Très nombreux sont les problèmes écologiques et de plus en plus grave est la dégradation de l'environnement dans notre pays. Dans la wilaya de Tipasa aussi les problèmes d'atteinte à l'environnement s'aggravent de jour en jour. Le problème des ordures de son côté à pris ces derniers temps une proportion alarmante devant l'incivisme des citoyens et le laisser-aller des autorités concernées. Devant cette situation seul le mouvement associatif tente de lutter contre cette dégradation de l'environnement qui ne favorise pas développement de la région. Pour instaurer une certaine éducation environnementale, l'association Roâa (visions) de la wilaya de Tipasa active depuis la fin 2008 en collaboration avec plusieurs autres associations dans la wilayas ainsi que dans les wilayas avoisinantes pour préserver cette wilaya très gâtée par la nature. «Nous travaillons depuis la création de notre association fin 2008 pour redonner à la wilaya de Tipasa réputée pour sa nature éblouissante et ses sites touristiques, sa beauté resplendissante perdue à cause d'une certaine politique de laisser-aller et manque de mâturité chez le citoyen ainsi que les responsables communaux en ce qui concerne la préservation de l'environnement», dira M Madoui, le président de l'association. Roâa (visions) est une association qui regroupe tous les passionnés de l'arbre, des fleurs et même des animaux ainsi que ceux qui militent pour la multiplication, l'aménagement et de l'entretien des parcs, des terrains de jeux, des plateaux sportifs et de la forêt urbaine en plus de tous les aménagements paysagers constituant les espaces verts publics et privés. La généralisation de la culture des jardins potagers est un autre objectif non moins intéressant, dans la mesure où ces derniers contribuent à baisser les dépenses des ménages pauvres en alimentation tout en améliorant leur repas jusqu'à présent déséquilibrés par des fruits et légumes frais et sains. L'association vise aussi le développement des métiers relatifs au jardinage étant donné leur rareté due au fait que nos jeunes préfèrent les plus hauts diplômes tout en désertant les centres de formation professionnelle où il existe une panoplie complète de métiers qui répondent aux besoins de l'économie nationale. Pour cette raison, l'association encourage les élèves paysagistes et autres à se regrouper en réseaux afin de créer des micros entreprises. Les ambitions de l'association dépassent le cadre des villes pour atteindre les campagnes et le milieu rural par la plantation des brise-vent au niveau des exploitations agricoles et des plantes rustiques et endémiques d'intérêt économique et écologique un peu partout. L'association s'intéresse à tout ce qui améliore et met en valeur la beauté de la nature et des villes et même villages de la wilaya. Il faut dire que l'association travaille pour inciter les gens à renouer avec la nature, le civisme et la beauté et aussi pour l'amélioration du cadre de vie des habitants des villes ainsi que celle des villageois envahis eux aussi par les ordures. «Si au sein de nos milieux urbains, nos citoyens souffrent d'un manque patent de verdure et de jardins, ce n'est que parce que au sein de nos agglomérations notamment dans la wilaya de Tipasa, l'invasion du béton et de l'habitat précaire se fait au détriment de la nature et des espaces verts», affirme le responsable aussi les rares jardins et les espaces verts qui existent à travers nos villes sont souvent délaissés, sans aucun entretien, ou remplacés par des lotissements sous prétexte de résorber l'habitat insalubre, même si la prise de conscience de l'importance des espaces verts est bien présente chez certaines de nos autorités et que dans les politiques d aménagements urbains de nos différents gouvernements, on se posait des questions sur l'intégration de cette composante dans l amélioration du cadre de vie des citoyens. «Il faut savoir que le contexte actuel pour l'amélioration de nos agglomérations place les espaces verts à la fois à l'avant-scène des débats politiques et au coeur des préoccupations de nos citoyens pour l'amélioration de leurs cadres de vie, que ce soit au niveau législatif ou dans l'implication des citoyens dans la protection des espaces verts au sein des milieux urbains, ainsi que de