Plusieurs pays ont appelé l'Organisation des Nations unies à permettre au Sahara Occidental l'exercice de son droit à l'autodétermination et à la protection des droits de l'Homme des Sahraouis, tout en appuyant les efforts de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross. Intervenant lors des débats en plénière tenus dans le cadre de la 4e Commission des questions de décolonisation des Nations unies à New York, plusieurs personnalités, représentants diplomatiques et autres hauts responsables d'Etat, à l'instar de l'ambassadeur permanent du Nigeria à l'ONU, M. Augustine Ugochukwu Nwosa, ont tenu à attirer l'attention des délégués sur la situation prévalant au Sahara Occidental. L'ambassadeur permanent du Nigeria a souligné que son pays, à l'instar de plusieurs autres Etats africains qui reconnaissent la République arabe sahraouie démocratique (RASD), appuyait les efforts de l'ONU pour trouver une solution durable au conflit de même que le travail de la MINURSO. M. Nwosa a soutenu que seule la tenue d'un référendum d'autodétermination du peuple du Sahara Occidental représentait une option viable. Pour lui, « le droit à l'autodétermination et à l'indépendance devrait être exercé de manière transparente et ne saurait dépendre de la seule volonté de l'occupant dont la loyauté aux puissances colonisatrices n'est plus à démontrer ». - Intervenant au nom des 15 pays de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), le représentant permanent de la Namibie, Wilfried I. Emvula, a rappelé que l'Assemblée générale de l'ONU avait toujours soutenu le droit à l'autodétermination du Sahara Occidental. En conséquence, la SADC « appelle au respect de ce droit et à l'option d'un référendum sous contrôle des Nations unies ». Evoquant les graves violations des droits de l'Homme du peuple sahraoui, le représentant namibien a demandé que le Conseil de sécurité élargisse le mandat de la MINURSO aux questions liées au suivi et au respect de cette question, et que le HCR soit plus impliqué sur le terrain. Les débats de la 4e Commission onusienne chargée de la décolonisation prendront fin demain et devront être suivis par l'adoption d'un projet de résolution sur la question du Sahara Occidental qui sera soumis à l'Assemblée générale de l'ONU en décembre prochain. Plusieurs pays ont appelé l'Organisation des Nations unies à permettre au Sahara Occidental l'exercice de son droit à l'autodétermination et à la protection des droits de l'Homme des Sahraouis, tout en appuyant les efforts de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross. Intervenant lors des débats en plénière tenus dans le cadre de la 4e Commission des questions de décolonisation des Nations unies à New York, plusieurs personnalités, représentants diplomatiques et autres hauts responsables d'Etat, à l'instar de l'ambassadeur permanent du Nigeria à l'ONU, M. Augustine Ugochukwu Nwosa, ont tenu à attirer l'attention des délégués sur la situation prévalant au Sahara Occidental. L'ambassadeur permanent du Nigeria a souligné que son pays, à l'instar de plusieurs autres Etats africains qui reconnaissent la République arabe sahraouie démocratique (RASD), appuyait les efforts de l'ONU pour trouver une solution durable au conflit de même que le travail de la MINURSO. M. Nwosa a soutenu que seule la tenue d'un référendum d'autodétermination du peuple du Sahara Occidental représentait une option viable. Pour lui, « le droit à l'autodétermination et à l'indépendance devrait être exercé de manière transparente et ne saurait dépendre de la seule volonté de l'occupant dont la loyauté aux puissances colonisatrices n'est plus à démontrer ». - Intervenant au nom des 15 pays de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), le représentant permanent de la Namibie, Wilfried I. Emvula, a rappelé que l'Assemblée générale de l'ONU avait toujours soutenu le droit à l'autodétermination du Sahara Occidental. En conséquence, la SADC « appelle au respect de ce droit et à l'option d'un référendum sous contrôle des Nations unies ». Evoquant les graves violations des droits de l'Homme du peuple sahraoui, le représentant namibien a demandé que le Conseil de sécurité élargisse le mandat de la MINURSO aux questions liées au suivi et au respect de cette question, et que le HCR soit plus impliqué sur le terrain. Les débats de la 4e Commission onusienne chargée de la décolonisation prendront fin demain et devront être suivis par l'adoption d'un projet de résolution sur la question du Sahara Occidental qui sera soumis à l'Assemblée générale de l'ONU en décembre prochain.