L'opération de renouvellement des structures de base du Front de libération nationale (FLN) a créé un climat de tension dans plusieurs wilayas du pays. L'élection des bureaux des kasmas a réveillé les vieilles rancunes entre les militants donnant lieu à des scènes désolantes. Des altercations corporelles ont éclaté dans certains bureaux. Aux dernières nouvelles, le Secrétaire général du vieux parti a dépêché des émissaires du Bureau politique et du Comité central pour tenter de contenir la contestation. A Béjaia, à Ouargla, à El-Tarf, à Annaba et dans d'autres wilayas encore, les guéguerres reviennent de plus belle dans les rangs du FLN. Des contraintes qui risquent de retarder sérieusement, sinon compromettre carrément l'opération de renouvellement des structures de base du parti, pourtant entamée depuis le 1er juin dernier. Cela avant même l'entame du renouvellement des bureaux des mouhafadhas qui s'annonce encore plus houleuse. Les hostilités qui ont éclaté dans plusieurs kasmas du pays annoncent une rude bataille en perspective des prochaines élections législatives et communales de 2012. Abdelaziz Belkhadem a affirmé, dans un temps passé, que l'ouverture des listes de candidatures se fera dès le début de l'année prochaine, mais cela sans prendre en considération les escarmouches et les dissensions provoquées par l'opération de renouvellement des bureaux locaux. La situation risque d'empirer au vu des clivages qui minent la base militante du vieux parti. Ce sont tous les militants qui prétendent figurer dans les bureaux de kasmas, seul gage pour garantir une éventuelle candidature aux prochaines élections. Les déclarations du Secrétaire général du parti, appelant à ouvrir les rangs du parti à tous les militants, ont provoqué de grandes frictions au sein de la base. Pour atténuer un tant soit peu cette situation, Belkhadem a instruit les différents mouhafedhs de reconcilier les parties conflictuelles afin d'élire les bureaux de kasmas dans la sérénité. Ce n'est pas le cas dans plusieurs wilayas, où l'opération de renouvellement trébuche toujours. Les émissaires envoyés à la rescousse ne semblent toutefois pas en mesure de contenir les militants mécontents. Cela remet de plus belle sur la scène les événements de 2004, où les redresseurs d'alors ont carrément invalidé le huitième congrès et évincé tous les partisans de l'ex-SG du parti, Ali Benflis en l'occurrence. Des vestiges en subsistent apparemment. L'opération de renouvellement des structures de base du Front de libération nationale (FLN) a créé un climat de tension dans plusieurs wilayas du pays. L'élection des bureaux des kasmas a réveillé les vieilles rancunes entre les militants donnant lieu à des scènes désolantes. Des altercations corporelles ont éclaté dans certains bureaux. Aux dernières nouvelles, le Secrétaire général du vieux parti a dépêché des émissaires du Bureau politique et du Comité central pour tenter de contenir la contestation. A Béjaia, à Ouargla, à El-Tarf, à Annaba et dans d'autres wilayas encore, les guéguerres reviennent de plus belle dans les rangs du FLN. Des contraintes qui risquent de retarder sérieusement, sinon compromettre carrément l'opération de renouvellement des structures de base du parti, pourtant entamée depuis le 1er juin dernier. Cela avant même l'entame du renouvellement des bureaux des mouhafadhas qui s'annonce encore plus houleuse. Les hostilités qui ont éclaté dans plusieurs kasmas du pays annoncent une rude bataille en perspective des prochaines élections législatives et communales de 2012. Abdelaziz Belkhadem a affirmé, dans un temps passé, que l'ouverture des listes de candidatures se fera dès le début de l'année prochaine, mais cela sans prendre en considération les escarmouches et les dissensions provoquées par l'opération de renouvellement des bureaux locaux. La situation risque d'empirer au vu des clivages qui minent la base militante du vieux parti. Ce sont tous les militants qui prétendent figurer dans les bureaux de kasmas, seul gage pour garantir une éventuelle candidature aux prochaines élections. Les déclarations du Secrétaire général du parti, appelant à ouvrir les rangs du parti à tous les militants, ont provoqué de grandes frictions au sein de la base. Pour atténuer un tant soit peu cette situation, Belkhadem a instruit les différents mouhafedhs de reconcilier les parties conflictuelles afin d'élire les bureaux de kasmas dans la sérénité. Ce n'est pas le cas dans plusieurs wilayas, où l'opération de renouvellement trébuche toujours. Les émissaires envoyés à la rescousse ne semblent toutefois pas en mesure de contenir les militants mécontents. Cela remet de plus belle sur la scène les événements de 2004, où les redresseurs d'alors ont carrément invalidé le huitième congrès et évincé tous les partisans de l'ex-SG du parti, Ali Benflis en l'occurrence. Des vestiges en subsistent apparemment.