l'intégration de la notion de l'architecture du paysage dans la vision des aménagements de nos villes et villages». Comme la vie en milieu urbain nous cause un stress permanent et que la végétation et la nature renforcent notre attention spontanée et permettent à notre système sensoriel de se détendre et à notre corps d'avoir une énergie nouvelle grâce aux visites des espaces verts, synonymes de détente et importants pour nos rythmes diurne, puisqu en milieu urbain, les espaces verts sont devenus une composante essentielle de la qualité de vie des citoyens à travers les pays développés et une nécessité majeure pour nos milieux urbains, les autorités algériennes ont alors promulgué, le 13 mai 2007, la nouvelle loi relative à la gestion, la protection et le développement des espaces verts. « une loi qui devrait être appliquée par les responsables communaux qui devraient de leur côté imposer aux promoteurs publics et privés d'intégrer la dimension écologique dans leurs projets de construction en milieu urbain car, vu l'importance cruciale des espaces verts pour le bien-être des citoyens et du cadre de vie au sein des milieux urbains, il aurait fallu en plus que notre administration locale et centrale conditionne un certificat de conformité au mètre carré devant être impérativement aménagé en espaces verts, avec la liste des arbres urbains à utiliser et surtout de faire appliquer des sanctions pénales aux constructeurs qui ne respectent pas la clause écologique dans la réalisation de leurs projets en milieu urbain», ajoute . M Madoui. Il faut dire que si on n'agit pas vite, les choses risquent de s'empirer. Les espaces verts et le littoral de à Tipasa sont aujourd'hui malheureusement continuellement agressés par les êtres humains. «Si le mouvement associatif local ne fait pas son travail de sensibilisation de la société en collaboration avec les autorités, le problème relatif à la protection de l'environnement en milieu urbain et rural restera posé, dans ce bout du bassin méditerranéen, considéré, autrefois, comme un paradis terrestre, fréquenté et visité par des dizaines de milliers de touristes», ajoute M Medoui. Très nombreux sont les problèmes écologiques et de plus en plus grave est la dégradation de l'environnement dans notre pays. Dans la wilaya de Tipasa aussi les problèmes d'atteinte à l'environnement s'aggravent de jour en jour. Le problème des ordures de son côté à pris ces derniers temps une proportion alarmante devant l'incivisme des citoyens et le laisser-aller des autorités concernées. Devant cette situation seul le mouvement associatif tente de lutter contre cette dégradation de l'environnement qui ne favorise pas développement de la région. Pour instaurer une certaine éducation environnementale, l'association Roâa (visions) de la wilaya de Tipasa active depuis la fin 2008 en collaboration avec plusieurs autres associations dans la wilayas ainsi que dans les wilayas avoisinantes pour préserver cette wilaya très gâtée par la nature. «Nous travaillons depuis la création de notre association fin 2008 pour redonner à la wilaya de Tipasa réputée pour sa nature éblouissante et ses sites touristiques, sa beauté resplendissante perdue à cause d'une certaine politique de laisser-aller et manque de mâturité chez le citoyen ainsi que les responsables communaux en ce qui concerne la préservation de l'environnement», dira M Madoui, le président de l'association. Roâa (visions) est une association qui regroupe tous les passionnés de l'arbre, des fleurs et même des animaux ainsi que ceux qui militent pour la multiplication, l'aménagement et de l'entretien des parcs, des terrains de jeux, des plateaux sportifs et de la forêt urbaine en plus de tous les aménagements paysagers constituant les espaces verts publics et privés. La généralisation de la culture des jardins potagers est un autre objectif non moins intéressant, dans la mesure où ces derniers contribuent à baisser les dépenses des ménages pauvres en alimentation tout en améliorant leur repas jusqu'à présent déséquilibrés par des fruits et légumes frais et sains. L'association vise aussi le développement des métiers relatifs au jardinage étant donné leur rareté due au fait que nos jeunes préfèrent les plus hauts diplômes tout en désertant les centres de formation