Il n'y a pas photo. Quand on grossit, c'est que l'on absorbe plus de calories que l'on en dépense. Comment faire pour avoir moins d'appétit et donc moins manger sans tomber dans le piège des coupe-faim dangereux ? Il n'y a pas photo. Quand on grossit, c'est que l'on absorbe plus de calories que l'on en dépense. Comment faire pour avoir moins d'appétit et donc moins manger sans tomber dans le piège des coupe-faim dangereux ? "Tous empâtés, patauds, par les pâtés, les gâteaux, ankylosés, soumis sous les kilos de calories, on est foutu, on mange trop", chantait Alain Souchon en 1979, sans savoir alors que sa chanson était vraiment prémonitoire. Trente ans plus tard, la «malbouffe» est de rigueur sur une grande partie de la planète et l'obésité est devenue une épidémie. On mange trop de gras, trop de sucre, le refrain est connu, qui rejoint "les pâtés, les gâteaux" du chanteur ! C'est ce que l'on a un appétit particulier pour le gras : c'est doux au palais, c'est moelleux, ça fait du bien, ça procure du plaisir : une frite, c'est plus agréable qu'une patate à l'eau ! Et quand ce gras est en même temps sucré, le plaisir s'en trouve décuplé. Tout une chimie se met en route dans notre tête, notre cerveau sécrète des molécules particulières, les endorphines, qui procurent une sensation de plaisir, de bien-être. En fait, on se shoote au gras/sucré. Faut-il éliminer tout ce qui est gras et sucré ? Certainement pas ! On ne va pas se priver de ce plaisir. Mais il faut trouver le moyen de manger moins, soit jamais au-delà de son appétit. Ecouter son appétit Dans notre cerveau, un centre de contrôle de l'appétit est installé. A chaque bouchée avalée, des infos lui sont envoyées qui lui indiquent les doses de gras, de sucre, de protéines, de calories qu'elle contient. Il reçoit aussi celles de l'estomac au fur et à mesure de son remplissage. Ce Bison futé de notre alimentation se tient tranquille tant que ces doses sont nécessaires et que l'estomac n'est pas rempli. Puis il envoie peu à peu des messages de ralentissement et de "stop" qui se traduisent par une diminution de l'appétit : au fur et à mesure du repas, on a de moins en moins envie de manger. Vous adorez la blanquette de veau et vous vous en êtes servi une grande assiette ? Si vous avez atteint votre quota de calories avant de l'avoir terminée, ce qui reste vous paraîtra beaucoup moins bon et vous n'aurez pas envie de la terminer. Sauf en vous forçant à manger encore, ce qui vous fait absorber alors des calories dont vous n'avez pas besoin et qui vont augmenter le stock de graisse de vos fesses et de vos cuisses. Du pain au début du repas Si, avant de vous mettre à table ou dès que vous y êtes assise, vous prenez le temps de manger tranquillement un morceau de pain, en le mâchant bien, en avalant chaque bouchée quand elle est vraiment en bouillie, votre Bison futé alimentaire reçoit l'info "glucides". Et il déclenche le processus d'enregistrement des données. Ce qui va faire remonter votre glycémie et diminuer votre appétit. Vous aurez moins faim et vous mangerez moins ensuite. Jus de tomate, le coupe-faim Le jus de tomate, bien épais, a l'heureux pouvoir d'occuper un estomac vide et ainsi de diminuer considérablement l'appétit. Garnissez votre frigo de petites boîtes ou d'un pack de ce jus et prenez-en un verre avant de vous mettre à table, . Grâce à ce coupe-faim complètement naturel, vous absorberez en plus une bonne dose d'antioxydants ! La tomate en est riche et ça sera tout bon pour vos artères et votre peau. Buvez en mangeant De l'eau, bien sûr. Plus vous boirez en mangeant, plus vous remplirez votre estomac. Comme la sensation de réplétion intervient aussi dans l'appétit, celui-ci diminuera d'autant plus vite. L'eau est un très bon coupe-faim. Des légumes en entrée Les légumes apportent un peu de glucides, pas du tout de lipides, pas mal de fibres et très peu de calories. Ils sont des ralentisseurs d'appétit remarquables. Si vous démarrez vos