Les mesures incitatives prévues par l'Etat en matière de soutien agricole et le développement et la promotion de cette filière, constituent des facteurs qui ont aidé certains agriculteurs de la wilaya à s'investir davantage dans ce domaine. La culture de la pomme de terre dans la wilaya de Tissemsilt, lancée pour la première fois au cours de la saison agricole écoulée (2009-2010), constitue une expérience prometteuse et incitative ayant bénéficié de différentes formes de soutien octroyé aux agriculteurs, indique-t-on à la DSA. Les mesures incitatives prévues par l'Etat en matière de soutien agricole et le développement et la promotion de cette filière, constituent des facteurs qui ont aidé certains agriculteurs de la wilaya à s'investir davantage dans ce domaine. La culture de la pomme de terre dans la wilaya de Tissemsilt, lancée pour la première fois au cours de la saison agricole écoulée (2009-2010), constitue une expérience prometteuse et incitative ayant bénéficié de différentes formes de soutien octroyé aux agriculteurs, indique-t-on à la DSA. La disponibilité des structures nécessaires à la mobilisation et la fourniture de ressources en eau destinées à l'irrigation agricole sont des facteurs ayant motivé les agriculteurs qui comptent mener à bien cette nouvelle expérience dans la région, connue surtout pour sa production céréalière toutes spéculations confondues. Parmi ces infrastructures, le barrage "Bougara", dont la capacité de stockage est de 11 millions de mètres cubes, qui a permis l'irrigation des terres agricoles environnantes, dont notamment les 135 hectares destinés durant la dernière saison à la récolte de pomme de terre. Selon le directeur des services agricoles de la wilaya de Tissemsilt, cette expérience a vu la contribution de quatre agriculteurs de la région en collaboration avec certains investisseurs de la wilaya avoisinante de Ain Defla, qui ont une expérience considérable dans le domaine de la culture de pomme de terre. La même source ajoute que la culture de la pomme de terre hors saison a été entamée au mois de mai dernier, grâce à l'apport en semences, estimé à 2.250 quintaux, de la wilaya d'Ain Defla. La direction du secteur prévoit la production entre 250 et 300 quintaux à l'hectare de ce tubercule à large consommation, ce qui augure d'une bonne récolte durant la campagne agricole en cours. Le DSA a également souligné que la culture de pomme de terre ne se limite pas au périmètre du barrage de "Bougara". Ce tubercule est planté sur une superficie de 25 ha au périmètre de "Meghila" dans la commune de Layoune utilisant les eaux de cet ouvrage consacrées à l'irrigation d'environ 700 hectares de terres agricoles. Les mesures incitatives prévues par l'Etat en matière de soutien agricole et le développement et la promotion de cette filière, constituent des facteurs qui ont aidé certains agriculteurs de la wilaya à s'investir davantage dans ce domaine. Il s'agit du soutien des prix des engrais à hauteur de 20 pour cent, ainsi que les moyens d'irrigation représentés par la technique d'irrigation par pivot à un taux de 60% et par système goutte à goutte (50%). Cette opération a commencé à donner des résultats positifs en termes de perspectives économiques grâce à la création de plus de 200 postes d'emploi temporaires, alors qu'il est attendu la réalisation de l'autosuffisance en ce produit dans la région au lieu de recourir aux wilayas avoisinantes à l'exemple de Ain Defla et Tiaret, selon la même source.Cette expérience permettra également la diversification des cultures en dehors de la filière céréalière. Il est question de réfléchir à d'autres expériences telles que la culture de la tomate, sachant que les céréales ne couvrent que 50 pour cent des terres dans la région, soit pas plus que 70 mille hectares, selon la DSA. Le fellah Ait Hamadouche estime que les grandes facilités qui lui ont été accordées, liées à la mobilisation de l'eau du barrage "Bougara" sont un catalyseur important dans la promotion et le développement de la filière pomme de terre dans la région. Pour sa part, M. Mohammed Mehri, agriculteur de