Des centaines de milliers de malades, notamment ceux démunis, n'ont pas accès aux médicaments vitaux et autres soins indispensables. Afin de soulager un tant soit peu la souffrance de ces malades, plusieurs associations ont vu le jour pour venir en aide à ces personnes et activent laborieusement malgré les grandes difficultés qu'elles rencontrent.. Des centaines de milliers de malades, notamment ceux démunis, n'ont pas accès aux médicaments vitaux et autres soins indispensables. Afin de soulager un tant soit peu la souffrance de ces malades, plusieurs associations ont vu le jour pour venir en aide à ces personnes et activent laborieusement malgré les grandes difficultés qu'elles rencontrent.. Il n'est plus secret pour personne que la situation des malades en Algérie ne cesse, malheureusement, de se dégrader, notamment à l'intérieur du pays. Les maladies chroniques surtout deviennent de plus en plus alarmantes à travers tout le pays. Et des cris de détresse s'élèvent chaque jour un peu partout à cause du manque flagrant de prise en charge. Des centaines de milliers de malades, notamment ceux démunis, n'ont pas accès aux médicaments vitaux et autres soins indispensables. Afin de soulager un tant soit peu la souffrance de ces malades, plusieurs associations ont vu le jour pour venir en aide à ces personnes et activent laborieusement malgré les grandes difficultés qu'elles rencontrent.. Les associations d'aide aux malades, à l'image de Karam (générosité) d'Alger, El-Badr d'aide aux cancéreux, El-Amel, l'Association contre les myopathies, SOS hépatites virales, El-Ihssan de Guelma, l'association d'aide aux diabétiques de Tlemcen…, pour ne citer que celles-ci, activent toutes pour minimiser les souffrances de cette frange très importante de la société. Elles ne cessent d'interpeller les pouvoirs publics pour mettre fin aux peines des malades et aux «dysfonctionnements» qui ternisent le secteur de la santé. «Les appels des associations d'aide aux malades sont incessants car la souffrance de ces derneir est quotidienne sans que cela trouve un écho auprès des autorités concernées», nous dira M. Salim Messbah, président de l'association Karam (générosité) d'Alger. Née en 2007, l'association Karam a souffert le martyre rien que pour avoir un agrément et pouvoir travailler d'une manière officielle. «Nous avons difficilement obtenu un agrément et pourtant notre association était toujours présente pendant des années aux côtés des autorités locales.» Il faut dire que ladite association est là pour apporter de l'aide à toute personne malade et démunie. Cette association, qui travaille avec toutes les catégories de la société, insiste surtout sur la sensibilisation de la société par rapport aux personnes malades démunies, notamment dans les régions reculées du pays. A l'intérieur du pays ou encore au Sud, les conditions de prise en charge des malades dans les hôpitaux et les centres de soins sont lamentables et des milliers de personnes meurent par manque de soins et à cause de la négligence des médecins, ou pour manque de spécialistes et de personnel en général ou pour rupture de stocks de médicaments ou encore les pannes répétitives du matériel, notamment celui de la radiologie ce qui entraîne obligatoirement des reports de rendez-vous et, donc, la dégradation de l'état de santé des malades, notamment chroniques. «Ce retard dans la découverte de la maladie retarde les soins, ce qui pèse lourd sur les malades qui succombent entre temps à leur maladie.» «Nous avons travaillé avec plusieurs association à l'intérieur et au sud du pays et nous avons, nous- mêmes, constaté la grande souffrance des malades, notamment chroniques, pour accéder aux soins ou avoir leurs médicaments», nous dira M. Mesbah. Le responsable ne manque pas de rappeler également le triste sort de ces malades qui souffrent de cancers du sang et de la peau dans le Sud sans même trouver un médicament qui apaise leur douleur. M. Mesbah a tenu à préciser que la situation n'est pas meilleure dans les grandes villes. Même dans la capitale, des centaines, pour ne pas dire des milliers, de malades sont renvoyés quotidiennement des hôpitaux et des centres médicaux pour non disponibilité de médicaments, absence de spécialistes ou panne des matériaux. «Cette