« Miziriya » ce vocable très algérien que nous ont transmis les Français est le titre de la pièce de théâtre du réalisateur Djamel Guermi produite par la compagnie culturelle Ayamalek pour le théâtre et la vidéo dont le directeur est Mourad Khan, un des comédiens dans cette pièce. « Miziriya » ce vocable très algérien que nous ont transmis les Français est le titre de la pièce de théâtre du réalisateur Djamel Guermi produite par la compagnie culturelle Ayamalek pour le théâtre et la vidéo dont le directeur est Mourad Khan, un des comédiens dans cette pièce. La traduction française a donné Misère à la mode sans doute une précision dont la langue algérienne peut faire l'économie. Afin d'assurer une bonne médiatisation de l'événement, l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) a organisé hier à la salle El Mougar une conférence de presse en présence du réalisateur, du scénariste Sid-Ali Bouchafaâ et des comédiens dont une figure connue du petit écran : Mourad Khan, le producteur de la Caméra cachée. Les autres comédiens ont pour nom : Louiza Nahar et Djafer Mechernen. En tous les cas, la représentation de cette production aura lieu aujourd'hui à 18h 30 à Alger à la salle El Mougar. Une première représentation de cette pièce a eu lieu déjà l'été passé à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref. Le public de plusieurs villes de l'intérieur du pays à l'instar de Bordj Bou-Arréridj, Khenchela, Oum El-Bouaghi, Batna, Jijel a eu aussi le loisir de découvrir cette pièce. L'histoire est celle d'une ambition racontée sur le ton de la tragi-comédie : un homme friqué rêve de devenir député et pour y parvenir il doit collecter 75.000 signatures. L'entreprise s'avère ardue car à mesure que le temps passe, il s'aperçoit qu'il n'a pas encore réuni le nombre de voix requis. C'est la hantise jusqu'à ce que le quêteur des voix fasse la rencontre d'une SDF qui va l'éveiller à la conscience du monde. « Nous n'avons bénéficié d'aucune aide financière de la part de quelque partie que ce soit, c'est une aventure que nous avons menée de bout en bout, nous avons, il est vrai, été aidés sur le plan moral par certaines structures, ainsi on a mis à notre disposition pour les répétitions un espace théâtral au sein du centre culturel de la Cité du 5-Juillet de Bab-Ezzouar» a expliqué le réalisateur Djamel Guermi, 39 ans, qui, après s'être essayé à une carrière de comédien au Théâtre national algérien (TNA) entre 2000 et 2009 a décidé donc d'enfourcher la monture de la réalisation avec les moyens du bord. Titulaire d'un diplôme d'études supérieures en arts dramatiques, en filière comédie de l'Institut national supérieur des arts dramatiques de Bordj el- Kiffan (Alger) obtenu en 2000, Djamel Guermi a eu à vrai dire de la chance de croiser un professionnel de la trempe de Mourad Khan qui même s'il appartient à la Télévision, ne l'en a pas moins aidé à concrétiser son projet. D'ailleurs le débat avec les journalistes était sorti un peu de son cadre. En effet le réalisateur de la caméra cachée a été questionné sur la véracité de l'information selon laquelle les tarifs qu'il appliquerait sur ses produits télévisuels sont trop chers. Ce dernier, comme nous le disions, est également le patron de la Compagnie culturelle Ayamalek pour le théâtre et la vidéo, qui est productrice de Misère à la mode, compagnie qui, soit dit en passant, s'essaye à la production théâtrale pour la première fois. Mourad Khan s'est défendu de se livrer à ce genre de spéculation commerciale. Selon lui «jamais dans les contrats de production qu'il a passés avec ses partenaires», il n'avait «exigé de tarif prédéfini». «Ce qui m'intéresse, c'est d'abord l'œuvre, le payement vient par la suite avec le consentement de mon partenaire» a-t-il soutenu. Djamel Guermi, témoigne à son tour : «Jusqu'au jour d'aujourd'hui, en tous les cas en ce qui me concerne, nous n'avons pas encore abordé la question relative aux droits du producteur». La traduction française a donné Misère à la mode sans doute une précision dont la langue algérienne peut faire l'économie. Afin d'assurer une bonne médiatisation de l'événement, l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) a organisé hier à la salle El Mougar une conférence de presse en présence du réalisateur, du scénariste Sid-Ali Bouchafaâ et des comédiens dont une figure connue du petit écran : Mourad Khan, le producteur de la Caméra cachée. Les autres comédiens ont pour nom : Louiza Nahar et Djafer Mechernen. En tous les cas, la représentation de cette production aura lieu aujourd'hui à 18h 30 à Alger à la salle El Mougar. Une première représentation de cette pièce a eu lieu déjà l'été passé à la salle Ibn Zeydoun de l'Oref. Le public de plusieurs villes de l'intérieur du pays à l'instar de Bordj Bou-Arréridj, Khenchela, Oum El-Bouaghi, Batna, Jijel a eu aussi le loisir de découvrir cette pièce. L'histoire est celle d'une ambition racontée sur le ton de la tragi-comédie : un homme friqué rêve de devenir député et pour y parvenir il doit collecter 75.000 signatures. L'entreprise s'avère ardue car à mesure que le temps passe, il s'aperçoit qu'il n'a pas encore réuni le nombre de voix requis. C'est la hantise jusqu'à ce que le quêteur des voix fasse la rencontre d'une SDF qui va l'éveiller à la conscience du monde. « Nous n'avons bénéficié d'aucune aide financière de la part de quelque partie que ce soit, c'est une aventure que nous avons menée de bout en bout, nous avons, il est vrai, été aidés sur le plan moral par certaines structures, ainsi on a mis à notre disposition pour les répétitions un espace théâtral au sein du centre culturel de la Cité du 5-Juillet de Bab-Ezzouar» a expliqué le réalisateur Djamel Guermi, 39 ans, qui, après s'être essayé à une carrière de comédien au Théâtre national algérien (TNA) entre 2000 et 2009 a décidé donc d'enfourcher la monture de la réalisation avec les moyens du bord. Titulaire d'un diplôme d'études supérieures en arts dramatiques, en filière comédie de l'Institut national supérieur des arts dramatiques de Bordj el- Kiffan (Alger) obtenu en 2000, Djamel Guermi a eu à vrai dire de la chance de croiser un professionnel de la trempe de Mourad Khan qui même s'il appartient à la Télévision, ne l'en a pas moins aidé à concrétiser son projet. D'ailleurs le débat avec les journalistes était sorti un peu de son cadre. En effet le réalisateur de la caméra cachée a été questionné sur la véracité de l'information selon laquelle les tarifs qu'il appliquerait sur ses produits télévisuels sont trop chers. Ce dernier, comme nous le disions, est également le patron de la Compagnie culturelle Ayamalek pour le théâtre et la vidéo, qui est productrice de Misère à la mode, compagnie qui, soit dit en passant, s'essaye à la production théâtrale pour la première fois. Mourad Khan s'est défendu de se livrer à ce genre de spéculation commerciale. Selon lui «jamais dans les contrats de production qu'il a passés avec ses partenaires», il n'avait «exigé de tarif prédéfini». «Ce qui m'intéresse, c'est d'abord l'œuvre, le payement vient par la suite avec le consentement de mon partenaire» a-t-il soutenu. Djamel Guermi, témoigne à son tour : «Jusqu'au jour d'aujourd'hui, en tous les cas en ce qui me concerne, nous n'avons pas encore abordé la question relative aux droits du producteur».