Les participants vont se pencher, dès aujourd'hui, sur la problématique de la coopération agricole entre les deux pays et l'étude des questions inhérentes à l'importation de blé français par l'Algérie. Les participants vont se pencher, dès aujourd'hui, sur la problématique de la coopération agricole entre les deux pays et l'étude des questions inhérentes à l'importation de blé français par l'Algérie. Les experts algériens et leurs collègues français ont ouvert, hier après midi, à l'hôtel Hilton, les travaux des rencontres algéro-françaises sur les céréales. Après l'inauguration protocolaire de ces traditionnelles journées des céréales, les participants vont se pencher, dès aujourd'hui, sur la problématique de la coopération agricole entre les deux pays et l'étude des questions inhérentes à l'importation de blé français par l'Algérie, sachant que la France est le premier fournisseur « de blé de l'Algérie. Bien que le pays ait produit 62 millions de quintaux de blé en 2009, l'année 2010 enregistrera une diminution car, d'ores et déjà le ministère de l'Agriculture et du développement rural prévoit une récolte de l'ordre de 45 millions de quintaux. Les délégués de l'Hexagone ont pour mission essentielle de convaincre les responsables algériens de saisir les opportunités de développer un partenariat mutuellement bénéfique, et ce en optant pour l'achat des céréales de France, traditionnel fournisseur de l'Algérie. Cela s'explique également par la proximité géographique et les liens historiques existants entre les deux pays. Le marché algérien est devenu porteur pour les céréaliers français, mais l'Algérie étudie toutes les possibilités pour diversifier ses pays d'importation dans la mesure où le Canada et les Etats-Unis d'Amérique sont aussi des pays livrant des quantités importantes de blé pour le pays. La compétitivité et la concurrence est, donc, rude.Le président de France export céréales (FEC), Jean-Pierre Langlois Berthelot, a déclaré lors des précédentes journées que «si les partenaires français sont ici en Algérie pour se fixer des objectifs précis et prometteurs sur l'avenir des deux pays », ajoutant que «les produits français sont compétitifs et qualitatifs ». Devant plus de 150 participants lors de la précédente édition, il a affirmé que « les exportations de blé français en Algérie se chiffrent à plus de 3 millions de tonnes en 2009».Autrement dit, les exportations françaises passent de 400 millions de dollars à 113 millions de dollars. Cependant, il dit que la France demeure le fournisseur essentiel et principal de l'Algérie en blé, précisant que la production locale, estimée à 37,5 millions de tonnes en 2009, attire beaucoup de clients. Les experts algériens et leurs collègues français ont ouvert, hier après midi, à l'hôtel Hilton, les travaux des rencontres algéro-françaises sur les céréales. Après l'inauguration protocolaire de ces traditionnelles journées des céréales, les participants vont se pencher, dès aujourd'hui, sur la problématique de la coopération agricole entre les deux pays et l'étude des questions inhérentes à l'importation de blé français par l'Algérie, sachant que la France est le premier fournisseur « de blé de l'Algérie. Bien que le pays ait produit 62 millions de quintaux de blé en 2009, l'année 2010 enregistrera une diminution car, d'ores et déjà le ministère de l'Agriculture et du développement rural prévoit une récolte de l'ordre de 45 millions de quintaux. Les délégués de l'Hexagone ont pour mission essentielle de convaincre les responsables algériens de saisir les opportunités de développer un partenariat mutuellement bénéfique, et ce en optant pour l'achat des céréales de France, traditionnel fournisseur de l'Algérie. Cela s'explique également par la proximité géographique et les liens historiques existants entre les deux pays. Le marché algérien est devenu porteur pour les céréaliers français, mais l'Algérie étudie toutes les possibilités pour diversifier ses pays d'importation dans la mesure où le Canada et les Etats-Unis d'Amérique sont aussi des pays livrant des quantités importantes de blé pour le pays. La compétitivité et la concurrence est, donc, rude.Le président de France export céréales (FEC), Jean-Pierre Langlois Berthelot, a déclaré lors des précédentes journées que «si les partenaires français sont ici en Algérie pour se fixer des objectifs précis et prometteurs sur l'avenir des deux pays », ajoutant que «les produits français sont compétitifs et qualitatifs ». Devant plus de 150 participants lors de la précédente édition, il a affirmé que « les exportations de blé français en Algérie se chiffrent à plus de 3 millions de tonnes en 2009».Autrement dit, les exportations françaises passent de 400 millions de dollars à 113 millions de dollars. Cependant, il dit que la France demeure le fournisseur essentiel et principal de l'Algérie en blé, précisant que la production locale, estimée à 37,5 millions de tonnes en 2009, attire beaucoup de clients.