La Roumanie, ancien pays à économie socialiste et centralisée et à régime communiste satellite de l'Union soviétique, aujourd'hui disparue, mais, néanmoins, ayant réussi à intègrer l'Union européenne, a la ferme intention de développer des relations économiques et commerciales privilégiées avec l'Algérie, selon les diplomates de ce pays ayant embrassé les principes et les vertus de l'économie de marché. «Les échanges commerciaux algéro-roumains sont évalués à 236 millions de dollars à la fin de l'année 2009», a affirmé, samedi dernier, Son Excellence Victor Mircea, ambassadeur de la Roumanie à Alger, à l'occasion de l'ouverture des travaux du troisième forum économique et d'affaires algéro-roumain, organisé au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), en présence des responsables du ministère du Commerce, des dirigeants de de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) et du ministère roumain du Commerce extérieur et des milieux d'affaires. Jugés modestes, ces échanges seront plus importants, dit-il, en 2010 et surtout en 2011 où des progrès tangibles sont attendus de la part des entrepreneurs des deux pays. Les nombreuses entreprises roumaines ayant participé à la dernière Foire internationale d'Alger, bien représentées par la les membres de la mission économique et diplomatique de Roumanie, montrent la disponibilité des investisseurs de ce pays à s'impliquer beaucoup plus en Algérie, notamment dans les secteurs des travaux publics et de la construction, ainsi que l'industrie chimique et pétrochimique. «Les entreprises qui font partie de la mission économique qui séjourne en Algérie jusqu'au 2 novembre ont l'intention d'importer d'Algérie des produits algériens et essentiellement agricoles», explique-t-il. «Les produits algériens sont mal connus dans le marché roumain», affirme-t-il à l'adresse des opérateurs économiques algériens afin qu'ils participent aux foires et salons organisés à Bucarest. Il a également souligné l'importance de mettre en place un partenariat bilatéral qui deviendra multilatéral par la suite, a-t-il ajouté. «L'Algérie est un grand chantier en termes industriel, commercial et économique», a déclaré, quant à lui, George Catineanu, conseiller supérieur auprès du ministère roumain des PME, de Commerce et du milieu des affaires. Les entreprises roumaines qui sont au nombre de 25 (sidérurgie, énergie renouvelable, construction, habitat, métrologie…) sont intéressées par des relations d'investissements et de partenariats selon les nouvelles dispositions en vigueur», a-t-il indiqué. «C'est la raison pour laquelle nous sommes d'ailleurs ici, à Alger», a-t-il ajouté, mettant en évidence la présence en Algérie de 11 entreprises roumaines qui activent dans le domaine de la construction et de l'habitat. Etant pays constructeur de vèhicules automobiles, notamment Renault Dacia, la Roumanie peut apporter son expertise et son savoir-faire dans ce domaine aux industriels algériens. Pour Lahlou, coprésident du Conseil d'affaires algéro-roumain créé en 2005, l'Algérie s'attend à plus d'agressivité économique de la part des entreprises roumaines en termes d'investissements et de partenariats. «La Roumanie recèle une grande expertise et l'Algérie veut en tirer profit», a-t-il ajouté, insistant sur les nouvelles dispositions de la loi de finance 2010 sur les IDE. Les entreprises roumaines qui désirent investir en Algérie dans le cadre d'un partenariat peuvent aller emprunter, dit-il, des crédits nécessaires auprès des banques algériennes. «L'Algérie veut être un partenaire et non seulement un marché. Et nous voulons un transfert de technologies et de savoir-faire roumains», a-t-il souligné, avant la mise en place des relations B2B entre les opérateurs économiques algériens et roumains. "L'essentiel pour nos entreprises consiste surtout à travailler durablement et efficacement avec les industriels algériens afin de fructifier des projets communs de développement durable, sachant que la volonté de coopèrer existe et peut conduire à instaurer un vrai partenariat dans les diffèrentes filières industrielles", soulignent des opérateurs roumains à la recherche d'investissements productifs . La Roumanie, ancien pays à économie socialiste et centralisée et à régime communiste satellite de l'Union soviétique, aujourd'hui disparue, mais, néanmoins, ayant réussi à intègrer l'Union européenne, a la ferme intention de développer des relations économiques et commerciales privilégiées avec l'Algérie, selon les diplomates de ce pays ayant embrassé les principes et les vertus de l'économie de marché. «Les échanges commerciaux algéro-roumains sont évalués à 236 millions de dollars à la fin de l'année 2009», a affirmé, samedi dernier, Son Excellence Victor Mircea, ambassadeur de la Roumanie à Alger, à l'occasion de l'ouverture des travaux du troisième forum économique et d'affaires algéro-roumain, organisé au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), en présence des responsables du ministère du Commerce, des dirigeants de de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) et du ministère roumain du Commerce extérieur et des milieux d'affaires. Jugés modestes, ces échanges seront plus importants, dit-il, en 2010 et surtout en 2011 où des progrès tangibles sont attendus de la part des entrepreneurs des deux pays. Les nombreuses entreprises roumaines ayant participé à la dernière Foire internationale d'Alger, bien représentées par la les membres de la mission économique et diplomatique de Roumanie, montrent la disponibilité des investisseurs de ce pays à s'impliquer beaucoup plus en Algérie, notamment dans les secteurs des travaux publics et de la construction, ainsi que l'industrie chimique et pétrochimique. «Les entreprises qui font partie de la mission économique qui séjourne en Algérie jusqu'au 2 novembre ont l'intention d'importer d'Algérie des produits algériens et essentiellement agricoles», explique-t-il. «Les produits algériens sont mal connus dans le marché roumain», affirme-t-il à l'adresse des opérateurs économiques algériens afin qu'ils participent aux foires et salons organisés à Bucarest. Il a également souligné l'importance de mettre en place un partenariat bilatéral qui deviendra multilatéral par la suite, a-t-il ajouté. «L'Algérie est un grand chantier en termes industriel, commercial et économique», a déclaré, quant à lui, George Catineanu, conseiller supérieur auprès du ministère roumain des PME, de Commerce et du milieu des affaires. Les entreprises roumaines qui sont au nombre de 25 (sidérurgie, énergie renouvelable, construction, habitat, métrologie…) sont intéressées par des relations d'investissements et de partenariats selon les nouvelles dispositions en vigueur», a-t-il indiqué. «C'est la raison pour laquelle nous sommes d'ailleurs ici, à Alger», a-t-il ajouté, mettant en évidence la présence en Algérie de 11 entreprises roumaines qui activent dans le domaine de la construction et de l'habitat. Etant pays constructeur de vèhicules automobiles, notamment Renault Dacia, la Roumanie peut apporter son expertise et son savoir-faire dans ce domaine aux industriels algériens. Pour Lahlou, coprésident du Conseil d'affaires algéro-roumain créé en 2005, l'Algérie s'attend à plus d'agressivité économique de la part des entreprises roumaines en termes d'investissements et de partenariats. «La Roumanie recèle une grande expertise et l'Algérie veut en tirer profit», a-t-il ajouté, insistant sur les nouvelles dispositions de la loi de finance 2010 sur les IDE. Les entreprises roumaines qui désirent investir en Algérie dans le cadre d'un partenariat peuvent aller emprunter, dit-il, des crédits nécessaires auprès des banques algériennes. «L'Algérie veut être un partenaire et non seulement un marché. Et nous voulons un transfert de technologies et de savoir-faire roumains», a-t-il souligné, avant la mise en place des relations B2B entre les opérateurs économiques algériens et roumains. "L'essentiel pour nos entreprises consiste surtout à travailler durablement et efficacement avec les industriels algériens afin de fructifier des projets communs de développement durable, sachant que la volonté de coopèrer existe et peut conduire à instaurer un vrai partenariat dans les diffèrentes filières industrielles", soulignent des opérateurs roumains à la recherche d'investissements productifs .