Les prémices d'une crise entre le président de la JS Kabylie, Mohand Chérif Hannachi, et le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, s'annoncent très tendues. Les prémices d'une crise entre le président de la JS Kabylie, Mohand Chérif Hannachi, et le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, s'annoncent très tendues. Le bras de fer qui oppose le boss kabyle au patron de la FAF prend des proportions alarmantes. En effet, après les dernières révélations de Hannachi qui a tiré à boulets rouges sur le premier responsable du football algérien, l'accusant d'avoir tenté de corrompre la JS Kabylie, l'instance nationale a répondu, hier, à toutes ces accusations qu'elle trouve grave et ne servent qu'à tromper l'opinion public sportive «Les dernières élucubrations de Mohand Chérif Hannachi qui accuse le président de la Fédération algérienne de football de vouloir nuire à la JSK ne sauraient tromper longtemps l'opinion publique sportive » a indiqué la FAF. Avant de s'étaler sur cette affaire, la Fédération algérienne de football s'est dite très satisfaite du niveau de ce club, et qu'elle ne veille que pour œuvrer à son développement. « Le président de la FAF et les instances fédérales tiennent en haute estime ce prestigieux club qui appartient à tous et qui a été édifié par d'illustres dirigeants et personnalités d'un haut niveau de compétence et de probité et par des joueurs et entraîneurs performants. La FAF continuera à soutenir, encourager et œuvrer au développement de la JSK et de tous les clubs » souligne la FAF. Evoquant les propos de Hannachi, cette instance nationale dément catégoriquement les accusations « outrancières » par lesquelles ce responsable de la JSK a qualifié le président de la FAF, comme étant un fervent avocat du club égyptien du Ahly du Caire. « Les propos outranciers, sont en plus d'êtres mensongers, tout simplement grotesques. D'autant que la position ferme du président de la FAF vis-à-vis des dirigeants du Ahly du Caire est largement connue. Ces derniers, relayés par la presse égyptienne, ont en effet imputé au président de la FAF leur défaite à Tizi Ouzou ainsi que leur élimination par l'ES Tunis en demi-finale de la ligue des champions africaine. Loin de ça, la fédération algérienne de football considère que les motivations qui ont entraîné cette fuite en avant sont à rechercher dans la panique qui a saisi le président de la JSK à la suite de la mise en place du professionnalisme en Algérie dans lequel il ne pourra pas trouver sa place ». Et d'ajouter : « La JS Kabylie mérite beaucoup mieux que le million de dinars comme capital social et que M. Hannachi s'est approprié pour 500 mille dinars. Des investisseurs crédibles, confirme l'instance nationale, se sont faits connaître auprès de la FAF pour investir massivement dans le capital social de la JSK qui mérite largement un investissement à la hauteur de son histoire et de son prestigieux palmarès » lit-on dans le même communiqué. L'ère où ce responsable kabyle œuvrait à la destabilisation des affaires de cette instance notamment les assemblées générales par des intimidations et des pratiques d'un autre age est à jamais révolue. En fin, la fédération déclare qu'elle ne saurait tolérer de pareilles déclarations qu'elle trouve « mensongères, diffamatoire et tapageuses » et elle compte déposer officiellement une plainte auprès des tribunaux compétents « Ces nouvelles déclarations feront l'objet d'un examen par les instances du football concernées qui appliqueront de manière stricte les règlements en vigueur en la matière » a précisé la FAF. Le bras de fer qui oppose le boss kabyle au patron de la FAF prend des proportions alarmantes. En effet, après les dernières révélations de Hannachi qui a tiré à boulets rouges sur le premier responsable du football algérien, l'accusant d'avoir tenté de corrompre la JS Kabylie, l'instance nationale a répondu, hier, à toutes ces accusations qu'elle trouve grave et ne servent qu'à tromper l'opinion public sportive «Les dernières élucubrations de Mohand Chérif Hannachi qui accuse le président de la Fédération algérienne de football de vouloir nuire à la JSK ne sauraient tromper longtemps l'opinion publique sportive » a indiqué la FAF. Avant de s'étaler sur cette affaire, la Fédération algérienne de football s'est dite très satisfaite du niveau de ce club, et qu'elle ne veille que pour œuvrer à son développement. « Le président de la FAF et les instances fédérales tiennent en haute estime ce prestigieux club qui appartient à tous et qui a été édifié par d'illustres dirigeants et personnalités d'un haut niveau de compétence et de probité et par des joueurs et entraîneurs performants. La FAF continuera à soutenir, encourager et œuvrer au développement de la JSK et de tous les clubs » souligne la FAF. Evoquant les propos de Hannachi, cette instance nationale dément catégoriquement les accusations « outrancières » par lesquelles ce responsable de la JSK a qualifié le président de la FAF, comme étant un fervent avocat du club égyptien du Ahly du Caire. « Les propos outranciers, sont en plus d'êtres mensongers, tout simplement grotesques. D'autant que la position ferme du président de la FAF vis-à-vis des dirigeants du Ahly du Caire est largement connue. Ces derniers, relayés par la presse égyptienne, ont en effet imputé au président de la FAF leur défaite à Tizi Ouzou ainsi que leur élimination par l'ES Tunis en demi-finale de la ligue des champions africaine. Loin de ça, la fédération algérienne de football considère que les motivations qui ont entraîné cette fuite en avant sont à rechercher dans la panique qui a saisi le président de la JSK à la suite de la mise en place du professionnalisme en Algérie dans lequel il ne pourra pas trouver sa place ». Et d'ajouter : « La JS Kabylie mérite beaucoup mieux que le million de dinars comme capital social et que M. Hannachi s'est approprié pour 500 mille dinars. Des investisseurs crédibles, confirme l'instance nationale, se sont faits connaître auprès de la FAF pour investir massivement dans le capital social de la JSK qui mérite largement un investissement à la hauteur de son histoire et de son prestigieux palmarès » lit-on dans le même communiqué. L'ère où ce responsable kabyle œuvrait à la destabilisation des affaires de cette instance notamment les assemblées générales par des intimidations et des pratiques d'un autre age est à jamais révolue. En fin, la fédération déclare qu'elle ne saurait tolérer de pareilles déclarations qu'elle trouve « mensongères, diffamatoire et tapageuses » et elle compte déposer officiellement une plainte auprès des tribunaux compétents « Ces nouvelles déclarations feront l'objet d'un examen par les instances du football concernées qui appliqueront de manière stricte les règlements en vigueur en la matière » a précisé la FAF.