La nouvelle gare routière de Béjaïa, située au niveau des Quatre chemins, enregistre un retard dans sa mise en service. Prévue pour juillet dernier puis retardée à fin octobre, elle demeure toujours au stade des finitions. Ce retard est dû, selon le responsable de l'entreprise de réalisation, au non-paiement des dettes et l'entreprise se trouve dans l'impossibilité d'assurer toute seule le financement des équipements qui permettront le fonctionnement de cette infrastructure. Le retard de cette gare routière a causé beaucoup de perturbation dans le plan de circulation de la ville. Tous ces dizaines de bus qui desservent la ville, en plus des transports longues distances devaient stationner au niveau de cette gare. A cette situation sont venus se greffer les travaux de la trémie ce qui fait que les bus ne trouvent plus où stationner et sont contraints d'emprunter des ruelles créant ainsi des embouteillages. La déviation opérée à travers les ruelles de la cité Adrar-Remla et Ighil Ouazoug ne peuvent contenir la fluidité de la circulation, surtout avec les transporteurs publics qui créent d'énormes embouteillages sur les lieux. Béjaïa étouffe et il est vraiment impossible de circuler en voiture. Le boulevard des Aurès, le carrefour du jute et Amriou sont les points noirs de la circulation. C'est le calvaire au quotidien des usagers de ces axes routiers urbains. La mise en service de cette gare allègera beaucoup la circulation à Béjaïa et désengorgera tous les quartiers. Il serait temps que les services concernés, secteurs du transport et des finances, débloquent la situation pour permettre à cette gare de voir le jour. La nouvelle gare routière de Béjaïa, située au niveau des Quatre chemins, enregistre un retard dans sa mise en service. Prévue pour juillet dernier puis retardée à fin octobre, elle demeure toujours au stade des finitions. Ce retard est dû, selon le responsable de l'entreprise de réalisation, au non-paiement des dettes et l'entreprise se trouve dans l'impossibilité d'assurer toute seule le financement des équipements qui permettront le fonctionnement de cette infrastructure. Le retard de cette gare routière a causé beaucoup de perturbation dans le plan de circulation de la ville. Tous ces dizaines de bus qui desservent la ville, en plus des transports longues distances devaient stationner au niveau de cette gare. A cette situation sont venus se greffer les travaux de la trémie ce qui fait que les bus ne trouvent plus où stationner et sont contraints d'emprunter des ruelles créant ainsi des embouteillages. La déviation opérée à travers les ruelles de la cité Adrar-Remla et Ighil Ouazoug ne peuvent contenir la fluidité de la circulation, surtout avec les transporteurs publics qui créent d'énormes embouteillages sur les lieux. Béjaïa étouffe et il est vraiment impossible de circuler en voiture. Le boulevard des Aurès, le carrefour du jute et Amriou sont les points noirs de la circulation. C'est le calvaire au quotidien des usagers de ces axes routiers urbains. La mise en service de cette gare allègera beaucoup la circulation à Béjaïa et désengorgera tous les quartiers. Il serait temps que les services concernés, secteurs du transport et des finances, débloquent la situation pour permettre à cette gare de voir le jour.