Le marché algérien intéresse de plus en plus de sociétés étrangères. Les Américains ont compris qu'il recèle des opportunités d'affaires hors hydrocarbures considérables. C'est dans ce sens que le Secrétaire adjoint américain à l'économie, à l'énergie et aux relations commerciales auprès du Département d'Etat, Jose W. Fernandez, dans un entretien accordé hier à l'APS, a affirmé que « l'Algérie constitue un énorme potentiel pour les investisseurs américains. Les opportunités d'affaires hors des industries du pétrole et du gaz en Algérie continuent à représenter un énorme potentiel pour les investisseurs américains ». M. Fernandez soulignera, entre autres, que « les investissements des entreprises américaines dans les secteurs hors-hydrocarbures en Algérie demeurent limités à ce jour », avant de poursuivre «d'autres secteurs attractifs existent tels notamment ceux des infrastructures, de l'agriculture et de la technologie ». Ce haut responsable au département d'Etat, en sus d'autres grandes figures de la Maison Blanche, a-t-on appris, se rendront à Alger pour prendre part à la Conférence Etats-Unis-Maghreb sur l'entrepreneuriat, prévue les 1er et 2 décembre par le Département d'Etat américain et le Conseil des affaires algéro-américain (US-Algeria Business Council). Dans cet esprit, a-t-il ajouté, « une partie du défi consiste à sensibiliser les investisseurs américains sur les opportunités qui existent dans le marché algérien ». Pour M. Fernandez, « l'Algérie est un partenaire commercial important pour les Etats-Unis » et la conférence d'Alger sur le partenariat Etats-Unis-Maghreb pour l'expansion économique « est un important pas en avant dans la promotion de la culture de l'esprit d'entreprise en Algérie et dans le Maghreb, en créant un environnement commercial plus favorable au secteur privé ». « Nous apprécions la volonté de l'Algérie d'accueillir cette conférence et nous nous réjouissons de continuer à travailler en partenariat avec le gouvernement algérien et le secteur privé pour renforcer les relations d'affaires entre les Etats-Unis et l'Algérie », a-t-il soutenu. Il a considéré que la conférence d'Alger était « le résultat direct du Sommet présidentiel de l'entreprise » organisé par le président Barack Obama en avril dernier à Washington, et « témoigne de la poursuite des travaux pour encourager l'entrepreneuriat et créer des partenariats régionaux qui l'encouragent ». Cette première édition de la Conférence sur l'entrepreneuriat Etats-Unis-Maghreb, a-t-il soutenu, « offrira un lieu de dialogue, de compréhension et de coopération plus étroite entre les pays à majorité musulmane et les Etats-Unis ». En 2009, les Etats-Unis sont restés le premier client de l'Algérie avec un montant de 9,26 milliards de dollars d'exportations algériennes (21,2 % de la structure globale des exportations) et le sixième fournisseur avec 1,99 milliard de dollars d'exportations américaines (5,11 %). Le marché algérien intéresse de plus en plus de sociétés étrangères. Les Américains ont compris qu'il recèle des opportunités d'affaires hors hydrocarbures considérables. C'est dans ce sens que le Secrétaire adjoint américain à l'économie, à l'énergie et aux relations commerciales auprès du Département d'Etat, Jose W. Fernandez, dans un entretien accordé hier à l'APS, a affirmé que « l'Algérie constitue un énorme potentiel pour les investisseurs américains. Les opportunités d'affaires hors des industries du pétrole et du gaz en Algérie continuent à représenter un énorme potentiel pour les investisseurs américains ». M. Fernandez soulignera, entre autres, que « les investissements des entreprises américaines dans les secteurs hors-hydrocarbures en Algérie demeurent limités à ce jour », avant de poursuivre «d'autres secteurs attractifs existent tels notamment ceux des infrastructures, de l'agriculture et de la technologie ». Ce haut responsable au département d'Etat, en sus d'autres grandes figures de la Maison Blanche, a-t-on appris, se rendront à Alger pour prendre part à la Conférence Etats-Unis-Maghreb sur l'entrepreneuriat, prévue les 1er et 2 décembre par le Département d'Etat américain et le Conseil des affaires algéro-américain (US-Algeria Business Council). Dans cet esprit, a-t-il ajouté, « une partie du défi consiste à sensibiliser les investisseurs américains sur les opportunités qui existent dans le marché algérien ». Pour M. Fernandez, « l'Algérie est un partenaire commercial important pour les Etats-Unis » et la conférence d'Alger sur le partenariat Etats-Unis-Maghreb pour l'expansion économique « est un important pas en avant dans la promotion de la culture de l'esprit d'entreprise en Algérie et dans le Maghreb, en créant un environnement commercial plus favorable au secteur privé ». « Nous apprécions la volonté de l'Algérie d'accueillir cette conférence et nous nous réjouissons de continuer à travailler en partenariat avec le gouvernement algérien et le secteur privé pour renforcer les relations d'affaires entre les Etats-Unis et l'Algérie », a-t-il soutenu. Il a considéré que la conférence d'Alger était « le résultat direct du Sommet présidentiel de l'entreprise » organisé par le président Barack Obama en avril dernier à Washington, et « témoigne de la poursuite des travaux pour encourager l'entrepreneuriat et créer des partenariats régionaux qui l'encouragent ». Cette première édition de la Conférence sur l'entrepreneuriat Etats-Unis-Maghreb, a-t-il soutenu, « offrira un lieu de dialogue, de compréhension et de coopération plus étroite entre les pays à majorité musulmane et les Etats-Unis ». En 2009, les Etats-Unis sont restés le premier client de l'Algérie avec un montant de 9,26 milliards de dollars d'exportations algériennes (21,2 % de la structure globale des exportations) et le sixième fournisseur avec 1,99 milliard de dollars d'exportations américaines (5,11 %).