Le ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi a affirmé jeudi à Alger que "l'augmentation de la production industrielle est une priorité dans la stratégie du gouvernement" soulignant qu'un programme d'investissement public de l'ordre de 450 milliards de dinars a été retenu à cet effet. Répondant à un membre de l'Assemblée populaire nationale (APN) lors d'une séance plénière, le ministre a réaffirmé la volonté du ministère de poursuivre la stratégie industrielle initiée dans le cadre du programme du gouvernement soulignant que la relance du secteur s'appuyait sur le renforcement du secteur public à travers de nouveaux investissements dans le cadre du programme de relance des entreprises. Concernant le secteur privé, M. Benmeradi a indiqué que le gouvernement l'avait doté de différents mécanismes de soutien, dont le programme national d'assainissement des entreprises d'un montant de 386 milliards de dinars au profit de 20 mille petites et moyennes entreprises. Le gouvernement aspire à assurer une croissance soutenue "d'autant que 80% des potentialités de production sont exploitées à moins de 50% de leur capacité", a-t-il dit. En réponse à une question sur l'industrie pharmaceutique en Algérie, M. Benmeradi a indiqué qu'un programme de développement du groupe Saidal a été adopté par le conseil des participations de l'Etat et doté d'un crédit d'investissement appuyé par le Trésor public de plus de 16 milliards de dinars pour la réalisation de 6 usines de production de médicaments. Il a affirmé qu'à l'horizon 2020, la production pharmaceutique connaîtra une relance qui permettra une couverture à 100% des besoins du marché. Le gouvernement a adopté une série de mesures pour améliorer la place de Saidal dans la production nationale et le développement du secteur de la production pharmaceutique, notamment l'interdiction de l'importation de médicaments fabriqués localement et l'obligation d'un partenariat avec un opérateur algérien pour les investissements étrangers, conformément aux dispositions de la loi de finances complémentaire 2009, a ajouté M. Benmeradi. M.B. Le ministre de l'Industrie, de la Petite et moyenne entreprise et de la Promotion de l'investissement, M. Mohamed Benmeradi a affirmé jeudi à Alger que "l'augmentation de la production industrielle est une priorité dans la stratégie du gouvernement" soulignant qu'un programme d'investissement public de l'ordre de 450 milliards de dinars a été retenu à cet effet. Répondant à un membre de l'Assemblée populaire nationale (APN) lors d'une séance plénière, le ministre a réaffirmé la volonté du ministère de poursuivre la stratégie industrielle initiée dans le cadre du programme du gouvernement soulignant que la relance du secteur s'appuyait sur le renforcement du secteur public à travers de nouveaux investissements dans le cadre du programme de relance des entreprises. Concernant le secteur privé, M. Benmeradi a indiqué que le gouvernement l'avait doté de différents mécanismes de soutien, dont le programme national d'assainissement des entreprises d'un montant de 386 milliards de dinars au profit de 20 mille petites et moyennes entreprises. Le gouvernement aspire à assurer une croissance soutenue "d'autant que 80% des potentialités de production sont exploitées à moins de 50% de leur capacité", a-t-il dit. En réponse à une question sur l'industrie pharmaceutique en Algérie, M. Benmeradi a indiqué qu'un programme de développement du groupe Saidal a été adopté par le conseil des participations de l'Etat et doté d'un crédit d'investissement appuyé par le Trésor public de plus de 16 milliards de dinars pour la réalisation de 6 usines de production de médicaments. Il a affirmé qu'à l'horizon 2020, la production pharmaceutique connaîtra une relance qui permettra une couverture à 100% des besoins du marché. Le gouvernement a adopté une série de mesures pour améliorer la place de Saidal dans la production nationale et le développement du secteur de la production pharmaceutique, notamment l'interdiction de l'importation de médicaments fabriqués localement et l'obligation d'un partenariat avec un opérateur algérien pour les investissements étrangers, conformément aux dispositions de la loi de finances complémentaire 2009, a ajouté M. Benmeradi. M.B.