La Cour suprême de Guinée a confirmé, dans la nuit de jeudi à vendredi, l'élection de l'opposant historique Alpha Condé à la présidence, avec 52,52% des voix, contre 47,48% à l'ancien Premier ministre Cellou Dalein Diallo, après 52 ans de régimes dictatoriaux ou autoritaires. Le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, a estimé vendredi que la proclamation définitive de la victoire de l'opposant historique Alpha Condé à la présidentielle en Guinée par la Cour suprême était un «exemple qui mérite d'être salué». Selon lui, «le remarquable travail effectué par la Commission électorale nationale indépendante qui a proclamé les résultats provisoires le 15 novembre et le traitement par la Cour suprême des recours des candidats dans les délais légaux constituent un exemple qui mérite d'être salué». «La Guinée s'est dotée pour la première fois de son histoire d'un président démocratiquement élu. Cette étape capitale dans l'histoire politique de ce pays doit lui permettre de s'engager résolument sur la voie de la consolidation de la paix et de la démocratie et du développement», s'est-il félicité. Cette élection présidentielle en Guinée était particulièrement surveillée par les Etats africains voisins et par les Occidentaux, tout comme les autres processus électoraux en cours sur le continent, en particulier celui de Côte d'Ivoire. L'Organisation internationale de la francophonie (OIF) regroupe 56 Etats et gouvernements membres et 19 observateurs. La Guinée a été suspendue de l'OIF en raison d'un coup d'Etat militaire, le 23 décembre 2008. La Cour suprême de Guinée a confirmé, dans la nuit de jeudi à vendredi, l'élection de l'opposant historique Alpha Condé à la présidence, avec 52,52% des voix, contre 47,48% à l'ancien Premier ministre Cellou Dalein Diallo, après 52 ans de régimes dictatoriaux ou autoritaires. Le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, a estimé vendredi que la proclamation définitive de la victoire de l'opposant historique Alpha Condé à la présidentielle en Guinée par la Cour suprême était un «exemple qui mérite d'être salué». Selon lui, «le remarquable travail effectué par la Commission électorale nationale indépendante qui a proclamé les résultats provisoires le 15 novembre et le traitement par la Cour suprême des recours des candidats dans les délais légaux constituent un exemple qui mérite d'être salué». «La Guinée s'est dotée pour la première fois de son histoire d'un président démocratiquement élu. Cette étape capitale dans l'histoire politique de ce pays doit lui permettre de s'engager résolument sur la voie de la consolidation de la paix et de la démocratie et du développement», s'est-il félicité. Cette élection présidentielle en Guinée était particulièrement surveillée par les Etats africains voisins et par les Occidentaux, tout comme les autres processus électoraux en cours sur le continent, en particulier celui de Côte d'Ivoire. L'Organisation internationale de la francophonie (OIF) regroupe 56 Etats et gouvernements membres et 19 observateurs. La Guinée a été suspendue de l'OIF en raison d'un coup d'Etat militaire, le 23 décembre 2008.