Les pouvoirs publics ont exigé récemment l'obligation de présenter un certificat de conformité, des notes de calcul pour les bâtisses de plus de deux étages, les opérations de restauration du vieux bâti à Alger et Oran et autres procédures de contrôle dont se charge le Centre technique de contrôle (CTC) avec des logiciels spécialisés. Les pouvoirs publics ont exigé récemment l'obligation de présenter un certificat de conformité, des notes de calcul pour les bâtisses de plus de deux étages, les opérations de restauration du vieux bâti à Alger et Oran et autres procédures de contrôle dont se charge le Centre technique de contrôle (CTC) avec des logiciels spécialisés. La prévention reste la seule arme pour se mettre à l'abri des séismes dévastateurs. Cela passe par le contrôle de l'acte de construire. C'est ce qui ressort en substance de l'intervention du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, hier, à l'ouverture de la rencontre nationale sur la révision des règles parasismiques algériennes, qui s'est tenue au Palais des Nations du Club des pins à Alger. Une rencontre qui devait ressortir avec des recommandations introduisant de nouvelles règles parasismiques, applicables à partir de juillet 2011, selon Noureddine Moussa. Celles-ci, en effet, viendront se greffer aux normes élaborées en 2003, soit au lendemain du séisme de Boumerdès, dont « toutes les bâtisses endommagées avaient été construites dans les années 1970, donc ne répondant pas aux normes parasismiques », a indiqué le ministre de l'Habitat. La rencontre en question est l'aboutissement d'un travail de recherche élaboré à travers trois rencontres régionales tenues à Boumerdès, Oran et Annaba en mai/juin dernier, en collaboration avec des scientifiques du CRAAG et du Centre national des recherches appliquées dans le Génie parasismique (CGS). « Il s'agit d'un ensemble de protocoles et de procédés très stricts de contrôle et de vérification de l'acte de bâtir », a expliqué Noureddine Moussa, lors d'une conférence de presse en marge des travaux de la rencontre, pour résumer la teneur des nouvelles règles parasismiques (RPA 201). C'est dans cette optique que les pouvoirs publics ont exigé récemment l'obligation de présenter un certificat de conformité, des notes de calcul pour les bâtisses de plus de deux étages, les opérations de restauration du vieux bâti à Alger et Oran et autres procédures de contrôle dont se charge le Centre technique de contrôle (CTC) avec des logiciels spécialisés. Aussi des efforts sont-ils consentis pour inculquer la culture de prévention, à travers des campagnes de sensibilisation au profit des écoliers et des citoyens en général. La Protection civile et des organismes sous tutelle du ministère de l'Habitat s'occupent de ce travail de proximité, en organisant des séminaires et des simulations pour prévenir des risques sismologiques. Le respect des normes parasismiques dans les constructions aide sensiblement à prévenir les séismes. Le ministre, afin d'étayer ses propos, a donné l'exemple des deux séismes dévastateurs qui ont secoué en début de l'année Haïti et le Chili. Dans ce dernier pays, bien que l'intensité de la secousse était plus importante, les dégâts sont insignifiants par rapport à Haïti qui avait enregistré des dégâts très importants. « Le Chili qui a adopté des normes parasismiques rigoureuses a substantiellement minimisé les dégâts », a affirmé le ministre de l'Habitat pour dire toute l'importance des normes parasismiques dans les constructions. La prévention reste la seule arme pour se mettre à l'abri des séismes dévastateurs. Cela passe par le contrôle de l'acte de construire. C'est ce qui ressort en substance de l'intervention du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, hier, à l'ouverture de la rencontre nationale sur la révision des règles parasismiques algériennes, qui s'est tenue au Palais des Nations du Club des pins à Alger. Une rencontre qui devait ressortir avec des recommandations introduisant de nouvelles règles parasismiques, applicables à partir de juillet 2011, selon Noureddine Moussa. Celles-ci, en effet, viendront se greffer aux normes élaborées en 2003, soit au lendemain du séisme de Boumerdès, dont « toutes les bâtisses endommagées avaient été construites dans les années 1970, donc ne répondant pas aux normes parasismiques », a indiqué le ministre de l'Habitat. La rencontre en question est l'aboutissement d'un travail de recherche élaboré à travers trois rencontres régionales tenues à Boumerdès, Oran et Annaba en mai/juin dernier, en collaboration avec des scientifiques du CRAAG et du Centre national des recherches appliquées dans le Génie parasismique (CGS). « Il s'agit d'un ensemble de protocoles et de procédés très stricts de contrôle et de vérification de l'acte de bâtir », a expliqué Noureddine Moussa, lors d'une conférence de presse en marge des travaux de la rencontre, pour résumer la teneur des nouvelles règles parasismiques (RPA 201). C'est dans cette optique que les pouvoirs publics ont exigé récemment l'obligation de présenter un certificat de conformité, des notes de calcul pour les bâtisses de plus de deux étages, les opérations de restauration du vieux bâti à Alger et Oran et autres procédures de contrôle dont se charge le Centre technique de contrôle (CTC) avec des logiciels spécialisés. Aussi des efforts sont-ils consentis pour inculquer la culture de prévention, à travers des campagnes de sensibilisation au profit des écoliers et des citoyens en général. La Protection civile et des organismes sous tutelle du ministère de l'Habitat s'occupent de ce travail de proximité, en organisant des séminaires et des simulations pour prévenir des risques sismologiques. Le respect des normes parasismiques dans les constructions aide sensiblement à prévenir les séismes. Le ministre, afin d'étayer ses propos, a donné l'exemple des deux séismes dévastateurs qui ont secoué en début de l'année Haïti et le Chili. Dans ce dernier pays, bien que l'intensité de la secousse était plus importante, les dégâts sont insignifiants par rapport à Haïti qui avait enregistré des dégâts très importants. « Le Chili qui a adopté des normes parasismiques rigoureuses a substantiellement minimisé les dégâts », a affirmé le ministre de l'Habitat pour dire toute l'importance des normes parasismiques dans les constructions.