Les pouvoirs publics ont la préoccupation majeure de mener une politique nationale d'emploi basée sur l'objectif d'atteindre un taux de chômage inférieur à 10 % d'ici la fin de l'année en cours, alors qu'il est actuellement de l'ordre de 10,2 %. Les pouvoirs publics ont la préoccupation majeure de mener une politique nationale d'emploi basée sur l'objectif d'atteindre un taux de chômage inférieur à 10 % d'ici la fin de l'année en cours, alors qu'il est actuellement de l'ordre de 10,2 %. Toute la stratégie nationale en matière de l'organisation du travail repose sur la réduction du taux de chômage qui atteint actuellement des proportions inquiétantes sachant que chaque année des milliers de demandeurs d'emplois, de nouveaux jeunes en quête d'un premier job, arrivent sur le marché du travail déjà très saturé. Les pouvoirs publics ont la préoccupation majeure de mener une politique nationale d'emploi basée sur l'objectif d'atteindre un taux de chômage inférieur à 10 % d'ici la fin de l'année en cours, alors qu'il est actuellement de l'ordre de 10,2 %. Cela est relativement faible comme chiffre destiné à résorber le chômage dans la mesure où le nombre de personnes sans emploi continue toujours d'augmenter. Tandis que dans le monde, les statistiques montrent des situations effarantes concernant l'emploi notamment dans les pays pauvres de l'hémisphère sud et même dans certains pays avancés et les pays émergents, en raison de la crise économique et commerciale mondiale. En Algérie, il devient difficile de cerner la problématique des chiffres inhérents au taux de chômage, car les différentes institutions chargées des statistiques propres au marché du travail fournissent, parfois, des données divergentes et contradictoires. En fait, c'est l'Office national des statistiques qui est habilité à livrer des chiffres, cependant, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale se base sur ces résultats pour annoncer la version gouvernementale de l'emploi. D'autres organismes internationaux, BIT, OIT, … avancent d'autres situations relatives à l'emploi en Algérie. Mais, selon les experts, la fiabilité de ces chiffres est difficile à saisir sachant que les méthodes utilisées pour aboutir au taux actuellement colporté par les médias et les administrations. En effet, les pouvoirs publics estiment que le taux de chômage serait passé de 30% en 1999 à 10,2% en 2009 et ce chiffre pourrait, cependant, être réduit au dessous de 10 % à la fin de l'année en cours, selon le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. Il a affirmé en présence de Giueseppe Casale, représentant du Bureau international du travail lors d'un séminaire sur l'intermédiation de l'emploi, organisé récemment à Sidi Fredj devant des milliers de délégués régionaux de l'emploi de différentes wilayas du pays. Le chômage est un phénomène en constante augmentation dans le monde, y compris dans les pays développés et industrialisés. En fait, il y a plus de 45 millions de nouveaux demandeurs d'emploi qui se présentent, chaque année, sur le marché mondial du travail et qui attendent leur premier job dans un environnement caractérisé par l'incertitude et la précarité de l'emploi. A titre d'exemple, les travailleurs précaires n'ayant pas un boulot décent et respectable répondant aux normes internationales de sécurité et de commodité, dépassent 1,5 milliard de personnes en 2009 dans le monde. C'est surtout dans les milieux ruraux et les régions montagneuses, sans oublier les région du Sahara, que les populations éprouvent des difficultés à explorer le marché du travail dans la mesure où les opportunités d'emploi sont absolument faibles et peu nombreuses. L'écrasante majorité des jeunes diplômés ou non se trouve dans une situation de sous emploi et sans perspectives réelles de dénicher un poste de travail. La situation de l'emploi en Algérie n'est pas, certes, rose, néanmoins, l'Etat s'efforce de contribuer activement à résoudre cette équation chômage-démographie galopante. En effet, la population active actuelle a atteint près de 9 500 000 personnes, c'est-à-dire un taux d'occupation de près de 27, %, dont environ 85,% d'hommes et 15 % de femmes. L'absence d'évolution dans l'économie internationale et les crises successives ayant bouleversé les pays avancés, notamment le manque de liquidités dans les banques et le krach financier qui a ébranlé les grandes places financières et les Bourses, ont négativement influé sur les équilibres macroéconomiques de l'Algérie. Ainsi, en dépit de l'amélioration des conditions de travail et la création de milliers d'emplois dans l'agriculture et le bâtiment, ainsi que les travaux publics et les services, l'Algérie cherche toujours à résorber son taux de chômage par le biais de nombreux dispositifs d'aide de l'Etat à l'emploi, tels que l'ANSEJ, la CNAC… Pour le ministre du Travail, la situation change positivement en ce sens qu'il a affirmé que «la population active était passée de 8,2 millions en 2005 à 9,5 millions en 2009, soit une augmentation de l'ordre de 1 million de nouveaux travailleurs potentiels». Il estime que « cette progression de plus de 15% a permis de faire baisser le taux de chômage de 30% en 1999 à 10,2% en 2009». Ces performances dans la lutte contre le chômage, selon Tayeb Louh, devraient se