Suite aux conditions dans lesquelles s'est déroulée la saison du Hadj 2010 dans les camps algériens qui, faut-il le dire, étaient scandaleuses, «une audition avec les concernés sera bientôt organisée par l'Assemblée populaire nationale», a déclaré Abdelmalek Zenir, président de la délégation de la commission de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de APN, dans une déclaration au Midi Libre, en marge d'une visite de travail à l'aéroport d'Alger dans le but de s'enquérir de l'opération de retour des hadjis. Il a, en outre, indiqué que le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, l'Office national de tourisme ONT ainsi que l'ambassade d'Algérie en Arabie saoudite devront s'expliquer devants les élus du peuple. Prenant part des préoccupations des hadjis qui, pour leur côté, ont témoigné que les agents de la Protection civile avaient accomplit leur mission contrairement à ceux de la délégation, et ce, lors du transport, l'hébergement l'orientation ainsi que la «fuite de responsabilité » des agents de la délégation, ont-il estimé. Le même responsable a annoncé que l'APN «ouvrira une enquête sur les conditions du Hadj de cette saison». Tout en lançant, clairement, «que chacun prenne ses responsabilités», le même responsable indiquera que l'APN « n'épargnera aucun effort pour le bien être des Algériens». Zenir a, par ailleurs, reconnu que parmi les hadjis il y avait des insuffisants rénaux, des malades, même mentaux, et d'autres qui «ne devaient pas être» admis par les commissions de santé de leurs wilayas. Dans ce sens, Zenir a fait savoir que «les élus du peuple» iront jusqu'à réclamer à voir l'état de santé des hadjis en vérifiant leurs dossiers médicaux. Il faut dire que les malades chroniques et ceux inaptes à effectuer le hadj devraient être systématiquement écartés. Une mesure qui n'est pas souvent appliquée. D'ailleurs, la quasi-totalité des décès enregistré cette année sur les Lieux Saints concerne des malades chroniques. Suite aux conditions dans lesquelles s'est déroulée la saison du Hadj 2010 dans les camps algériens qui, faut-il le dire, étaient scandaleuses, «une audition avec les concernés sera bientôt organisée par l'Assemblée populaire nationale», a déclaré Abdelmalek Zenir, président de la délégation de la commission de l'éducation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de APN, dans une déclaration au Midi Libre, en marge d'une visite de travail à l'aéroport d'Alger dans le but de s'enquérir de l'opération de retour des hadjis. Il a, en outre, indiqué que le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, l'Office national de tourisme ONT ainsi que l'ambassade d'Algérie en Arabie saoudite devront s'expliquer devants les élus du peuple. Prenant part des préoccupations des hadjis qui, pour leur côté, ont témoigné que les agents de la Protection civile avaient accomplit leur mission contrairement à ceux de la délégation, et ce, lors du transport, l'hébergement l'orientation ainsi que la «fuite de responsabilité » des agents de la délégation, ont-il estimé. Le même responsable a annoncé que l'APN «ouvrira une enquête sur les conditions du Hadj de cette saison». Tout en lançant, clairement, «que chacun prenne ses responsabilités», le même responsable indiquera que l'APN « n'épargnera aucun effort pour le bien être des Algériens». Zenir a, par ailleurs, reconnu que parmi les hadjis il y avait des insuffisants rénaux, des malades, même mentaux, et d'autres qui «ne devaient pas être» admis par les commissions de santé de leurs wilayas. Dans ce sens, Zenir a fait savoir que «les élus du peuple» iront jusqu'à réclamer à voir l'état de santé des hadjis en vérifiant leurs dossiers médicaux. Il faut dire que les malades chroniques et ceux inaptes à effectuer le hadj devraient être systématiquement écartés. Une mesure qui n'est pas souvent appliquée. D'ailleurs, la quasi-totalité des décès enregistré cette année sur les Lieux Saints concerne des malades chroniques.