La septième édition de la rencontre internationale des musiques andalouses, baptisée "Festival Andalussyat" avec au programme des concerts qui seront animés par des musiciens d'Algérie, du Maroc, de Tunisie et d'Espagne a débuté jeudi soir à Casablanca. L'Algérie est représentée à ce festival, de trois jours, par un orchestre de Tlemcen dirigé par Brahim Hadj Kacem, artiste algérien vivant en France et qui a donné dans la soirée un concert pour les amoureux de cette musique ancestrale. L'ensemble algérien donnera, par ailleurs, vendredi au théâtre Mohamed VI de Casablanca un autre concert au profit de la communauté algérienne afin de lui permettre de se retremper dans l'ambiance des soirées hawzi gharnati. Organisé par l'Association des amateurs de la musique andalouse dont est membre Sid-Ali Ouameur, ce festival qui se déroule simultanément à Casablanca, Rabat et Mohammadia est placé sous le signe de la diversité et se veut un vecteur de dialogue et de rapprochement entre les peuples. Les mélomanes pourront apprécier, durant cette manifestation culturelle, une programmation riche et variée et découvriront les artistes venant des trois pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) où cette musique est ancrée et préservée et d'Espagne, terre d'origine. Le Maroc prend part à ce festival avec notamment l'ensemble Chabab Al Andalous d'Amine Debbi, l'ensemble feu Abdelkrim Rais, le groupe Samae Thami El Harrak et le maitre Mohamed Briouel. L'Espagne est représentée à ce festival par la troupe Al Kaouthar qui a la particularité d'exécuter des chants religieux en arabe et en espagnol et par l'ensemble de Flamenco Esperansa Fernandez y Miguel Vargas. La Tunisie, quant à elle, participe avec l'ensemble du maître Mourad Sakli. Depuis son lancement, il y sept ans, l'Algérie a toujours pris part à ce Festival avec notamment la participation de l'association Essendoussia (deux fois), de l'orchestre Dar El-Gharnatia de Koléa (deux fois), de Nouri Kouffi et son orchestre, et de Salim Fergani lors de l'hommage rendu au maître du Malouf, El-Hadj Mohamed Tahar Fergani. M. Ouameur a indiqué que le but de la participation de l'Algérie est de faire connaître la musique andalouse algérienne et ses différentes écoles (Alger, Constantine, Tlemcen) dans tout le Maroc. La septième édition de la rencontre internationale des musiques andalouses, baptisée "Festival Andalussyat" avec au programme des concerts qui seront animés par des musiciens d'Algérie, du Maroc, de Tunisie et d'Espagne a débuté jeudi soir à Casablanca. L'Algérie est représentée à ce festival, de trois jours, par un orchestre de Tlemcen dirigé par Brahim Hadj Kacem, artiste algérien vivant en France et qui a donné dans la soirée un concert pour les amoureux de cette musique ancestrale. L'ensemble algérien donnera, par ailleurs, vendredi au théâtre Mohamed VI de Casablanca un autre concert au profit de la communauté algérienne afin de lui permettre de se retremper dans l'ambiance des soirées hawzi gharnati. Organisé par l'Association des amateurs de la musique andalouse dont est membre Sid-Ali Ouameur, ce festival qui se déroule simultanément à Casablanca, Rabat et Mohammadia est placé sous le signe de la diversité et se veut un vecteur de dialogue et de rapprochement entre les peuples. Les mélomanes pourront apprécier, durant cette manifestation culturelle, une programmation riche et variée et découvriront les artistes venant des trois pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) où cette musique est ancrée et préservée et d'Espagne, terre d'origine. Le Maroc prend part à ce festival avec notamment l'ensemble Chabab Al Andalous d'Amine Debbi, l'ensemble feu Abdelkrim Rais, le groupe Samae Thami El Harrak et le maitre Mohamed Briouel. L'Espagne est représentée à ce festival par la troupe Al Kaouthar qui a la particularité d'exécuter des chants religieux en arabe et en espagnol et par l'ensemble de Flamenco Esperansa Fernandez y Miguel Vargas. La Tunisie, quant à elle, participe avec l'ensemble du maître Mourad Sakli. Depuis son lancement, il y sept ans, l'Algérie a toujours pris part à ce Festival avec notamment la participation de l'association Essendoussia (deux fois), de l'orchestre Dar El-Gharnatia de Koléa (deux fois), de Nouri Kouffi et son orchestre, et de Salim Fergani lors de l'hommage rendu au maître du Malouf, El-Hadj Mohamed Tahar Fergani. M. Ouameur a indiqué que le but de la participation de l'Algérie est de faire connaître la musique andalouse algérienne et ses différentes écoles (Alger, Constantine, Tlemcen) dans tout le Maroc.