Le marché tend ses tentacules partout, tous les trottoirs sont squattés sans que personne trouve à redire. Tous les Mileviens et les habitants de la wilaya se transforment en commerçants l'espace de quelques heures, dont des fonctionnaires, des chômeurs, des lycéens, des collégiens et des enfants. Le marché tend ses tentacules partout, tous les trottoirs sont squattés sans que personne trouve à redire. Tous les Mileviens et les habitants de la wilaya se transforment en commerçants l'espace de quelques heures, dont des fonctionnaires, des chômeurs, des lycéens, des collégiens et des enfants. Mila peut-elle vivre sans son souk bihebdomadaire et son commerce informel ? La réponse ne peut être que négative au vu des mouvements incessants d'hommes et de femmes qui viennent de tous les coins de la wilaya mais également des wilayas limitrophes, à l'instar de Constantine, Jijel et Skikda, et où les commerçants ambulants font de très bonnes affaires les mardis et samedis, jours de tenue du marché, un marché a priori très florissant et très fructueux. Tout se vend et s'achète. Les femmes inondent par leur présence les lieux où se tient le marché, et là il faut croire que c'est pratiquement tout un pan de la ville qui en fait office. Le nombre de femmes est impressionnant et la gent masculine respectueuse de la femme ne s'y rend jamais. Ce souk est appelé communément "Trabendo" ou "Souk ennssa". Les femmes de tous âges déambulent à longueur de journée les bras chargés de tas de marchandises diverses. Les prix pratiqués au "Trabendo" sont à la portée des petites et moyennes bourses. La qualité, quant à elle, n'est pas aussi bonne, comme certaines dames le pensent, mais comme avec un peu d'argent on peut se permettre certaines fantaisies, c'est la sempiternelle ruée vers ce bazar à ciel ouvert. Le marché tend ses tentacules partout, il n'a plus de limite dans l'espace ville. Aussi, tous les trottoirs sont squattés sans que personne ne trouve à redire. Tous les Mileviens (habitants de Mila-ville) et les habitants de la wilaya de Mila se transforment en commerçants l'espace de quelques heures, dont des fonctionnaires, des chômeurs, des lycéens, des collégiens et des enfants. Le commun des mortels croirait que tout Mila est un souk durant ces deux jours de la semaine. Cafés, restaurants et gargotes font des affaires en or. Peu importe la circulation automobile et piétonne, tout va sens dessus dessous avec cette béatitude de bien-être chez les uns comme chez les autres. La satisfaction est partagée par tous. Commerçants d'un jour, d'une heure, de quelques minutes, de toujours, responsables locaux, riverains et acheteurs arborent de grands sourires car Mila s'anime durant ces deux jours et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Chacun goûte aux plaisirs de tout le remue-ménage que crée le souk ; la satisfaction est totale. Ces deux jours de marché sont devenus par la grâce de "Trabendo" de vrais jours de fête à Mila. Et songer, comme le pensent certains, à "déménager" ou à "aménager" le souk c'est à coup sûr "tuer" la ville et le peu d'animation qui la marque en ces jours de bonne grâce. Mila peut-elle vivre sans son souk bihebdomadaire et son commerce informel ? La réponse ne peut être que négative au vu des mouvements incessants d'hommes et de femmes qui viennent de tous les coins de la wilaya mais également des wilayas limitrophes, à l'instar de Constantine, Jijel et Skikda, et où les commerçants ambulants font de très bonnes affaires les mardis et samedis, jours de tenue du marché, un marché a priori très florissant et très fructueux. Tout se vend et s'achète. Les femmes inondent par leur présence les lieux où se tient le marché, et là il faut croire que c'est pratiquement tout un pan de la ville qui en fait office. Le nombre de femmes est impressionnant et la gent masculine respectueuse de la femme ne s'y rend jamais. Ce souk est appelé communément "Trabendo" ou "Souk ennssa". Les femmes de tous âges déambulent à longueur de journée les bras chargés de tas de marchandises diverses. Les prix pratiqués au "Trabendo" sont à la portée des petites et moyennes bourses. La qualité, quant à elle, n'est pas aussi bonne, comme certaines dames le pensent, mais comme avec un peu d'argent on peut se permettre certaines fantaisies, c'est la sempiternelle ruée vers ce bazar à ciel ouvert. Le marché tend ses tentacules partout, il n'a plus de limite dans l'espace ville. Aussi, tous les trottoirs sont squattés sans que personne ne trouve à redire. Tous les Mileviens (habitants de Mila-ville) et les habitants de la wilaya de Mila se transforment en commerçants l'espace de quelques heures, dont des fonctionnaires, des chômeurs, des lycéens, des collégiens et des enfants. Le commun des mortels croirait que tout Mila est un souk durant ces deux jours de la semaine. Cafés, restaurants et gargotes font des affaires en or. Peu importe la circulation automobile et piétonne, tout va sens dessus dessous avec cette béatitude de bien-être chez les uns comme chez les autres. La satisfaction est partagée par tous. Commerçants d'un jour, d'une heure, de quelques minutes, de toujours, responsables locaux, riverains et acheteurs arborent de grands sourires car Mila s'anime durant ces deux jours et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Chacun goûte aux plaisirs de tout le remue-ménage que crée le souk ; la satisfaction est totale. Ces deux jours de marché sont devenus par la grâce de "Trabendo" de vrais jours de fête à Mila. Et songer, comme le pensent certains, à "déménager" ou à "aménager" le souk c'est à coup sûr "tuer" la ville et le peu d'animation qui la marque en ces jours de bonne grâce.