professionnelle où il existe une panoplie complète de métiers qui répondent aux besoins de l'économie nationale. Pour cette raison, l'association encourage les élèves paysagistes et autres à se regrouper en réseaux afin de créer des micros entreprises. Les ambitions de l'association dépassent le cadre des villes pour atteindre les campagnes et le milieu rural par la plantation des brise-vent au niveau des exploitations agricoles et des plantes rustiques et endémiques d'intérêt économique et écologique un peu partout. L'association s'intéresse à tout ce qui améliore et met en valeur la beauté de la nature et des villes et même villages de la wilaya. Il faut dire que l'association travaille pour inciter les gens à renouer avec la nature, le civisme et la beauté et aussi pour l'amélioration du cadre de vie des habitants des villes ainsi que celle des villageois envahis eux aussi par les ordures. «Si au sein de nos milieux urbains, nos citoyens souffrent d'un manque patent de verdure et de jardins, ce n'est que parce que au sein de nos agglomérations notamment dans la wilaya de Tipasa, l'invasion du béton et de l'habitat précaire se fait au détriment de la nature et des espaces verts», affirme le responsable aussi les rares jardins et les espaces verts qui existent à travers nos villes sont souvent délaissés, sans aucun entretien, ou remplacés par des lotissements sous prétexte de résorber l'habitat insalubre, même si la prise de conscience de l'importance des espaces verts est bien présente chez certaines de nos autorités et que dans les politiques d aménagements urbains de nos différents gouvernements, on se posait des questions sur l'intégration de cette composante dans l amélioration du cadre de vie des citoyens. «Il faut savoir que le contexte actuel pour l'amélioration de nos agglomérations place les espaces verts à la fois à l'avant-scène des débats politiques et au coeur des préoccupations de nos citoyens pour l'amélioration de leurs cadres de vie, que ce soit au niveau législatif ou dans l'implication des citoyens dans la protection des espaces verts au sein des milieux urbains, ainsi que de l'intégration de la notion de l'architecture du paysage dans la vision des aménagements de nos villes et villages». Comme la vie en milieu urbain nous cause un stress permanent et que la végétation et la nature renforcent notre attention spontanée et permettent à notre système sensoriel de se détendre et à notre corps d'avoir une énergie nouvelle grâce aux visites des espaces verts, synonymes de détente et importants pour nos rythmes diurne, puisqu en milieu urbain, les espaces verts sont devenus une composante essentielle de la qualité de vie des citoyens à travers les pays développés et une nécessité majeure pour nos milieux urbains, les autorités algériennes ont alors promulgué, le 13 mai 2007, la nouvelle loi relative à la gestion, la protection et le développement des espaces verts. « une loi qui devrait être appliquée par les responsables communaux qui devraient de leur côté imposer aux promoteurs publics et privés d'intégrer la dimension écologique dans leurs projets de construction en milieu urbain car, vu l'importance cruciale des espaces verts pour le bien-être des citoyens et du cadre de vie au sein des milieux urbains, il aurait fallu en plus que notre administration locale et centrale conditionne un certificat de conformité au mètre carré devant être impérativement aménagé en espaces verts, avec la liste des arbres urbains à utiliser et surtout de faire appliquer des sanctions pénales aux constructeurs qui ne respectent pas la clause écologique dans la réalisation de leurs projets en milieu urbain», ajoute . M Madoui. Il faut dire que si on n'agit pas vite, les choses risquent de s'empirer. Les espaces verts et le littoral de à Tipasa sont aujourd'hui malheureusement continuellement agressés par les êtres humains. «Si le mouvement associatif local ne fait pas son travail de sensibilisation de la société en collaboration avec les autorités, le problème relatif à la protection de l'environnement en milieu urbain et rural restera posé, dans ce bout du bassin méditerranéen, considéré, autrefois, comme un paradis terrestre, fréquenté et visité par des dizaines de milliers de touristes», ajoute M Medoui.