capitale qui accueille les citoyens des quatre coins du pays n'offre pas, elle aussi, de meilleures conditions ni d'accueil ni de prise en charge aux malades», affirme M. Mesbah qui se dit très triste pour ces malades auxquels aucune attention n'est prêtée depuis de très longues années, malgré lesdites réformes et mesures de modernisation du secteur et l'amélioration des conditions d'accueil et de prise en charge. «Allez faire un tour dans les hôpitaux de la capitale pour découvrir les maux de notre société. Des malades pleins les couloirs et les salles d'attente des hôpitaux ; des malades qui supportent l'humiliation de certains infirmiers et responsables sans aucune conscience pour avoir un rendez-vous chez un spécialiste et d'autres qui font recours à des personnes bien placées pour décrocher ou rapprocher un rendez-vous», dira M. Mesbah. «Sans oublier ces centaines de personnes qui meurent chez elles parce qu'elles n'ont pas le moindre moyen pour aller consulter un médecin même en pleine capitale», ajoute le responsable. Combien de cancéreux, de diabétiques, d'insuffisants rénaux, de personnes atteintes de myopie, de stomisés, de malades mentaux, d'handicapés qui n'arrivent pas à accéder aux soins ni à avoir des médicaments ? s'interroge notre interlocuteur. Les cancéreux souffrent toujours le martyre dans ce pays puisque sur les cinq centres de radiothérapie existant au niveau national, seuls ceux du CPMC et de Blida fonctionnent. «Ils sont complètement surchargés et n'arrivent pas à accueillir tous les malades», regrette M. Mesbah. «Du coup, les rendez-vous sont trop éloignés, ce qui hypothèque sérieusement les chances de guérison des cancéreux.» Cette situation est pour M. Mesbah «inadmissible» et «les responsables doivent trouver des solutions urgentes pour remettre le secteur de la santé en Algérie sur les bonnes rails et améliorer réellement la prise en charge des cancéreux et doivent concrétiser leurs promesses sur le terrain.» Le responsable a également évoqué la nécessité d'une prise en charge par les directions des actions sociales des personnes démunies pour avoir leurs médicaments. «Déjà que plusieurs médicaments anti-cancer ne sont pas remboursables pour les personnes assurées que dire alors des personnes démunies et non couvertes par la sécurité sociale». Il est à noter que l'association d'aide aux malades a depuis sa création travaillé avec les personnes cancéreuses, notamment celles atteintes du cancer de sein et qui contribuent aujourd'hui dans les campagnes de sensibilisation et d'information qu'organise l'association en collaboration avec plein d'autres organisations algériennes et étrangère. «Nous avons présidé un genre de mouvement d'aide morale constitué de femmes ayant subi une intervention pour cancer du sein et qui ont, en quelque sorte, vaincu leur maladie pour informer et sensibiliser la société, notamment les femmes, sur l'importance de la prévention et le contrôle . «Nous avons pu mobiliser des bénévoles prêtes à écouter et mieux informer celles qui sont atteintes par cette maladie, à les rencontrer, à les aider, à répondre à leurs questions en leur racontant leurs expériences», dira M. Mesbah. «Pour être volontaire, il faut accepter totalement sa maladie, dépasser son propre problème, ne pas parler de soi (ce serait encore se soigner). On peut généralement arriver à cet état d'esprit deux à trois ans après l'opération», dira Mme Nacira, enseignante, qui elle-même a subi une ablation. Il faut dire que la peur du cancer est la même pour toute forme de cette maladie. «Pour le cancer du sein, les enjeux sont plus spécifiques : le sein est la représentation de la fonction nourricière. Il a toujours été associé à la tendresse, à la beauté du corps de la femme, ce qui rend l'adaptation avec la maladie de plus en plus difficile pour la femme.» Il faut savoir que la découverte d'un cancer, par exemple, ou de plusieurs autres maladies est pour le malade un traumatisme tragique. Plus encore que la découverte de la maladie, la mutilation, en l'empêchant d'exprimer ses questions, son désarroi ou ses doutes, le conduit souvent à s'isoler, à refuser le contact. Ce genre de réaction n'est évidemment pas fait pour favoriser la guérison et la réinsertion sociale. Il faut savoir