, a été fait après « avoir effectué une expertise ». Il s'est indigné du manque de considération vis-à-vis de ses multiples rapprochements dudit concessionnaire et de Peugeot Algérie. Contacté par le Midi Libre, le concessionnaire en question nous confirme avoir reçu et pris en considération les réclamations du plaignant. Cependant, nous explique le responsable chargé de l'après-vente de SENIA AUTO ORAN, « le client en question, après avoir eu son accident, ne s'est nullement rapproché de nos services pour les réparations, sachant que son véhicule est toujours sous garantie ». De ce fait, ajoute-t-il, « nous ne pouvons en aucun cas prendre en considération une expertise effectuée en dehors de nos locaux, en plus du fait qu'il n'est pas évident de savoir dans quelles conditions le pare-brise a été retiré chez le réparateur où il s'est rendu en premier lieu ». Le client explique aussi dans son courrier que le concessionnaire « lui avait procuré une 207 Platinum disponible sur le réseau alors que toutes les 207 Platinum étaient déjà vendues ». Le responsable après vente dudit concessionnaire, pour sa part, rétorque que les véhicules peuvent être fournis en ayant recours au réseau de distribution, quand le modèle, dit-il, n'est pas en stock. De plus en plus de citoyens qui achètent des véhicules neufs directement chez des concessionnaires se retrouvent déçus par leur achat. Ils se plaignent de recenser plusieurs problèmes dans divers compartiments de la voiture. En effet, notre rédaction a été destinataire d'un courrier, également transmis à plusieurs journaux, où un citoyen se plaint d'avoir été « arnaqué par un concessionnaire automobile ». Le plaignant affirme s'en être rendu compte après avoir eu un accident. A sa stupéfaction, l'accident lui révèle encore plus de surprises. Beaucoup d'Algériens font face à cette situation. Ils achètent des véhicules auprès des concessionnaires, mais c'est après expertise du véhicule chez un tierce personne qu'ils se rendent compte du mauvais état du véhicule qui a été vendu comme étant neuf. Il y a donc lieu de se demander si il faut être victime d'un accident pour découvrir la mauvaise nouvelle, en dépit de toutes les garanties que donnent ces concessionnaires qui, faut-il le rappeler, représentent de grandes marques automobile ? Dans son courrier le client écrit que « SENIA AUTO ORAN m'a vendu le 11/07/2010 une Peugeot 207 Platinum accidentée et déclarée comme neuve ». Et d'ajouter : « En effet, suite à un accident de pare-brise le 23/08/2010, j'ai découvert que la voiture avait été accidentée et réparée avant de m'être livrée comme neuve ». Il découvre aussi plusieurs autres aléas dans son véhicule, à l'instar de la tôle, des creux de boulons et autres. Ce constat amer, dit-il, a été fait après « avoir effectué une expertise ». Il s'est indigné du manque de considération vis-à-vis de ses multiples rapprochements dudit concessionnaire et de Peugeot Algérie. Contacté par le Midi Libre, le concessionnaire en question nous confirme avoir reçu et pris en considération les réclamations du plaignant. Cependant, nous explique le responsable chargé de l'après-vente de SENIA AUTO ORAN, « le client en question, après avoir eu son accident, ne s'est nullement rapproché de nos services pour les réparations, sachant que son véhicule est toujours sous garantie ». De ce fait, ajoute-t-il, « nous ne pouvons en aucun cas prendre en considération une expertise effectuée en dehors de nos locaux, en plus du fait qu'il n'est pas évident de savoir dans quelles conditions le pare-brise a été retiré chez le réparateur où il s'est rendu en premier lieu ». Le client explique aussi dans son courrier que le concessionnaire « lui avait procuré une 207 Platinum disponible sur le réseau alors que toutes les 207 Platinum étaient déjà vendues ». Le responsable après vente dudit concessionnaire, pour sa part, rétorque que les véhicules peuvent être fournis en ayant recours au réseau de distribution, quand le modèle, dit-il, n'est pas en stock.