Lancés avec une grande célérité, les travaux de rénovation des stations de carburants, propriété de Naftal, des cités Sicel et de la localité de Hamrouche-Hamoudi, lancés simultanément depuis plus d'une année, semblent s'inscrire dans la durée. Pourtant, d'aucuns auraient remarqué que les nouveaux appareils installés pour la circonstance, disposant de plusieurs bras et entièrement automatisés et les grands panneaux lumineux ornant les abords de ces stations, ont conféré une touche très moderniste à ces stations, ce qui a contribué à marquer l'entrée de la ville d'une empreinte futuriste et très esthétique. On n'attendait que les ultimes retouches pour pouvoir mettre en service ces stations qui auraient pu contribuer à atténuer l'attente des automobilistes pour se faire alimenter en carburant dans une ville pétrochimique de surcroit. On a même cru que l'on n'attendait, en fait, qu'une date symbôle pour lancer le service. La date du 24 Février semblait donc toute indiquée. Puis plus rien. On est revenu labourer toute la surface de l'une d'elle avant que les travailleurs et leurs engins ne désertent complètement le chantier. Seules les lumières multicolores que l'ont met en marche chaque soir rappellent l'usage initialement voulu pour ces espaces. Lancés avec une grande célérité, les travaux de rénovation des stations de carburants, propriété de Naftal, des cités Sicel et de la localité de Hamrouche-Hamoudi, lancés simultanément depuis plus d'une année, semblent s'inscrire dans la durée. Pourtant, d'aucuns auraient remarqué que les nouveaux appareils installés pour la circonstance, disposant de plusieurs bras et entièrement automatisés et les grands panneaux lumineux ornant les abords de ces stations, ont conféré une touche très moderniste à ces stations, ce qui a contribué à marquer l'entrée de la ville d'une empreinte futuriste et très esthétique. On n'attendait que les ultimes retouches pour pouvoir mettre en service ces stations qui auraient pu contribuer à atténuer l'attente des automobilistes pour se faire alimenter en carburant dans une ville pétrochimique de surcroit. On a même cru que l'on n'attendait, en fait, qu'une date symbôle pour lancer le service. La date du 24 Février semblait donc toute indiquée. Puis plus rien. On est revenu labourer toute la surface de l'une d'elle avant que les travailleurs et leurs engins ne désertent complètement le chantier. Seules les lumières multicolores que l'ont met en marche chaque soir rappellent l'usage initialement voulu pour ces espaces.