dîners avec une soupe de légumes, vous êtes certaine de manger moins ensuite car vous aurez ainsi rempli une partie de votre estomac. Pour les déjeuners, la bonne solution c'est une salade verte : avec un peu d'huile sinon vous emmagasinerez trop de lipides (gras). Faites l'expérience un jour de démarrer un de vos déjeuners avec elle. Vous verrez qu'elle vous coupera en grande partie l'appétit. Variez ces entrées coupe-faim : carottes râpées, dés de concombre au yaourt, tomates au basilic, poireaux vinaigrette, crudités mélangées, pamplemousse, tout cela est vite préparé, plein de vitamines, de sels minéraux, de fibres. Pomme et œuf dur Vous avez une fringale ? Au lieu de vous précipiter sur une dangereuse barre chocolatée ou des biscuits forcément gras, mangez une pomme ou un œuf dur. La première vous apporte plein de fibres et de sels minéraux, le second des protéines. L'un et l'autre peu de calories. Les deux s'installent dans votre estomac qui vous laissera alors tranquille pour un bon moment, le temps de les digérer. On peut difficilement trouver mieux comme coupe-faim au milieu de la matinée ou de l'après-midi. D'autant plus qu'ils sont faciles d'emploi. Si vous êtes de celles qui zappez en partie le petit déjeuner et qui êtes inévitablement victime d'une abominable fringale dans la matinée, emportez un œuf dur dans votre sac. Et qu'est-ce qui vous empêche d'avoir toujours une ou deux pommes d'avance dans le tiroir de votre bureau ? Vive le dessert sucré ! En diminuant ainsi votre appétit avant ou au début de vos repas, votre Bison futé alimentaire vous dira que vous n'êtes pas encore vraiment rassasiée et qu'il y a encore une petite place pour le dessert. Il vous apportera de douces sensations. Vous terminerez votre repas dans la béatitude glucidique sans être surchargée. Et il y a de grandes chances qu'alors, votre quota de glucides satisfait, vous n'ayez nulle envie de grignoter ensuite un truc sucré dans l'après-midi ou dans la soirée en regardant la télé ! C'est ainsi qu'en employant les bons coupe-faim, vous avez de grandes chances de ne plus manger au-delà de vos besoins énergétiques et de maigrir. Surtout si vous marchez. S. H. Source : Creapharm "Tous empâtés, patauds, par les pâtés, les gâteaux, ankylosés, soumis sous les kilos de calories, on est foutu, on mange trop", chantait Alain Souchon en 1979, sans savoir alors que sa chanson était vraiment prémonitoire. Trente ans plus tard, la «malbouffe» est de rigueur sur une grande partie de la planète et l'obésité est devenue une épidémie. On mange trop de gras, trop de sucre, le refrain est connu, qui rejoint "les pâtés, les gâteaux" du chanteur ! C'est ce que l'on a un appétit particulier pour le gras : c'est doux au palais, c'est moelleux, ça fait du bien, ça procure du plaisir : une frite, c'est plus agréable qu'une patate à l'eau ! Et quand ce gras est en même temps sucré, le plaisir s'en trouve décuplé. Tout une chimie se met en route dans notre tête, notre cerveau sécrète des molécules particulières, les endorphines, qui procurent une sensation de plaisir, de bien-être. En fait, on se shoote au gras/sucré. Faut-il éliminer tout ce qui est gras et sucré ? Certainement pas ! On ne va pas se priver de ce plaisir. Mais il faut trouver le moyen de manger moins, soit jamais au-delà de son appétit. Ecouter son appétit Dans notre cerveau, un centre de contrôle de l'appétit est installé. A chaque bouchée avalée, des infos lui sont envoyées qui lui indiquent les doses de gras, de sucre, de protéines, de calories qu'elle contient. Il reçoit aussi celles de l'estomac au fur et à mesure de son remplissage. Ce Bison futé de notre alimentation se tient tranquille tant que ces doses sont nécessaires et que l'estomac n'est pas rempli. Puis il envoie peu à peu des messages de ralentissement et de "stop" qui se traduisent par une diminution de l'appétit : au fur et à mesure du repas, on a de moins en moins envie de manger. Vous adorez la blanquette