aussi que les malades atteints de n'importe quelle sorte de cancer doivent trouver dans leur entourage, la force de lutter et de supporter le traitement, chose qu'offre généreusement les membres de ladite association «qui organisent des rencontres d'écoute et d'orientation aux malades». L'aide des volontaires des associations doit être une aide «complémentaire de celle apportée par les soignants». Généralement, les membres de l'association Karam offrent aux malades des livrets de conseils pratiques et les informent sur toute nouveauté dans le monde des soins et l'avancement des soins. Ils essaient de décrocher des rendez-vous et assurer des prises en charge, collecter des dons et des aides humanitaires pour soigner des malades, etc. Le président a aussi tenu à assurer que l'anonymat de la personne malade est respecté et les volontaires doivent garder le secret médical. «Il faut noter que l'association fonctionne principalement avec les aides financières des organisations nationales et internationales et les dons des personnes charitables», a tenu à préciser le président de l'association. En rendant visite aux malades dans les hôpitaux, les cliniques ou les centres spécialisés, les membres de ladite association essaient de rassurer les malades et leur prouver qu'ils sont entourés et aimés et leur prouvent avec des exemples qu'il est possible de vivre avec sa maladie. «En animant régulièrement des permanences ouvertes à tous, nous transmettons notre expérience, apportons aides et conseils aux malades ou à leurs proches. Par nos actions dans différents établissements de santé un peu partout dans le pays et nos nombreux contacts avec le corps médical et paramédical, nous contribuons à améliorer la qualité des soins et du suivi des malades et aussi et surtout de l'accueil du malade qui a tant besoin d'être respecté et aimé.» Nous aidons les malades dans leurs démarches administratives, et grâce à nos collaborations avec nombreuses organisations en Algérie ainsi qu'en dehors du pays, nous essayons d'intervenir à l'échelon pour aider des malades et même transporter certains cas en dehors du pays. Ces actions et plusieurs autres font aujourd'hui partie du quotidien des membres de l'association Karam qui font de plus en plus preuve de générosité et d'amour pour des êtres affaiblis par la maladie et l'incompréhension de l'entourage. Des malades qui ne pourront en se rapprochant de cette organisation que retrouver l'espoir et s'accrocher davantage à la vie. Il n'est plus secret pour personne que la situation des malades en Algérie ne cesse, malheureusement, de se dégrader, notamment à l'intérieur du pays. Les maladies chroniques surtout deviennent de plus en plus alarmantes à travers tout le pays. Et des cris de détresse s'élèvent chaque jour un peu partout à cause du manque flagrant de prise en charge. Des centaines de milliers de malades, notamment ceux démunis, n'ont pas accès aux médicaments vitaux et autres soins indispensables. Afin de soulager un tant soit peu la souffrance de ces malades, plusieurs associations ont vu le jour pour venir en aide à ces personnes et activent laborieusement malgré les grandes difficultés qu'elles rencontrent.. Les associations d'aide aux malades, à l'image de Karam (générosité) d'Alger, El-Badr d'aide aux cancéreux, El-Amel, l'Association contre les myopathies, SOS hépatites virales, El-Ihssan de Guelma, l'association d'aide aux diabétiques de Tlemcen…, pour ne citer que celles-ci, activent toutes pour minimiser les souffrances de cette frange très importante de la société. Elles ne cessent d'interpeller les pouvoirs publics pour mettre fin aux peines des malades et aux «dysfonctionnements» qui ternisent le secteur de la santé. «Les appels des associations d'aide aux malades sont incessants car la souffrance de ces derneir est quotidienne sans que cela trouve un écho auprès des autorités concernées», nous dira M. Salim Messbah, président de l'association Karam (générosité) d'Alger. Née en 2007, l'association Karam a souffert le martyre rien que pour avoir un agrément et pouvoir travailler d'une manière officielle. «Nous avons difficilement obtenu un agrément et pourtant notre association était toujours présente pendant des années aux côtés des autorités locales.» Il faut