L'étude du dédoublement de la voie de chemin de fer entre Bejaia et Béni-Mansour sur une distance de plus de 80 km est finalisée, selon la direction des transports de la wilaya, qui prévoit le lancement des avis d'appel d'offres pour sa réalisation avant la fin de l'année. L'étude du dédoublement de la voie de chemin de fer entre Bejaia et Béni-Mansour sur une distance de plus de 80 km est finalisée, selon la direction des transports de la wilaya, qui prévoit le lancement des avis d'appel d'offres pour sa réalisation avant la fin de l'année. Confiée à l'agence nationale d'étude, de suivi et de réalisation des infrastructures ferroviaires (ANESRIF), maître d'ouvrage délégué, le projet vise à redynamiser profondément le transport de marchandises et de voyageurs sur cette ligne réputée inadaptée, truffée de passages à niveau et au parcours sinueux, peu propice à la vitesse. Par le dédoublement de la voie, l'objectif visé consiste non seulement à densifier le mouvement des trains mais aussi à leur assurer des possibilités d'accroître leur vitesse de rotation, dont celui des voyageurs à 160 km/heure. L'Etude, conduite par un groupement d'entreprises algéro-espagnoles prévoit la reconfiguration partielle de l'itinéraire, notamment en réduisant les passages à niveau, il est question de la suppression d'une centaine d'entre eux, à corriger la courbure des virages obtus et à éliminer les pentes et les rampes qui jonchent le parcours. La ligne, indique t-on, sera électrifiée en 25 Kv/50 Hz, dotée de moyens de signalisation et télécommunication de pointe et pourvue en nouveaux équipements roulants. L'occasion de sa réalisation est attendue par la SNTF en vue du renouvellement partiel ou total des infrastructures et des éléments constitutifs de la voie, dont le gabarit d'entraxe est conçu sur une longueur de 4,20 mètres. Actuellement la ligne est sous-exploitée ,durant les trois premiers trimestres de l'année, malgré une nette amélioration comparativement aux derniers exercices, la SNTF, n'en a transporté que 80.774 voyageurs et 23.251 tonnes de fret. La réalisation du projet est entrevue comme une bouée de sauvetage pour le port de Bejaia, qui va y trouver l'opportunité, non seulement de transborder facilement ses frets vers l'algérois et les hauts plateaux, mais aussi à concrétiser dans chacune des régions ses ambitions en terme de ports secs et de zones logistiques. Confiée à l'agence nationale d'étude, de suivi et de réalisation des infrastructures ferroviaires (ANESRIF), maître d'ouvrage délégué, le projet vise à redynamiser profondément le transport de marchandises et de voyageurs sur cette ligne réputée inadaptée, truffée de passages à niveau et au parcours sinueux, peu propice à la vitesse. Par le dédoublement de la voie, l'objectif visé consiste non seulement à densifier le mouvement des trains mais aussi à leur assurer des possibilités d'accroître leur vitesse de rotation, dont celui des voyageurs à 160 km/heure. L'Etude, conduite par un groupement d'entreprises algéro-espagnoles prévoit la reconfiguration partielle de l'itinéraire, notamment en réduisant les passages à niveau, il est question de la suppression d'une centaine d'entre eux, à corriger la courbure des virages obtus et à éliminer les pentes et les rampes qui jonchent le parcours. La ligne, indique t-on, sera électrifiée en 25 Kv/50 Hz, dotée de moyens de signalisation et télécommunication de pointe et pourvue en nouveaux équipements roulants. L'occasion de sa réalisation est attendue par la SNTF en vue du renouvellement partiel ou total des infrastructures et des éléments constitutifs de la voie, dont le gabarit d'entraxe est conçu sur une longueur de 4,20 mètres. Actuellement la ligne est sous-exploitée ,durant les trois premiers trimestres de l'année, malgré une nette amélioration comparativement aux derniers exercices, la SNTF, n'en a transporté que 80.774 voyageurs et 23.251 tonnes de fret. La réalisation du projet est entrevue comme une bouée de sauvetage pour le port de Bejaia, qui va y trouver l'opportunité, non seulement de transborder facilement ses frets vers l'algérois et les hauts plateaux, mais aussi à concrétiser dans chacune des régions ses ambitions en terme de ports secs et de zones logistiques.