Ce sont pas moins de 1. million 230.mille étudiants, dont 237 mille.543 nouveaux bacheliers, qui sont appelés à rejoindre, aujourd'hui, les bancs des établissements universitaires pour la rentrée universitaire 2010-2011. Les pouvoirs publics, en vue de faire face à ces étudiants, ont prévu 1 million 302 mille places pédagogiques et près de 558 mille lits d'hébergement, dont 118 mille places et 86 mille lits qui seront réceptionnés prochainement, a-t-on indiqué. Le réseau universitaire sera, également, enrichi par la création de 2 centres universitaires, 5 écoles préparatoires ainsi que de la création de 55 nouvelles résidences universitaires. Pour ce qui est de l'encadrement en ressources humaines, celui-ci a été renforcé par l'ouverture de 2.800 postes budgétaires au profit des enseignants chercheurs et 4.440 autres postes au profit de personnels administratifs et techniques. A la différence des années précédentes, a-t-on indiqué, les universités et les écoles supérieures seront soumises, cette année, à une évaluation répondant à des normes internationales pour garantir la qualité des enseignements. S'agissant de l'évaluation interne, la tâche sera ainsi confiée aux responsables des établissements mais aussi aux enseignants et aux étudiants, et ce, pour avoir une idée sur le taux de réussite, la moyenne des années que passe l'étudiant dans son établissement avant l'obtention de son diplôme et la qualité des stages réalisés durant son cursus universitaire. La deuxième évaluation est externe, d'une dimension nationale, précise-t-on et prise en charge par la commission nationale d'évaluation des enseignements et la commission nationale d'évaluation de recherche, dans le but de mettre en évidence la qualité des enseignements et pousser l'étudiant à fournir plus d'efforts dans ses études et ses recherches et, par conséquent, instaurer « la politique et la culture d'évaluation ». Cette opération, explique-t-on, permettra de créer une sorte de concurrence entre universités et écoles supérieures en vue de se faire un nom mais aussi attirer plus d'étudiants et d'entreprises économiques. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, avait, pour rappel, déclaré dernièrement que le traitement des fiches de voeux et affectations des nouveaux bacheliers a permis de satisfaire près de 96% dans l'un de leurs choix exprimés, un taux de satisfaction, selon lui, « jamais atteint auparavant ». Le Conseil des ministres avait, rappelons le, adopté, fin septembre, un projet de décret exécutif qui consacre une rétribution mensuelle fluctuant entre un maximum de 45 mille DA et un minimum de 20.mille DA respectivement au professeur et au maître-assistant de classe B activant dans le domaine de la recherche. La rétribution en question sera majorée pour les responsables d'unités de recherches régulièrement nommés, avec des montants allant de 20.mille DA pour un directeur d'unité de recherche, à 10 mille DA pour un chef d'équipe de recherche. Un second projet de décret portant statut du doctorant a été également adopté par le Conseil des ministres. Le statut du doctorant codifie, notamment, une série de mesures destinées à encourager l'étudiant inscrit pour l'obtention d'un diplôme de doctorat. Ainsi, outre une bourse mensuelle conséquente, le concerné bénéficiera d'autres formes de soutien et pourra concourir à temps partiel à l'enseignement supérieur contre rémunération. M. B. Ce sont pas moins de 1. million 230.mille étudiants, dont 237 mille.543 nouveaux bacheliers, qui sont appelés à rejoindre, aujourd'hui, les bancs des établissements universitaires pour la rentrée universitaire 2010-2011. Les pouvoirs publics, en vue de faire face à ces étudiants, ont prévu 1 million 302 mille places pédagogiques et près de 558 mille lits d'hébergement, dont 118 mille places et 86 mille lits qui seront réceptionnés prochainement, a-t-on indiqué. Le réseau universitaire sera, également, enrichi par la création de 2 centres universitaires, 5 écoles préparatoires ainsi que de la création de 55 nouvelles résidences universitaires. Pour ce qui est de l'encadrement en ressources humaines, celui-ci a été renforcé par l'ouverture de 2.800 postes budgétaires au profit des enseignants chercheurs et 4.440 autres postes au profit de personnels administratifs et techniques. A la différence des années précédentes, a-t-on indiqué, les universités et les écoles supérieures seront soumises, cette année, à une évaluation répondant à des normes internationales pour garantir la qualité des enseignements. S'agissant de l'évaluation interne, la tâche sera ainsi confiée aux responsables des établissements mais aussi aux enseignants et aux étudiants, et ce, pour avoir une idée sur le taux de réussite, la moyenne des années que passe l'étudiant dans son établissement avant l'obtention de son diplôme et la qualité des stages réalisés durant son cursus universitaire. La deuxième évaluation est externe, d'une dimension nationale, précise-t-on et prise en charge par la commission nationale d'évaluation des enseignements et la commission nationale d'évaluation de recherche, dans le but de mettre en évidence la qualité des enseignements et pousser l'étudiant à fournir plus d'efforts dans ses études et ses recherches et, par conséquent, instaurer « la politique et la culture d'évaluation ». Cette opération, explique-t-on, permettra de créer une sorte de concurrence entre universités et écoles supérieures en vue de se faire un nom mais aussi attirer plus d'étudiants et d'entreprises économiques. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, avait, pour rappel, déclaré dernièrement que le traitement des fiches de voeux et affectations des nouveaux bacheliers a permis de satisfaire près de 96% dans l'un de leurs choix exprimés, un taux de satisfaction, selon lui, « jamais atteint auparavant ». Le Conseil des ministres avait, rappelons le, adopté, fin septembre, un projet de décret exécutif qui consacre une rétribution mensuelle fluctuant entre un maximum de 45 mille DA et un minimum de 20.mille DA respectivement au professeur et au maître-assistant de classe B activant dans le domaine de la recherche. La rétribution en question sera majorée pour les responsables d'unités de recherches régulièrement nommés, avec des montants allant de 20.mille DA pour un directeur d'unité de recherche, à 10 mille DA pour un chef d'équipe de recherche. Un second projet de décret portant statut du doctorant a été également adopté par le Conseil des ministres. Le statut du doctorant codifie, notamment, une série de mesures destinées à encourager l'étudiant inscrit pour l'obtention d'un diplôme de doctorat. Ainsi, outre une bourse mensuelle conséquente, le concerné bénéficiera d'autres formes de soutien et pourra concourir à temps partiel à l'enseignement supérieur contre rémunération. M. B.