Les routes gravement envasées sont devenues pratiquement impraticables et la circulation, autant pour les véhicules que pour les piétons, est encore plus compliquée par l'état déplorable de certains tronçons. Les routes gravement envasées sont devenues pratiquement impraticables et la circulation, autant pour les véhicules que pour les piétons, est encore plus compliquée par l'état déplorable de certains tronçons. Les récentes précipitations d'automne, qui se sont abattues sur le centre, n'ont pas épargné lesd quartiers de Baraki et ont été la cause de maints désagréments pour les résidants de cette localité. Les routes gravement envasées sont devenues pratiquement impraticables et la circulation, autant pour les véhicules que pour les piétons, est encore plus compliquée par l'état déplorable de certains tronçons. Par conséquent, les déplacements sont de plus en plus difficiles, même pour les petits écoliers qui pataugent dans la boue et les flaques. En dépit des efforts louables des services communaux force est de constater que le réseau routier laisse encore grandement à désirer. Pire encore, les décharges sauvages viennent aggraver une situation déjà à la limite du supportable. Cet état de choses se constate particulièrement au niveau des blocs de la cité urbaine 2004-Logements. Les locataires de cette cité avouent en avoir marre de slalomer entre flaques et amas de détritus d'ordures ménagères face à un déficit flagrant en matière d'équipements pour la collecte des ordures ménagères. A raison de seulement trois camions-benne effectuant des navettes quotidiennes, « le ramassage ne peut se faire correctement en raison des grosses quantités d'ordures entassées quotidiennemnt sur les trottoirs », nous explique-t-on au niveau des immeubles situés à proximité du bureau de poste. Certains résidants à Bazraki désolent déplore également la détérioration de beaucoup d'endroits, auparavant réservés au dépôt des ordures ménagères et préconisent la mise en place de nouveaux dépotoirs organisés. De sson côté les services de l'assemblée populaire communale admet que le manque de camions de ramassage, au nombre de six, ne peut faire face aux besoins exprimés au niveau des quartiers. Rappelons que les responsables locaux ont toujours reçu des doléances émanant des représentants de vieux quartiers et de sites populeux, où ils réclament un renforcement en moyens humains et matériels nécessaires à l'assainissement de l'environnement de plus en plus pollué à travers les sites urbanisés de la commune de Baraki. Les récentes précipitations d'automne, qui se sont abattues sur le centre, n'ont pas épargné lesd quartiers de Baraki et ont été la cause de maints désagréments pour les résidants de cette localité. Les routes gravement envasées sont devenues pratiquement impraticables et la circulation, autant pour les véhicules que pour les piétons, est encore plus compliquée par l'état déplorable de certains tronçons. Par conséquent, les déplacements sont de plus en plus difficiles, même pour les petits écoliers qui pataugent dans la boue et les flaques. En dépit des efforts louables des services communaux force est de constater que le réseau routier laisse encore grandement à désirer. Pire encore, les décharges sauvages viennent aggraver une situation déjà à la limite du supportable. Cet état de choses se constate particulièrement au niveau des blocs de la cité urbaine 2004-Logements. Les locataires de cette cité avouent en avoir marre de slalomer entre flaques et amas de détritus d'ordures ménagères face à un déficit flagrant en matière d'équipements pour la collecte des ordures ménagères. A raison de seulement trois camions-benne effectuant des navettes quotidiennes, « le ramassage ne peut se faire correctement en raison des grosses quantités d'ordures entassées quotidiennemnt sur les trottoirs », nous explique-t-on au niveau des immeubles situés à proximité du bureau de poste. Certains résidants à Bazraki désolent déplore également la détérioration de beaucoup d'endroits, auparavant réservés au dépôt des ordures ménagères et préconisent la mise en place de nouveaux dépotoirs organisés. De sson côté les services de l'assemblée populaire communale admet que le manque de camions de ramassage, au nombre de six, ne peut faire face aux besoins exprimés au niveau des quartiers. Rappelons que les responsables locaux ont toujours reçu des doléances émanant des représentants de vieux quartiers et de sites populeux, où ils réclament un renforcement en moyens humains et matériels nécessaires à l'assainissement de l'environnement de plus en plus pollué à travers les sites urbanisés de la commune de Baraki.