Tissemsilt participant à cette opération, trouve que la quantité de la production cette année est prometteuse, notamment grâce aux facilités et aux facteurs incitatifs comme l'eau, les engrais et les semences. Le directeur des services agricoles de la wilaya souligne que cette expérience sera élargie l'année prochaine partant du fait que le secteur de l'irrigation réceptionnera, lors de la même période, cinq retenues collinaires, deux petits barrages et une station d'épuration et de traitement des eaux usées au chef-lieu de wilaya. La disponibilité des structures nécessaires à la mobilisation et la fourniture de ressources en eau destinées à l'irrigation agricole sont des facteurs ayant motivé les agriculteurs qui comptent mener à bien cette nouvelle expérience dans la région, connue surtout pour sa production céréalière toutes spéculations confondues. Parmi ces infrastructures, le barrage "Bougara", dont la capacité de stockage est de 11 millions de mètres cubes, qui a permis l'irrigation des terres agricoles environnantes, dont notamment les 135 hectares destinés durant la dernière saison à la récolte de pomme de terre. Selon le directeur des services agricoles de la wilaya de Tissemsilt, cette expérience a vu la contribution de quatre agriculteurs de la région en collaboration avec certains investisseurs de la wilaya avoisinante de Ain Defla, qui ont une expérience considérable dans le domaine de la culture de pomme de terre. La même source ajoute que la culture de la pomme de terre hors saison a été entamée au mois de mai dernier, grâce à l'apport en semences, estimé à 2.250 quintaux, de la wilaya d'Ain Defla. La direction du secteur prévoit la production entre 250 et 300 quintaux à l'hectare de ce tubercule à large consommation, ce qui augure d'une bonne récolte durant la campagne agricole en cours. Le DSA a également souligné que la culture de pomme de terre ne se limite pas au périmètre du barrage de "Bougara". Ce tubercule est planté sur une superficie de 25 ha au périmètre de "Meghila" dans la commune de Layoune utilisant les eaux de cet ouvrage consacrées à l'irrigation d'environ 700 hectares de terres agricoles. Les mesures incitatives prévues par l'Etat en matière de soutien agricole et le développement et la promotion de cette filière, constituent des facteurs qui ont aidé certains agriculteurs de la wilaya à s'investir davantage dans ce domaine. Il s'agit du soutien des prix des engrais à hauteur de 20 pour cent, ainsi que les moyens d'irrigation représentés par la technique d'irrigation par pivot à un taux de 60% et par système goutte à goutte (50%). Cette opération a commencé à donner des résultats positifs en termes de perspectives économiques grâce à la création de plus de 200 postes d'emploi temporaires, alors qu'il est attendu la réalisation de l'autosuffisance en ce produit dans la région au lieu de recourir aux wilayas avoisinantes à l'exemple de Ain Defla et Tiaret, selon la même source.Cette expérience permettra également la diversification des cultures en dehors de la filière céréalière. Il est question de réfléchir à d'autres expériences telles que la culture de la tomate, sachant que les céréales ne couvrent que 50 pour cent des terres dans la région, soit pas plus que 70 mille hectares, selon la DSA. Le fellah Ait Hamadouche estime que les grandes facilités qui lui ont été accordées, liées à la mobilisation de l'eau du barrage "Bougara" sont un catalyseur important dans la promotion et le développement de la filière pomme de terre dans la région. Pour sa part, M. Mohammed Mehri, agriculteur de Tissemsilt participant à cette opération, trouve que la quantité de la production cette année est prometteuse, notamment grâce aux facilités et aux facteurs incitatifs comme l'eau, les engrais et les semences. Le directeur des services agricoles de la wilaya souligne que cette expérience sera élargie l'année prochaine partant du fait que le secteur de l'irrigation réceptionnera, lors de la même période, cinq retenues collinaires, deux petits barrages et une station d'épuration et de traitement des eaux usées au chef-lieu de wilaya.