dire que ladite association est là pour apporter de l'aide à toute personne malade et démunie. Cette association, qui travaille avec toutes les catégories de la société, insiste surtout sur la sensibilisation de la société par rapport aux personnes malades démunies, notamment dans les régions reculées du pays. A l'intérieur du pays ou encore au Sud, les conditions de prise en charge des malades dans les hôpitaux et les centres de soins sont lamentables et des milliers de personnes meurent par manque de soins et à cause de la négligence des médecins, ou pour manque de spécialistes et de personnel en général ou pour rupture de stocks de médicaments ou encore les pannes répétitives du matériel, notamment celui de la radiologie ce qui entraîne obligatoirement des reports de rendez-vous et, donc, la dégradation de l'état de santé des malades, notamment chroniques. «Ce retard dans la découverte de la maladie retarde les soins, ce qui pèse lourd sur les malades qui succombent entre temps à leur maladie.» «Nous avons travaillé avec plusieurs association à l'intérieur et au sud du pays et nous avons, nous- mêmes, constaté la grande souffrance des malades, notamment chroniques, pour accéder aux soins ou avoir leurs médicaments», nous dira M. Mesbah. Le responsable ne manque pas de rappeler également le triste sort de ces malades qui souffrent de cancers du sang et de la peau dans le Sud sans même trouver un médicament qui apaise leur douleur. M. Mesbah a tenu à préciser que la situation n'est pas meilleure dans les grandes villes. Même dans la capitale, des centaines, pour ne pas dire des milliers, de malades sont renvoyés quotidiennement des hôpitaux et des centres médicaux pour non disponibilité de médicaments, absence de spécialistes ou panne des matériaux. «Cette capitale qui accueille les citoyens des quatre coins du pays n'offre pas, elle aussi, de meilleures conditions ni d'accueil ni de prise en charge aux malades», affirme M. Mesbah qui se dit très triste pour ces malades auxquels aucune attention n'est prêtée depuis de très longues années, malgré lesdites réformes et mesures de modernisation du secteur et l'amélioration des conditions d'accueil et de prise en charge. «Allez faire un tour dans les hôpitaux de la capitale pour découvrir les maux de notre société. Des malades pleins les couloirs et les salles d'attente des hôpitaux ; des malades qui supportent l'humiliation de certains infirmiers et responsables sans aucune conscience pour avoir un rendez-vous chez un spécialiste et d'autres qui font recours à des personnes bien placées pour décrocher ou rapprocher un rendez-vous», dira M. Mesbah. «Sans oublier ces centaines de personnes qui meurent chez elles parce qu'elles n'ont pas le moindre moyen pour aller consulter un médecin même en pleine capitale», ajoute le responsable. Combien de cancéreux, de diabétiques, d'insuffisants rénaux, de personnes atteintes de myopie, de stomisés, de malades mentaux, d'handicapés qui n'arrivent pas à accéder aux soins ni à avoir des médicaments ? s'interroge notre interlocuteur. Les cancéreux souffrent toujours le martyre dans ce pays puisque sur les cinq centres de radiothérapie existant au niveau national, seuls ceux du CPMC et de Blida fonctionnent. «Ils sont complètement surchargés et n'arrivent pas à accueillir tous les malades», regrette M. Mesbah. «Du coup, les rendez-vous sont trop éloignés, ce qui hypothèque sérieusement les chances de guérison des cancéreux.» Cette situation est pour M. Mesbah «inadmissible» et «les responsables doivent trouver des solutions urgentes pour remettre le secteur de la santé en Algérie sur les bonnes rails et améliorer réellement la prise en charge des cancéreux et doivent concrétiser leurs promesses sur le terrain.» Le responsable a également évoqué la nécessité d'une prise en charge par les directions des actions sociales des personnes démunies pour avoir leurs médicaments. «Déjà que plusieurs médicaments anti-cancer ne sont pas remboursables pour les personnes assurées que dire alors des personnes démunies et non couvertes par la sécurité sociale». Il est à noter que l'association d'aide aux malades a depuis sa création travaillé avec les personnes cancéreuses, notamment celles atteintes du cancer de sein et qui contribuent