poursuivre, notamment par l'application d'un plan d'action pour la promotion de l'emploi doté d'un montant évalué à 286 milliards DA, soit 2,9 milliards d'euros devant permettre de générer 3 millions d'emplois nouveaux durant le plan quinquennal 2010-2014. Toute la stratégie nationale en matière de l'organisation du travail repose sur la réduction du taux de chômage qui atteint actuellement des proportions inquiétantes sachant que chaque année des milliers de demandeurs d'emplois, de nouveaux jeunes en quête d'un premier job, arrivent sur le marché du travail déjà très saturé. Les pouvoirs publics ont la préoccupation majeure de mener une politique nationale d'emploi basée sur l'objectif d'atteindre un taux de chômage inférieur à 10 % d'ici la fin de l'année en cours, alors qu'il est actuellement de l'ordre de 10,2 %. Cela est relativement faible comme chiffre destiné à résorber le chômage dans la mesure où le nombre de personnes sans emploi continue toujours d'augmenter. Tandis que dans le monde, les statistiques montrent des situations effarantes concernant l'emploi notamment dans les pays pauvres de l'hémisphère sud et même dans certains pays avancés et les pays émergents, en raison de la crise économique et commerciale mondiale. En Algérie, il devient difficile de cerner la problématique des chiffres inhérents au taux de chômage, car les différentes institutions chargées des statistiques propres au marché du travail fournissent, parfois, des données divergentes et contradictoires. En fait, c'est l'Office national des statistiques qui est habilité à livrer des chiffres, cependant, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale se base sur ces résultats pour annoncer la version gouvernementale de l'emploi. D'autres organismes internationaux, BIT, OIT, … avancent d'autres situations relatives à l'emploi en Algérie. Mais, selon les experts, la fiabilité de ces chiffres est difficile à saisir sachant que les méthodes utilisées pour aboutir au taux actuellement colporté par les médias et les administrations. En effet, les pouvoirs publics estiment que le taux de chômage serait passé de 30% en 1999 à 10,2% en 2009 et ce chiffre pourrait, cependant, être réduit au dessous de 10 % à la fin de l'année en cours, selon le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. Il a affirmé en présence de Giueseppe Casale, représentant du Bureau international du travail lors d'un séminaire sur l'intermédiation de l'emploi, organisé récemment à Sidi Fredj devant des milliers de délégués régionaux de l'emploi de différentes wilayas du pays. Le chômage est un phénomène en constante augmentation dans le monde, y compris dans les pays développés et industrialisés. En fait, il y a plus de 45 millions de nouveaux demandeurs d'emploi qui se présentent, chaque année, sur le marché mondial du travail et qui attendent leur premier job dans un environnement caractérisé par l'incertitude et la précarité de l'emploi. A titre d'exemple, les travailleurs précaires n'ayant pas un boulot décent et respectable répondant aux normes internationales de sécurité et de commodité, dépassent 1,5 milliard de personnes en 2009 dans le monde. C'est surtout dans les milieux ruraux et les régions montagneuses, sans oublier les région du Sahara, que les populations éprouvent des difficultés à explorer le marché du travail dans la mesure où les opportunités d'emploi sont absolument faibles et peu nombreuses. L'écrasante majorité des jeunes diplômés ou non se trouve dans une situation de sous emploi et sans perspectives réelles de dénicher un poste de travail. La situation de l'emploi en Algérie n'est pas, certes, rose, néanmoins, l'Etat s'efforce de contribuer activement à résoudre cette équation chômage-démographie galopante. En effet, la population active actuelle a atteint près de 9 500 000 personnes, c'est-à-dire un taux d'occupation de près de 27, %, dont environ 85,% d'hommes et 15 % de femmes. L'absence d'évolution dans l'économie internationale et les crises successives ayant bouleversé les pays avancés, notamment le manque de liquidités dans les banques et le krach financier qui a ébranlé les grandes places financières et les Bourses, ont négativement influé sur les équilibres macroéconomiques de l'Algérie. Ainsi, en dépit de l'amélioration des conditions de travail et la création de milliers d'emplois dans l'agriculture et le bâtiment, ainsi que les travaux publics et les services, l'Algérie cherche toujours à résorber son taux de chômage par le biais de nombreux dispositifs d'aide de l'Etat à l'emploi, tels que l'ANSEJ, la CNAC… Pour le ministre du Travail, la situation change positivement en ce sens qu'il a affirmé que «la population active était passée de 8,2 millions en 2005 à 9,5 millions en 2009, soit une augmentation de l'ordre de 1 million de nouveaux travailleurs potentiels». Il estime que « cette progression de plus de 15% a permis de faire baisser le taux de chômage de 30% en 1999 à 10,2% en 2009». Ces performances dans la lutte contre le chômage, selon Tayeb Louh, devraient se poursuivre, notamment par l'application d'un plan d'action pour la promotion de l'emploi doté d'un montant évalué à 286 milliards DA, soit 2,9 milliards d'euros devant permettre de générer 3 millions d'emplois nouveaux durant le plan quinquennal 2010-2014.