Même si les files d'attente sont de moins en moins longues, elles n'ont pas complètement disparu en dépit d'un approvisionnement conséquent en liquidités des bureaux de poste de la wilaya. Même si les files d'attente sont de moins en moins longues, elles n'ont pas complètement disparu en dépit d'un approvisionnement conséquent en liquidités des bureaux de poste de la wilaya. Plus d'un mois après le début de la crise de liquidités qui a sévèrement affecté les 48 bureaux de poste de la wilaya de Jijel, un relatif retour à la normale est observé depuis la fin de la semaine dernière. Même si les files d'attente sont de moins en moins longues, elles n'ont pas pour autant disparu du paysage, «en dépit d'un approvisionnement conséquent en liquidités des bureaux de poste de la wilaya», assure un cadre d'Algérie poste. Et malgré les assurances d'Algérie Poste qui tente de rétablir les liens de confiance quant à la disponibilité des liquidités, les détenteurs de compte CCP «inspirent plus la méfiance que la confiance». Le signe de la rupture, ne serait-ce que momentané, de confiance entre Algérie Poste et ses clients, sont ces retraits parfois exagérés d'argent des bureaux de poste. Bon nombre de personnes avec qui nous avons discuté, paniquées par la précédente crise de liquidités, nous ont fait part de leur intention de retirer la totalité de leurs mensualités de leurs comptes CCP. Il est vrai que la récente pénurie a donné un sérieux coup à l'image de marque d'Algérie Poste. En somme, personne n'est près d'oublier les navettes quotidiennes effectuées à travers les bureaux de poste ces dernières semaines pour retirer de petits montants. D'aucuns estiment que parvenir à raisonner les usagers de la poste que cette crise est bien finie prendra encore du temps. Il en convient de rappeler que la panne de liquidités a fait son apparition à travers les 168 guichets de la poste vers la fin du mois d'août. Nombre de pères de famille, pris au dépourvu, n'ont pu s'acquitter de certains achats de l'Aïd el Fitr et de la rentrée scolaire. Dans l'impossibilité de retirer leur argent, certains se sont même déplacés vers les wilayas limitrophes, notamment Béjaïa et Mila. D'autres, moins chanceux, ont eu recours au crédit comme solution de rechange. Plus d'un mois après le début de la crise de liquidités qui a sévèrement affecté les 48 bureaux de poste de la wilaya de Jijel, un relatif retour à la normale est observé depuis la fin de la semaine dernière. Même si les files d'attente sont de moins en moins longues, elles n'ont pas pour autant disparu du paysage, «en dépit d'un approvisionnement conséquent en liquidités des bureaux de poste de la wilaya», assure un cadre d'Algérie poste. Et malgré les assurances d'Algérie Poste qui tente de rétablir les liens de confiance quant à la disponibilité des liquidités, les détenteurs de compte CCP «inspirent plus la méfiance que la confiance». Le signe de la rupture, ne serait-ce que momentané, de confiance entre Algérie Poste et ses clients, sont ces retraits parfois exagérés d'argent des bureaux de poste. Bon nombre de personnes avec qui nous avons discuté, paniquées par la précédente crise de liquidités, nous ont fait part de leur intention de retirer la totalité de leurs mensualités de leurs comptes CCP. Il est vrai que la récente pénurie a donné un sérieux coup à l'image de marque d'Algérie Poste. En somme, personne n'est près d'oublier les navettes quotidiennes effectuées à travers les bureaux de poste ces dernières semaines pour retirer de petits montants. D'aucuns estiment que parvenir à raisonner les usagers de la poste que cette crise est bien finie prendra encore du temps. Il en convient de rappeler que la panne de liquidités a fait son apparition à travers les 168 guichets de la poste vers la fin du mois d'août. Nombre de pères de famille, pris au dépourvu, n'ont pu s'acquitter de certains achats de l'Aïd el Fitr et de la rentrée scolaire. Dans l'impossibilité de retirer leur argent, certains se sont même déplacés vers les wilayas limitrophes, notamment Béjaïa et Mila. D'autres, moins chanceux, ont eu recours au crédit comme solution de rechange.