L'opposition italienne a déposé une motion de censure contre le président du Conseil Silvio Berlusconi, une mesure qui ouvre la voie à une épreuve de force au Parlement et qui pourrait aboutir à la chute du gouvernement. Le Parti démocrate (opposition) et son allié, l'Italie des Valeurs, ont déposé ensemble la motion vendredi à la Chambre des députés. Aucune date n'a encore été fixée pour qu'elle soit débattue. Le gouvernement Berlusconi traverse une crise depuis plusieurs mois, mais elle s'est accélérée le week-end dernier quand l'ancien allié du président du Conseil, Gianfranco Fini, lui a demandé de démissionner. Berlusconi a refusé. La motion de censure va maintenant forcer Fini et ses alliés, dont le soutien est crucial pour le président du Conseil, à choisir s'ils le soutiennent. Dans le cas contraire, le gouvernement devrait tomber. M. Fini, co-fondateur avec Silvio Berlusconi du Peuple de la Liberté (PDL, droite, au pouvoir), a rompu avec lui en juillet dernier. Dimanche dernier, lors d'un discours devant ses partisans à Pérouse, dans le centre de l'Italie, Gianfranco Fini a estimé que Silvio Berlusconi doit désormais "prendre la décision de remettre sa démission". L'opposition italienne a déposé une motion de censure contre le président du Conseil Silvio Berlusconi, une mesure qui ouvre la voie à une épreuve de force au Parlement et qui pourrait aboutir à la chute du gouvernement. Le Parti démocrate (opposition) et son allié, l'Italie des Valeurs, ont déposé ensemble la motion vendredi à la Chambre des députés. Aucune date n'a encore été fixée pour qu'elle soit débattue. Le gouvernement Berlusconi traverse une crise depuis plusieurs mois, mais elle s'est accélérée le week-end dernier quand l'ancien allié du président du Conseil, Gianfranco Fini, lui a demandé de démissionner. Berlusconi a refusé. La motion de censure va maintenant forcer Fini et ses alliés, dont le soutien est crucial pour le président du Conseil, à choisir s'ils le soutiennent. Dans le cas contraire, le gouvernement devrait tomber. M. Fini, co-fondateur avec Silvio Berlusconi du Peuple de la Liberté (PDL, droite, au pouvoir), a rompu avec lui en juillet dernier. Dimanche dernier, lors d'un discours devant ses partisans à Pérouse, dans le centre de l'Italie, Gianfranco Fini a estimé que Silvio Berlusconi doit désormais "prendre la décision de remettre sa démission".