de veau et vous vous en êtes servi une grande assiette ? Si vous avez atteint votre quota de calories avant de l'avoir terminée, ce qui reste vous paraîtra beaucoup moins bon et vous n'aurez pas envie de la terminer. Sauf en vous forçant à manger encore, ce qui vous fait absorber alors des calories dont vous n'avez pas besoin et qui vont augmenter le stock de graisse de vos fesses et de vos cuisses. Du pain au début du repas Si, avant de vous mettre à table ou dès que vous y êtes assise, vous prenez le temps de manger tranquillement un morceau de pain, en le mâchant bien, en avalant chaque bouchée quand elle est vraiment en bouillie, votre Bison futé alimentaire reçoit l'info "glucides". Et il déclenche le processus d'enregistrement des données. Ce qui va faire remonter votre glycémie et diminuer votre appétit. Vous aurez moins faim et vous mangerez moins ensuite. Jus de tomate, le coupe-faim Le jus de tomate, bien épais, a l'heureux pouvoir d'occuper un estomac vide et ainsi de diminuer considérablement l'appétit. Garnissez votre frigo de petites boîtes ou d'un pack de ce jus et prenez-en un verre avant de vous mettre à table, . Grâce à ce coupe-faim complètement naturel, vous absorberez en plus une bonne dose d'antioxydants ! La tomate en est riche et ça sera tout bon pour vos artères et votre peau. Buvez en mangeant De l'eau, bien sûr. Plus vous boirez en mangeant, plus vous remplirez votre estomac. Comme la sensation de réplétion intervient aussi dans l'appétit, celui-ci diminuera d'autant plus vite. L'eau est un très bon coupe-faim. Des légumes en entrée Les légumes apportent un peu de glucides, pas du tout de lipides, pas mal de fibres et très peu de calories. Ils sont des ralentisseurs d'appétit remarquables. Si vous démarrez vos dîners avec une soupe de légumes, vous êtes certaine de manger moins ensuite car vous aurez ainsi rempli une partie de votre estomac. Pour les déjeuners, la bonne solution c'est une salade verte : avec un peu d'huile sinon vous emmagasinerez trop de lipides (gras). Faites l'expérience un jour de démarrer un de vos déjeuners avec elle. Vous verrez qu'elle vous coupera en grande partie l'appétit. Variez ces entrées coupe-faim : carottes râpées, dés de concombre au yaourt, tomates au basilic, poireaux vinaigrette, crudités mélangées, pamplemousse, tout cela est vite préparé, plein de vitamines, de sels minéraux, de fibres. Pomme et œuf dur Vous avez une fringale ? Au lieu de vous précipiter sur une dangereuse barre chocolatée ou des biscuits forcément gras, mangez une pomme ou un œuf dur. La première vous apporte plein de fibres et de sels minéraux, le second des protéines. L'un et l'autre peu de calories. Les deux s'installent dans votre estomac qui vous laissera alors tranquille pour un bon moment, le temps de les digérer. On peut difficilement trouver mieux comme coupe-faim au milieu de la matinée ou de l'après-midi. D'autant plus qu'ils sont faciles d'emploi. Si vous êtes de celles qui zappez en partie le petit déjeuner et qui êtes inévitablement victime d'une abominable fringale dans la matinée, emportez un œuf dur dans votre sac. Et qu'est-ce qui vous empêche d'avoir toujours une ou deux pommes d'avance dans le tiroir de votre bureau ? Vive le dessert sucré ! En diminuant ainsi votre appétit avant ou au début de vos repas, votre Bison futé alimentaire vous dira que vous n'êtes pas encore vraiment rassasiée et qu'il y a encore une petite place pour le dessert. Il vous apportera de douces sensations. Vous terminerez votre repas dans la béatitude glucidique sans être surchargée. Et il y a de grandes chances qu'alors, votre quota de glucides satisfait, vous n'ayez nulle envie de grignoter ensuite un truc sucré dans l'après-midi ou dans la soirée en regardant la télé ! C'est ainsi qu'en employant les bons coupe-faim, vous avez de grandes chances de ne plus manger au-delà de vos besoins énergétiques et de maigrir. Surtout si vous marchez. S. H. Source : Creapharm