aujourd'hui dans les campagnes de sensibilisation et d'information qu'organise l'association en collaboration avec plein d'autres organisations algériennes et étrangère. «Nous avons présidé un genre de mouvement d'aide morale constitué de femmes ayant subi une intervention pour cancer du sein et qui ont, en quelque sorte, vaincu leur maladie pour informer et sensibiliser la société, notamment les femmes, sur l'importance de la prévention et le contrôle . «Nous avons pu mobiliser des bénévoles prêtes à écouter et mieux informer celles qui sont atteintes par cette maladie, à les rencontrer, à les aider, à répondre à leurs questions en leur racontant leurs expériences», dira M. Mesbah. «Pour être volontaire, il faut accepter totalement sa maladie, dépasser son propre problème, ne pas parler de soi (ce serait encore se soigner). On peut généralement arriver à cet état d'esprit deux à trois ans après l'opération», dira Mme Nacira, enseignante, qui elle-même a subi une ablation. Il faut dire que la peur du cancer est la même pour toute forme de cette maladie. «Pour le cancer du sein, les enjeux sont plus spécifiques : le sein est la représentation de la fonction nourricière. Il a toujours été associé à la tendresse, à la beauté du corps de la femme, ce qui rend l'adaptation avec la maladie de plus en plus difficile pour la femme.» Il faut savoir que la découverte d'un cancer, par exemple, ou de plusieurs autres maladies est pour le malade un traumatisme tragique. Plus encore que la découverte de la maladie, la mutilation, en l'empêchant d'exprimer ses questions, son désarroi ou ses doutes, le conduit souvent à s'isoler, à refuser le contact. Ce genre de réaction n'est évidemment pas fait pour favoriser la guérison et la réinsertion sociale. Il faut savoir aussi que les malades atteints de n'importe quelle sorte de cancer doivent trouver dans leur entourage, la force de lutter et de supporter le traitement, chose qu'offre généreusement les membres de ladite association «qui organisent des rencontres d'écoute et d'orientation aux malades». L'aide des volontaires des associations doit être une aide «complémentaire de celle apportée par les soignants». Généralement, les membres de l'association Karam offrent aux malades des livrets de conseils pratiques et les informent sur toute nouveauté dans le monde des soins et l'avancement des soins. Ils essaient de décrocher des rendez-vous et assurer des prises en charge, collecter des dons et des aides humanitaires pour soigner des malades, etc. Le président a aussi tenu à assurer que l'anonymat de la personne malade est respecté et les volontaires doivent garder le secret médical. «Il faut noter que l'association fonctionne principalement avec les aides financières des organisations nationales et internationales et les dons des personnes charitables», a tenu à préciser le président de l'association. En rendant visite aux malades dans les hôpitaux, les cliniques ou les centres spécialisés, les membres de ladite association essaient de rassurer les malades et leur prouver qu'ils sont entourés et aimés et leur prouvent avec des exemples qu'il est possible de vivre avec sa maladie. «En animant régulièrement des permanences ouvertes à tous, nous transmettons notre expérience, apportons aides et conseils aux malades ou à leurs proches. Par nos actions dans différents établissements de santé un peu partout dans le pays et nos nombreux contacts avec le corps médical et paramédical, nous contribuons à améliorer la qualité des soins et du suivi des malades et aussi et surtout de l'accueil du malade qui a tant besoin d'être respecté et aimé.» Nous aidons les malades dans leurs démarches administratives, et grâce à nos collaborations avec nombreuses organisations en Algérie ainsi qu'en dehors du pays, nous essayons d'intervenir à l'échelon pour aider des malades et même transporter certains cas en dehors du pays. Ces actions et plusieurs autres font aujourd'hui partie du quotidien des membres de l'association Karam qui font de plus en plus preuve de générosité et d'amour pour des êtres affaiblis par la maladie et l'incompréhension de l'entourage. Des malades qui ne pourront en se rapprochant de cette organisation que retrouver l'espoir et s'accrocher davantage à la vie.