L'ensemble des membres du syndicat regrette la non-application des accords conclus avec la commission dépêchée par le wali en raison de l'obstination de l'administration de l'hôpital à chercher à priver les paramédicaux de certains droits, faisant fi des lois et des règlements. L'ensemble des membres du syndicat regrette la non-application des accords conclus avec la commission dépêchée par le wali en raison de l'obstination de l'administration de l'hôpital à chercher à priver les paramédicaux de certains droits, faisant fi des lois et des règlements. Deux cent paramédicaux de l'hôpital public de Collo ont observé en fin de semaine un sit-in de protestation de deux heures auquel a appelé le syndicat algérien des paramédicaux (SAP) qui a tenu une assemblée extraordinaire les jours précédents. Le syndicat vient ainsi de mettre fin au gel de la grève décidé le 27 juin 2010 suite à l'envoi d'une commission par le wali pour rencontrer ces syndicalistes qui étaient en grève ouverte pour des problèmes socioprofessionnels. Selon le procès verbal de cette réunion, l'ensemble des membres du syndicat regrette la non application des accords conclus avec la commission dépêchée par le wali en raison de l'obstination de l'administration de l'hôpital à chercher à priver les paramédicaux de certains droits, faisant fi des lois et des règlements. Une situation qui a contribué à la création d'un un climat de tension au sein de l'établissement hospitalier. Le syndicat impute cette situation de blocage à une vision unilatérale, à l'abus de pouvoir, le refus du dialogue et surtout le non respect des termes de l'accord conclu avec la commission de wilaya. Les membres du syndicat déplorent également le refus de l'administration d'afficher l'annonce concernant la participation des paramédicaux au concours de professeurs de l'enseignement paramédical contrairement aux autres établissements. Le syndicat a auparavant présenté une plateforme de revendications composée de quatre points qui concerne essentiellement l'allocation familiale, la charge du travail qui dépasse la durée légale de 40 heures par semaine, la récupération des journées travaillées pendant les jours fériés et enfin les œuvres sociales où ce syndicat parle de pratiques irresponsables et de contradictions dans la programmation de la tenue de l'assemblée générale de la commission. Le syndicat menace de recourir à la grève si les revendications ne sont pas satisfaites et ce à compter du 11 octobre 2011. Un arrêt de travail qui risque de perturber le fonctionnement de cet établissement même si le service minimum sera assuré. Deux cent paramédicaux de l'hôpital public de Collo ont observé en fin de semaine un sit-in de protestation de deux heures auquel a appelé le syndicat algérien des paramédicaux (SAP) qui a tenu une assemblée extraordinaire les jours précédents. Le syndicat vient ainsi de mettre fin au gel de la grève décidé le 27 juin 2010 suite à l'envoi d'une commission par le wali pour rencontrer ces syndicalistes qui étaient en grève ouverte pour des problèmes socioprofessionnels. Selon le procès verbal de cette réunion, l'ensemble des membres du syndicat regrette la non application des accords conclus avec la commission dépêchée par le wali en raison de l'obstination de l'administration de l'hôpital à chercher à priver les paramédicaux de certains droits, faisant fi des lois et des règlements. Une situation qui a contribué à la création d'un un climat de tension au sein de l'établissement hospitalier. Le syndicat impute cette situation de blocage à une vision unilatérale, à l'abus de pouvoir, le refus du dialogue et surtout le non respect des termes de l'accord conclu avec la commission de wilaya. Les membres du syndicat déplorent également le refus de l'administration d'afficher l'annonce concernant la participation des paramédicaux au concours de professeurs de l'enseignement paramédical contrairement aux autres établissements. Le syndicat a auparavant présenté une plateforme de revendications composée de quatre points qui concerne essentiellement l'allocation familiale, la charge du travail qui dépasse la durée légale de 40 heures par semaine, la récupération des journées travaillées pendant les jours fériés et enfin les œuvres sociales où ce syndicat parle de pratiques irresponsables et de contradictions dans la programmation de la tenue de l'assemblée générale de la commission. Le syndicat menace de recourir à la grève si les revendications ne sont pas satisfaites et ce à compter du 11 octobre 2011. Un arrêt de travail qui risque de perturber le fonctionnement de cet établissement même si le service minimum sera assuré.