De nouvelles charges sont à inscrire au dossier du milliardaire Hacène Fellah, ex-président de l'APW d'Annaba, qui purge actuellement une peine de 10 ans de prison ferme prononcée le 4 mai dernier par le tribunal criminel d'Annaba. Selon des sources judiciaires proches du dossier, Arcelor Mittal a officiellement déposé plainte et s'est constitué partie civile contre l'ex-homme d'affaires qui avait bénéficié d'importants contrats dans la récupération et la fourniture de déchets ferreux pour les différentes unités de production du complexe sidérurgique d'El Hadjar, avant d'être interpellé par les services du CTRI dans le cadre d'une affaire d'escroquerie qui a porté un préjudice de 7 milliards de centimes à Arcelor Mittal. Selon toujours les mêmes sources, le nouveau dossier ficelé par des différents audits effectués par les services internes d'Arcelor Mittal et qui a servi de base au dépôt de plainte, porte également de gravissimes chefs d'accusation constatés dans la gestion des dossiers de contrats estimés à plusieurs dizaines de milliards de centimes. Par ailleurs, le collectif des avocats du mis en cause, qui ont introduit un recours pour bénéficier d'une mise en liberté conditionnelle pour leur mandat, faisant valoir des motivations d'ordre médical accréditées par des médecins spécialistes, ont essuyé, encore une fois, une fin de non recevoir de la part des autorités judiciaires. En outre, le renvoi du dossier de Hacène Fellah par le président de la chambre d'accusation près le pôle judiciaire spécialisé de Constantine la semaine passée en instruction va faire rebondir l'affaire "Hacene Fellah" sur d'autres investigations et d'autres révélations. De nouvelles charges sont à inscrire au dossier du milliardaire Hacène Fellah, ex-président de l'APW d'Annaba, qui purge actuellement une peine de 10 ans de prison ferme prononcée le 4 mai dernier par le tribunal criminel d'Annaba. Selon des sources judiciaires proches du dossier, Arcelor Mittal a officiellement déposé plainte et s'est constitué partie civile contre l'ex-homme d'affaires qui avait bénéficié d'importants contrats dans la récupération et la fourniture de déchets ferreux pour les différentes unités de production du complexe sidérurgique d'El Hadjar, avant d'être interpellé par les services du CTRI dans le cadre d'une affaire d'escroquerie qui a porté un préjudice de 7 milliards de centimes à Arcelor Mittal. Selon toujours les mêmes sources, le nouveau dossier ficelé par des différents audits effectués par les services internes d'Arcelor Mittal et qui a servi de base au dépôt de plainte, porte également de gravissimes chefs d'accusation constatés dans la gestion des dossiers de contrats estimés à plusieurs dizaines de milliards de centimes. Par ailleurs, le collectif des avocats du mis en cause, qui ont introduit un recours pour bénéficier d'une mise en liberté conditionnelle pour leur mandat, faisant valoir des motivations d'ordre médical accréditées par des médecins spécialistes, ont essuyé, encore une fois, une fin de non recevoir de la part des autorités judiciaires. En outre, le renvoi du dossier de Hacène Fellah par le président de la chambre d'accusation près le pôle judiciaire spécialisé de Constantine la semaine passée en instruction va faire rebondir l'affaire "Hacene Fellah" sur d'autres investigations et d'autres révélations.