L'Algérie a réalisé d'"énormes progrès" en matière de développement humain, reflétant les changements que le pays a connus, a souligné lundi à Alger le senior analyste en politique de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), M. José Grégorio Pineda Salazar. M. Pineda qui est l'un des rédacteurs principaux du Rapport mondial sur le développement humain 2010 (RMDH-2010) et qui s'exprimait à une rencontre organisée par le Conseil national économique et social (CNES), a expliqué la progression de l'Algérie, en matière de développement humain, en se positionnant parmi les 10 pays du monde au taux de développement humain le "plus élevé", par les changements que "ce pays a connus et les politiques mises en oeuvre pour améliorer le bien-être des citoyens". Soulignant le caractère "indépendant" de ce rapport qui repose sur les données et statistiques fournies par les différentes organisations des Nations unies, il a relevé que de nouveaux critères ont été pris en compte dans l'élaboration des indices de développements humains (IDH). Car, a-t-il expliqué, en plus des indices arrêtés depuis le premier rapport du PNUD en la matière, en 1990, le RMDH-2010 prend en charge les questions liées aux inégalités à l'intérieur du même pays, le degrés de participation des individus à la prise de décision, appelé l'autonomisation, ainsi que la durabilité dans la progression des IDH. M. Pineda, qui a précisé que "les ressources naturelles, bien qu'elle favorisent le développement humain, si elles sont utilisées dans une bonne politique de développement, ne peuvent pas être considérées, par contre, comme indicateur dans l'évaluation du développement humain d'un pays". L'Algérie a réalisé d'"énormes progrès" en matière de développement humain, reflétant les changements que le pays a connus, a souligné lundi à Alger le senior analyste en politique de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), M. José Grégorio Pineda Salazar. M. Pineda qui est l'un des rédacteurs principaux du Rapport mondial sur le développement humain 2010 (RMDH-2010) et qui s'exprimait à une rencontre organisée par le Conseil national économique et social (CNES), a expliqué la progression de l'Algérie, en matière de développement humain, en se positionnant parmi les 10 pays du monde au taux de développement humain le "plus élevé", par les changements que "ce pays a connus et les politiques mises en oeuvre pour améliorer le bien-être des citoyens". Soulignant le caractère "indépendant" de ce rapport qui repose sur les données et statistiques fournies par les différentes organisations des Nations unies, il a relevé que de nouveaux critères ont été pris en compte dans l'élaboration des indices de développements humains (IDH). Car, a-t-il expliqué, en plus des indices arrêtés depuis le premier rapport du PNUD en la matière, en 1990, le RMDH-2010 prend en charge les questions liées aux inégalités à l'intérieur du même pays, le degrés de participation des individus à la prise de décision, appelé l'autonomisation, ainsi que la durabilité dans la progression des IDH. M. Pineda, qui a précisé que "les ressources naturelles, bien qu'elle favorisent le développement humain, si elles sont utilisées dans une bonne politique de développement, ne peuvent pas être considérées, par contre, comme indicateur dans l'évaluation du développement humain d'un pays".