Le ministre a insisté sur la nécessité absolue d'acquérir le savoir-faire des partenaires étrangers, ainsi que leur expérience et leur expertise pour doter les ingénieurs et techniciens algériens de moyens devant leur permettre de fructifier les projets de développement sans être dépendants sur le plan technologique. Le ministre a insisté sur la nécessité absolue d'acquérir le savoir-faire des partenaires étrangers, ainsi que leur expérience et leur expertise pour doter les ingénieurs et techniciens algériens de moyens devant leur permettre de fructifier les projets de développement sans être dépendants sur le plan technologique. «Un ambitieux programme visant à promouvoir les énergies renouvelables sera soumis avant l'année en cours au gouvernement Ouyahia. De nombreux projets seront menés à bien en coopération avec des partenaires étrangers» a notamment affirmé, jeudi dernier, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, en marge des travaux de l'APN consacrés à la présentation de la politique générale du gouvernement devant les députés. Engagée dans un vaste programme de développement de l'énergie solaire, l'Algérie a lancé d'importants plans pour multiplier la généralisation de cette énergie propre, mais en préconisant trois axes stratégiques, selon Yousfi. Il s'agit, précise-t-il, de travailler en collaboration avec des firmes et entreprises internationales spécialisées dans les énergies renouvelables à la seule condition d'accompagner cette coopération avec un transfert technologique permanent pour le compte des laboratoires de recherche et d'expertise algériens. Yousfi précise également que «l'Algérie impose la fabrication locale des équipements et matériels nécessaires au développement des énergies sachant que le coût de leur importation revient très cher». Aussi, le ministre prône l'exportation sur le marché européen, notamment, des excédents de l'électricité générée par ces énergies renouvelables. L'important pour le pays consiste, donc, à maitriser l'ensemble des process technologiques devant permettre le bon fonctionnement des installations solaires et photovoltaïques sachant que l'Algérie est riche en ensoleillement (plus de 3 mille heures de soleil par an) et particulièrement la région de Tamanrasset (Hoggar) connue mondialement pour son immense et intarissable gisement solaire. Comme il l'a déjà souligné lors du salon international des énergies renouvelables qui a eu lieu récemment à la Safex. Le ministre a insisté sur la nécessité absolue d'acquérir le savoir-faire des partenaires étrangers, ainsi que leur expérience et leur expertise pour doter les ingénieurs et techniciens algériens de moyens devant leur permettre de fructifier les projets de développement sans être dépendants sur le plan technologique en cas de réparation ou de maintenance des équipements. L'Algérie tire pas moins de 5 % de son énergie globale de l'utilisation de l'énergie solaire. Des centaines d'habitants des populations nomades du sud du pays utilisent déjà, quotidiennement, cette source d'énergie dans leurs foyers. Même les députés s'intéressent aux énergies renouvelables propres et non polluantes, en ce sens qu'ils ont demandé solennellement au gouvernement de renforcer les investissements dans ce secteur porteur, car, estiment t-ils, capable de créer des emplois et de générer des richesses. «Un ambitieux programme visant à promouvoir les énergies renouvelables sera soumis avant l'année en cours au gouvernement Ouyahia. De nombreux projets seront menés à bien en coopération avec des partenaires étrangers» a notamment affirmé, jeudi dernier, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, en marge des travaux de l'APN consacrés à la présentation de la politique générale du gouvernement devant les députés. Engagée dans un vaste programme de développement de l'énergie solaire, l'Algérie a lancé d'importants plans pour multiplier la généralisation de cette énergie propre, mais en préconisant trois axes stratégiques, selon Yousfi. Il s'agit, précise-t-il, de travailler en collaboration avec des firmes et entreprises internationales spécialisées dans les énergies renouvelables à la seule condition d'accompagner cette coopération avec un transfert technologique permanent pour le compte des laboratoires de recherche et d'expertise algériens. Yousfi précise également que «l'Algérie impose la fabrication locale des équipements et matériels nécessaires au développement des énergies sachant que le coût de leur importation revient très cher». Aussi, le ministre prône l'exportation sur le marché européen, notamment, des excédents de l'électricité générée par ces énergies renouvelables. L'important pour le pays consiste, donc, à maitriser l'ensemble des process technologiques devant permettre le bon fonctionnement des installations solaires et photovoltaïques sachant que l'Algérie est riche en ensoleillement (plus de 3 mille heures de soleil par an) et particulièrement la région de Tamanrasset (Hoggar) connue mondialement pour son immense et intarissable gisement solaire. Comme il l'a déjà souligné lors du salon international des énergies renouvelables qui a eu lieu récemment à la Safex. Le ministre a insisté sur la nécessité absolue d'acquérir le savoir-faire des partenaires étrangers, ainsi que leur expérience et leur expertise pour doter les ingénieurs et techniciens algériens de moyens devant leur permettre de fructifier les projets de développement sans être dépendants sur le plan technologique en cas de réparation ou de maintenance des équipements. L'Algérie tire pas moins de 5 % de son énergie globale de l'utilisation de l'énergie solaire. Des centaines d'habitants des populations nomades du sud du pays utilisent déjà, quotidiennement, cette source d'énergie dans leurs foyers. Même les députés s'intéressent aux énergies renouvelables propres et non polluantes, en ce sens qu'ils ont demandé solennellement au gouvernement de renforcer les investissements dans ce secteur porteur, car, estiment t-ils, capable de créer des emplois et de générer des richesses.