L'Algérie, de par sa position de leader au Maghreb arabe et dans la région du Sahel, occupe une place centrale dans le partenariat arabo-africain où elle s'est beaucoup investie, a affirmé hier à Syrte (Libye), Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines. M. Messahel a mis en exergue, dans une déclaration, en marge de la réunion ministérielle préparatoire au 2e sommet afro-arabe, prévu dimanche à Syrte, le rôle de l'Algérie dans le développement et la promotion du partenariat arabo-africain. « Ce rôle remonte à 1973 lorsque le sommet d'Alger avait appelé à la nécessité de promouvoir la coopération entre les deux ensembles », a-t-il déclaré. L'Algérie, a-t-il rappelé a « énormément investi » en faveur du continent africain que ce soit dans la formation des cadres où dans le domaine de la réalisation de projets de développement. Le sommet de Syrte est à inscrire beaucoup plus dans l'espace de l'évaluation de ce qui a été fait pour que ce partenariat "puisse mieux évoluer", a-t-il précisé. Placé sous le thème du partenariat stratégique, ce sommet devrait permettre aux dirigeants arabes et africains d'établir le bilan de la coopération depuis la tenue du premier sommet en 1977, en vue de définir les perspectives de son développement. L'objectif principal étant de renforcer les relations de coopération qui existent entre les deux ensembles, à travers notamment la promotion des investissements et des échanges commerciaux. Selon Messahel, il y aura un plan d'action qui tracera le cadre de la coopération arabo-africaine, ajoutant que l'accent sera mis plus particulièrement sur l'aspect économique avec notamment l'encouragement des investissements et le lancement de projets structurants qui peuvent rapprocher le monde arabe et le continent africain. S'agissant du financement de ces projets, le ministre s'est prononcé pour le libre choix de chaque pays à contribuer financièrement à leur réalisation, soulignant la nécessité d'investir dans des créneaux porteurs comme l'agriculture, l'énergie, le commerce, les infrastructures et le tourisme. L'Algérie, de par sa position de leader au Maghreb arabe et dans la région du Sahel, occupe une place centrale dans le partenariat arabo-africain où elle s'est beaucoup investie, a affirmé hier à Syrte (Libye), Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines. M. Messahel a mis en exergue, dans une déclaration, en marge de la réunion ministérielle préparatoire au 2e sommet afro-arabe, prévu dimanche à Syrte, le rôle de l'Algérie dans le développement et la promotion du partenariat arabo-africain. « Ce rôle remonte à 1973 lorsque le sommet d'Alger avait appelé à la nécessité de promouvoir la coopération entre les deux ensembles », a-t-il déclaré. L'Algérie, a-t-il rappelé a « énormément investi » en faveur du continent africain que ce soit dans la formation des cadres où dans le domaine de la réalisation de projets de développement. Le sommet de Syrte est à inscrire beaucoup plus dans l'espace de l'évaluation de ce qui a été fait pour que ce partenariat "puisse mieux évoluer", a-t-il précisé. Placé sous le thème du partenariat stratégique, ce sommet devrait permettre aux dirigeants arabes et africains d'établir le bilan de la coopération depuis la tenue du premier sommet en 1977, en vue de définir les perspectives de son développement. L'objectif principal étant de renforcer les relations de coopération qui existent entre les deux ensembles, à travers notamment la promotion des investissements et des échanges commerciaux. Selon Messahel, il y aura un plan d'action qui tracera le cadre de la coopération arabo-africaine, ajoutant que l'accent sera mis plus particulièrement sur l'aspect économique avec notamment l'encouragement des investissements et le lancement de projets structurants qui peuvent rapprocher le monde arabe et le continent africain. S'agissant du financement de ces projets, le ministre s'est prononcé pour le libre choix de chaque pays à contribuer financièrement à leur réalisation, soulignant la nécessité d'investir dans des créneaux porteurs comme l'agriculture, l'énergie, le commerce, les infrastructures et le tourisme.