Plusieurs laiteries à travers le territoire national sont en arrêt temporaire de la production faute de disponibilité de la matière première. Dans la wilaya de Bejaia, les responsables de laiteries avouent que leur activité a nettement régressé et que les machines de transformation tournent au ralenti et la moindre quantité fabriquée est vite écoulée Plusieurs laiteries à travers le territoire national sont en arrêt temporaire de la production faute de disponibilité de la matière première. Dans la wilaya de Bejaia, les responsables de laiteries avouent que leur activité a nettement régressé et que les machines de transformation tournent au ralenti et la moindre quantité fabriquée est vite écoulée Le sachet de lait demeure introuvable dans plusieurs wilayas du pays. A Alger, Tizi Ouzou, Jijel, Bejaia ou autres régions la situation est la même, la crise du lait e sachet persiste malgré les promesses de l‘Office national des industries laitières (ONIL) et les instructions du ministre de l‘Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa, demandant a l‘ONIL et aux transformateurs de conjuguer leurs efforts et régler le problème dans les jours à venir. En effet, Lors de sa dernière déclaration sur le sujet, le ministre a indiqué « qu‘il n y a pas de pénurie de lait, mais juste une perturbation dans le réseau de distribution et que ces perturbations ont été causées par la restructuration du système de distribution et par le manque de coordination entre les différents acteurs opérant dans la filière du lait». Mais entre temps, c‘est le citoyen qui peine à s‘approvisionner de ce produit. Cela dit pour arracher deux sachets de lait, il faut supplier un commerçant ou faire plusieurs épiceries. Les transformateurs et producteurs de lait imputent la responsabilité à l‘ONIL. Ce dernier parle de « perturbation dans le circuit de distribution qui pose problème et qui ne relève pas de ses compétences. Les deux parties s‘en lavent les mains et les répercussions retombent sur le citoyen. Plusieurs laiteries à travers le territoire national sont en arrêt temporaire de la production faute de disponibilité de la matière première. Dans la wilaya de Bejaia, les responsables de laiteries avouent que leur activité a nettement régressé et que les machines de transformation tournent au ralenti et la moindre quantité fabriquée est vite écoulée, ils se disent incapables de satisfaire la demande. Pour le consommateur qui se trouve dans le désarroi total, il souligne un autre problème qui concerne la mauvaise qualité du lait distribué. En effet, le lait distribué d‘une laiterie a Bejaia a un goût et une couleur peu bizarre, même les commerçants le confirment. La situation qui perdure ne semble pas trouver d‘issue. La confédération des industries et producteurs algériens (CIPA) pointe du doigt l‘ONIL qui selon elle est responsable de cette crise pour ne pas avoir pris toutes les dispositions à temps pour stocker la quantité suffisantes et respecter les quotas dans l‘approvisionnement des laiteries. En voulant donner un coup de pouce aux transformateurs, le ministre ajouta que : « toutes les laiteries ne travaillant qu‘avec du lait cru verront augmenter la prime d‘intérêt de 4 a 7,5 DA ». Ainsi, la production annuelle de lait a dépassé les 2,5 milliards de litres mais seulement 15% ont été collectés et transformés dans les laiteries. La pénurie de lait existe réellement et risque encore de perdurer pour les semaines à venir à travers toutes les wilayas du pays et le simple consommateur n‘est pas prêt à sortir de cette crise imprévisible qui le frappe de plein fouet. Le sachet de lait demeure introuvable dans plusieurs wilayas du pays. A Alger, Tizi Ouzou, Jijel, Bejaia ou autres régions la situation est la même, la crise du lait e sachet persiste malgré les promesses de l‘Office national des industries laitières (ONIL) et les instructions du ministre de l‘Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaissa, demandant a l‘ONIL et aux transformateurs de conjuguer leurs efforts et régler le problème dans les jours à venir. En effet, Lors de sa dernière déclaration sur le sujet, le ministre a indiqué « qu‘il n y a pas de pénurie de lait, mais juste une perturbation dans le réseau de distribution et que ces perturbations ont été causées par la restructuration du système de distribution et par le manque de coordination entre les différents acteurs opérant dans la filière du lait». Mais entre temps, c‘est le citoyen qui peine à s‘approvisionner de ce produit. Cela dit pour arracher deux sachets de lait, il faut supplier un commerçant ou faire plusieurs épiceries. Les transformateurs et producteurs de lait imputent la responsabilité à l‘ONIL. Ce dernier parle de « perturbation dans le circuit de distribution qui pose problème et qui ne relève pas de ses compétences. Les deux parties s‘en lavent les mains et les répercussions retombent sur le citoyen. Plusieurs laiteries à travers le territoire national sont en arrêt temporaire de la production faute de disponibilité de la matière première. Dans la wilaya de Bejaia, les responsables de laiteries avouent que leur activité a nettement régressé et que les machines de transformation tournent au ralenti et la moindre quantité fabriquée est vite écoulée, ils se disent incapables de satisfaire la demande. Pour le consommateur qui se trouve dans le désarroi total, il souligne un autre problème qui concerne la mauvaise qualité du lait distribué. En effet, le lait distribué d‘une laiterie a Bejaia a un goût et une couleur peu bizarre, même les commerçants le confirment. La situation qui perdure ne semble pas trouver d‘issue. La confédération des industries et producteurs algériens (CIPA) pointe du doigt l‘ONIL qui selon elle est responsable de cette crise pour ne pas avoir pris toutes les dispositions à temps pour stocker la quantité suffisantes et respecter les quotas dans l‘approvisionnement des laiteries. En voulant donner un coup de pouce aux transformateurs, le ministre ajouta que : « toutes les laiteries ne travaillant qu‘avec du lait cru verront augmenter la prime d‘intérêt de 4 a 7,5 DA ». Ainsi, la production annuelle de lait a dépassé les 2,5 milliards de litres mais seulement 15% ont été collectés et transformés dans les laiteries. La pénurie de lait existe réellement et risque encore de perdurer pour les semaines à venir à travers toutes les wilayas du pays et le simple consommateur n‘est pas prêt à sortir de cette crise imprévisible qui le frappe de plein fouet.